La Subjectivité Du Narrateur Dans Un

appellerait aujourd'hui une réplique. Cette forme de conjuration ne repose évidemment sur aucun fondement sérieux ; il s'agit de magie ou de superstition ; d'ailleurs, la suite des événements le montre bien puisque, à la fin du second paragraphe, le narrateur indique que « le même jour, la terre trembla de nouveau avec un fracas épouvantable. » Ceci montre bien l'inefficacité du procédé. Pourtant, le texte insiste bien, de manière ironique, sur son efficacité supposée : les « sages du pays n'avaient

crédibilité accordée à la subjectivité de notre héros est brouillée, et au lecteur de s'interroger sur la réalité des faits. De plus, hormis les interventions du narrateur au début de chaque chapitre le lecteur suit tout au long de l'oeuvre les actions à travers les yeux de Michel, avec ses questionnements et son ressenti. Ce procédé absolument ingénieux amène le lecteur à ne douter à aucun moment de la véracité de l'histoire racontée, puisque même celui qui sait tout (le narrateur omniscient) ne laisse

l'auteur prennent immédiatement forme dans l'esprit du lecteur, ce qui est plutôt pratique lorsqu'il s'agit d'étudier des concepts aussi typiques que les distorsions spatiales et temporelles du vide entre les cases ! Contenu Scott McCloud, le narrateur, fait le tour des grandes formes et des langages qui prennent corps au travers des bandes dessinées américaines, européennes et japonaises. Il commence par bien définir la bande-dessinée en y cherchant la petite bête : après tout, ce n'est pas plus

L'Etranger de Camus Lecture analytique 1 Albert Camus, écrivain majeur de la première moitié du XX° siècle, a publié en 1942 un roman. L'Étranger met en scène un narrateur, Meursault, qui fait le récit de sa vie. Cet extrait correspond au début de l'œuvre (L'incipit) : Meursault raconte la nouvelle de la mort de sa mère et les préparatifs de son départ pour la veillée funèbre et l'enterrement. Nous verrons tout d'abord en quoi cet incipit est surprenant, puis on analysera les différences

| |Présentation du texte: cette description de la pension Vauquer constitue l'incipit de l'oeuvre. Après une visite | |guidée à travers le quartier de la rue Sainte Geneviève, le narrateur fait pénétrer le lecteur dans l'univers de la | |pension. La description de la pension Vauquer, au début de ce roman est une des plus célèbres de La Comédie Humaine. | |Le spectacle désolant de la pension est à l'image de sa propriétaire Mme Vauquer

aux actes qu’Alex et sa bande de « droogs » faisaient avant son emprisonnement. L’image d’Alex, souffrant de la dureté du traitement semble plus déstabilisante et choquante que les images visualisé par le protagonistes. « La subjectivité regardée d’Alex devient la subjectivité vécue du film et c’est cette différence qui explique le malaise que certains éprouveraient à l’égard d’Orange Mécanique » Pierre Giuliani, Stanley Kubrick, Paris/Marseille, Editions Rivages, 1990, p. 61. Ces images peuvent

(plan) des similitudes dans les enjeux narratifs et les procédés choisis afin de délivrer les informations nécessaires, d'autres montrent des choix qui se jouent des conventions romanesques, ou accordent une place plus importante accordée à la subjectivité, à la vision du personnage. I Ces différents incipits proposent donc l'exemple des multiples stratégies narratives dont disposent les écrivains pour un même genre littéraire. Les informations nécessaires à l'entrée dans l'histoire  (quand ? Où 

influencera fortement l’intrigue car nous somme dans l’incipit et aucun autre personnage n’a encore fait son apparition à part lui. Et nous pouvons encore affirmer que ce sera un personnage perturbateur à cause de la description péjorative que donne le narrateur Cette description ne met en aucun cas en valeur cette ville alors qu’elle est l’une des plus importantes de France. Mais on peut voir malgré tout une sorte de fascination de l’auteur. Comment l’auteur arrive-t-il à mettre son opinion personnelle

genre romanesque ? ANNONCE DES AXES I/ le récit, une énonciation ambiguëII/ Le personnage romanesque surprenantIII/ Une explication de son attitude ( construction d'un univers indéchiffrable)ETUDE I/ Le récit 1. Un journal?- Présence intense du narrateur par l'utilisation du point de vue interne (la perception des événements se fait uniquement par le personnage)On retrouve plus de 22 fois "je" en anaphore, renforcé par les pronoms possessifs.- Simultanéité entre moment où il écrit et le déroulement

le sens général et vos premières impressions (amusement, surprise, avis sur les personnages …)ÉTAPE 2 Effectuer des repérages Pour vérifier et approfondir ces hypothèses, procédez à des repérages généraux Qui parle ? Récit : - Narrateur à la 1ère personne ? - Narrateur ou personnage extérieur à l’histoire ? Ex : récit à la 1ère pers. Par le personnage principal = récit subjectif Poésie : - Marques de la présence du poète ? - Termes subjectifs ? Ex : « je » (pronom personnel) + « ma » (déterminant