La Souveraineté Selon Machiavel

fondement religieux (monarchies de droit divin où les rois considéraient que le pouvoir venait directement de dieu et donc qu’il était incontestable). Le christianisme pourtant repose sur la séparation du pouvoir religieux et du pouvoir politique. Selon l’évangile Matthieu, le christ précisait à cet égard « rendez à César, ce qui appartient à César et à dieu ce qui est à dieu ». Le roi a pu ainsi devenir tout puissant en France, en indiquant que son pouvoir était légitimé par dieu. - - - Toutefois

(Ex c’est la constitution qui donne les pouvoirs aux présidents ; qui dictent les relations avec les autres institutions, les responsabilités du président…). Or l’état est la source, l’origine de l’ensemble des règles de droit. C’est l’état qui selon les procédures prévues par la constitution qui établit le droit civil, commercial ou du travail. Ce sont des normes étatiques qui établissent le contenu et les limites des différentes branches du droit. La constitution permet d’établir tout le reste

hébraïque. Hebreuxnomades originaires aussi de Mésopotamie, ils sont répartis en tribus avec a leur tete un patriarche. Vers 2000 avec JC ces nomades se fixent en Canaan qui correspond a l’actuelle Palestine. Puis apres un exil de plusieurs siecles selon la tradition en egypte, ils reviennent en CANNAN en 1250 avec jc et mettent en place une monarchie. Leur droit appartient au meme socle culturel que le droit cunéiforme, c’est un droit religieux et empirique. Il est fondé sur les textes comme la Bible

de contraction et d’ubiquité qui tend à nier le mouvement, la distance et la durée (Bensaïd, 1997), rappelle de manière aporétique les paradoxes du mobilisme de Zénon d’Elée et enfin redonne du relief aux arguments relatifs à l’achèvement de la souveraineté (Mairet, 1997 : 162-181). Ces deux situations installent ainsi la philosophie politique contemporaine dans l’inconfort d’une modernité nostalgique où espace et temps demeurent « les formes a priori de la sensibilité » (Kant, 1997) et conditionnent

concernant les lois et coutumes de la guerre sur terre. Elle stipule que tout ce qui n’est pas expressément interdit par un traité n’est pas pour autant autorisé. La conduite dans les conflits armés ne doit pas être jugée uniquement selon les traités et la coutume, mais aussi selon les principes du droit international. D’autres, enfin, exigent que cette guerre ait lieu entre Etats indépendants, c’est-àdire qu’elle ait un caractère international (Bluntschli, Pradier, Dupuy). Mais parmi les définitions

du système juridique. Première partie : Théorie générale du droit constitutionnel. Titre 1 : Le droit de l’Etat. Selon Nietzsche : « l’État est le plus froid de tous les monstres froids. » Comment l'État est-il apparu? Comment se sont-ils formés ? Est-ce qu'il y a toujours eu un État ? Comment les Hommes ont accepté de lui obéir ? L'État est d'apparition récente même si  Machiavel l'a employé c'est seulement au 19° siècle que son utilisation est devenue courante. L'État va nous amener à une réflexion

assiste ainsi à une publicisation des règles de droit privé et à l’inverse on assiste à une privatisation ou une commercialisation des règles du droit public. Mais la distinction entre le droit public et le droit privé est loin de disparaitre car, selon Elzabeth Zoller, cette distinction structure le droit et lui donne sa colonne vertébrale. On peut dire que le droit public est bien implanté en France et qu’il est particulièrement développé. Les principales branches de ce droit sont : Le droit constitutionnel

reconnaissance de la souveraineté de l'état avec le phénomène d'institutionnalisation du pouvoir politique : idée d'associer le roi à l'état lui-même (//Jean Bodin, Machiavel)). Désormais le chef se dissocie nettement l'état de lui même, le roi n'est plus propriétaire de la souveraineté, il n'en n'est que le dépositaire et rends la justice au nom de la couronne. Cela se manifeste par des attributs matériels : la couronne (au moyen âge) qui représente l'état (c'est Machiavel qui introduit la notion

internationales depuis 1945 Les facteurs constitutifs des relations internationales 25 35 41 PARTIE 1 Les relations internationales : une réalité complexe et fluctuante La définition des relations internationales est relative et contingente ; elle varie selon les approches doctrinales développées, qu’elles soient conflictuelles ou solidaristes. Si, par une commodité de langage, l’expression communauté internationale est souvent employée, elle ne postule ni qu’il y ait une solidarité étroite entre ses entités

nations, pour véritablement parvenir à l’âge adulte, ont besoin de naître à la vie et de grandir. C’est le rôle de l'État que de favoriser leur naissance et leur croissance, en leur donnant des frontières et une administration, sources de leur souveraineté, interne (administration) et externe (frontières défendues par une force militaire), et en les faisant reconnaître par la communauté internationale, c'est-à-dire par les autres États-nations. La culture prépare donc les nations à l’existence