La Seigneurie Territorial

d'encadrement principales Erreur ! Signet non défini. 1) La famille Erreur ! Signet non défini. 2) Quartier, communauté, agglomération rurale Erreur ! Signet non défini. 3) La cité Erreur ! Signet non défini. 4) Les grands absents: seigneurie et royaume Erreur ! Signet non défini. b) De multiples structures d'encadrement Erreur ! Signet non défini. 1) Les associations Erreur ! Signet non défini. 2) La hiérarchie sociale Erreur ! Signet non défini. III) Le gouvernement des

celle des terre avec les concessions imbriquées, et qui repose sur un lien personnel, le lien de vassalité, et un lien réel, la concession d’un fief au vassal est complètement déréglé. Enfin il règne un climat d’insécurité permanant en dehors des seigneuries qui se traduit par une autarcie de celle-ci. Cependant, à partir du XIème siècle, des mouvements prenant leur racine dans une nouvelle conception de la société qui est la ville apparaissent. Il est donc légitime de se demander si ces mouvements

sont des pouvoirs propres. Ce sont des princes territoriaux quand le territoire qu'ils gèrent est assez grand. C'est le basculement, car ils ne doivent rien au roi, cela cause donc un morcèlement du pouvoir, on trouve des autorités distinctes, autonomes. La royauté les rois sont des carolingiens, en 888, la royauté devient élective, qui étaient héréditaire avant cela participe à la faiblesse du roi, on a l'élection du roi, par les princes territoriaux ont élit des rois entre 888 et 987. Le peuple

veulent agrandir leur territoire → éclatement total Section 1 : Le morcellement du territoire Deux étapes : _ 843 : traité de Verdun _ de 860 à 880 : au profit des grands les principautés territoriales se développent jusqu’au 11e s Duby : seigneurie banale = banum I. Les principautés territoriales Certains grands ne parviennent pas toujours à maintenir puissance → vont disparaître A. Naissance des principautés Emancipation progressive des grands devenus héréditaires : ils imposent

mais Eudes, comte de Paris, qui, comme son père Robert le Fort, s’est illustré dans la lutte contre les Normands : pendant un siècle, Carolingiens et Robertiens vont alterner sur le trône. Parallèlement, les grands du royaume — les « princes territoriaux »1 — prennent une importance politique de premier plan, prélude à la crise féodale. En 987 est ainsi élu un « Robertien »2, Hugues « Capet ». Avec lui commence la troisième « race » des rois de France, celle des Capétiens3 qui aura une carrière

territoire et du pouvoir à cause du système féodal. C’est pourquoi tout au long du Moyen Âge des seigneurs vont ordonner la mise à l’écrit les coutumes, afin de conserver un socle solide pour la juridiction des affaires se passant au sein de leurs seigneurie. C'est dans le Midi que furent entreprises les premières véritables rédactions des coutumes. Au Nord, certaines coutumes ont fait l’objet d’une rédaction privée à l’image de ce qu’a fait Beaumanoir mais dans la plupart des régions ces coutumes restaient

Au niveau de chaque seigneurie l’évolution du droit est donc déterminée par les relations qu’entretiennent et les populations avec les seigneurs dont elles dépendent. Dès la fin du XIème siècle, ces sujets cherchent à réduire leurs charges en se faisant exempter des mauvaises coutumes. En effet, au XIème siècle le mot coutume (consuetudo) appartient presque exclusivement au vocabulaire fiscal et il désigne les diverses taxes prélevées par les seigneurs sur leur seigneurie. Toujours à cette époque

sens originel : prudentia - les premiers jurisconsultes laïcs CHAPITRE III : LE DROIT SOUS L’EMPIRE ROMAIN   Section 1 : La crise politique à la fin de la République § 1 - Les principales raisons de la crise : - la croissance économique et territoriale de Rome - l’inadaptation des institutions républicaines § 2 - Les tentatives de réformes : - les Gracques : le choix de la réforme sociale - Sylla : la tentative de restauration aristocratique - Pompée : le prototype avorté du principat - César

barbares permettent à l'empereur l'expression d'un pouvoir souverain. Ces capitulaires vont permettre le développement d'un droit territorial càd un droit qui est le même pour tous les individus de l'Empire quelque soit leur origine ethnique et c'est la marque d'un Etat fort, capable d'imposer son droit à tous les sujets. Il était jusqu'alors ethnique. Ce droit territorial est réclamé et notamment par l'Eglise. Ces capitulaires révèlent à la fois l'héritage franc et l'héritage romain. Dans certains

forts vers l’an 1000 indique qu’ils sont liés à un type particulier de société,la société « féodale » Tous les possesseurs de château n’ont pas la même autorité seigneuriale. Les princes, comtes et grandes dynasties, qui exercent une autorité territoriale, construisent de vastes châteaux pour loger les nombreux chevaliers qui sont leur armée et leurs fonctionnaires. Les petits seigneurs doivent se contenter d’une Maison forte, une tour ou un logis dans une petite enceinte. Ainsi défini, les critères