La Subjectivité Du Narrateur Dans Un

Texte 1 Séquence 1 : Le roman et ses personnages La mort de Manon! I. Une scène réaliste • Récit en analepses! • Discours à la première personne! • Subjectivité (=sentiments du narrateur) -> récit peu fiable par rapport à la réalité! • Visualisation de la scène :! ‣ Décor dépouillé, vaste plaine de sable, aucun exotisme (USA)! ‣ Crudité dans les actes (creuser, changer le linge, mains froides…)! ‣ Evocation réaliste du cadavre de Manon (visage tourné vers le sable…)! ‣ Référence aux charognards

courtisane » mondaine). e. On peut trouver des limites à cette représentation, d’une part du fait de la nécessité d’un choix dans les événements (Maupassant, préface de Pierre et Jean ) ; d’autre part du fait d’un narrateur omniscient (texte de Balzac du corpus) qui impose une subjectivité, une vision du monde particulière. B- D’autres forment d’art donnent l’illusion de la réalité. Mieux ? a. La « réalité » est plus immédiatement rendue par les arts « visuels » : peinture, photographie, cinéma

L'omnipresence de l'auteur. – Le locuteur met en avant sa parole comme le montrent les multiples emplois du pronom personnel de la 1ere personne du singulier (environ 48 occurrences). – Plusieurs marques de la subjectivite de l'auteur qui illustrent le jugement que l'auteur-narrateur porte sur lui-meme et sur son physique. Par exemple, on observe divers adverbes modalisateurs qui accompagnent ses propos : ≪ peut-etre ≫ (l.1), ≪ bien ≫ (l.11x2), ≪ un peu ≫ (l.12, l.33-34 x3), ≪ assez ≫ (l.13

nous n'en n'avons aucune description, les actions se succèdent purement et simplement. Cette absence de description renforce l'absence de subjectivité de Meursault. « J’ai dit « oui » pour ne plus avoir à parler ». On ne sait donc pas pourquoi il ne veut pas parler. La focalisation est interne, c'est-à-dire que les évènements sont vus par les yeux du narrateur, Meursault. Il ne s'implique pas personnellement et tout est raconté sur le même ton qui est neutre. On ne laisse transparître aucune émotion

amplifications et hyperboles : tempêtes du monde, le géant ; périphrases « le souffle profond qui dévaste les bois » ; lexique : « mon compère » est un terme de l’époque de LF. II. La remise en question d’une morale classique 1) Narrateur présent et provocateur : Interventions du narrateur, contrairement à La Fontaine : « Il ne se fut jamais permis ce mot avant » (v.23) 2) Deux personnages profondément différents de la fable initiale : Le chêne parle moins, le roseau occupe le dialogue. Le chêne ne dit rien

plans sociologique et psychologique.) Le genre de prédilection est le roman. Indices : champ lexical du corps, de la nourriture, des activités quotidiennes, du travail ; importance des notations descriptives avec les nombreuses expansions du nom ; narrateur souvent effacé ; présence de la focalisation interne et du discours indirect libre. Auteurs : Balzac, Stendhal, Flaubert, Maupassant, Zola, Céline… Un registre merveilleux (opposé au registre réaliste) Le genre de prédilection est le conte.

entre ensuite dans un néant affreux (23) quand il cesse de porter son costume persan. Cette reprise repose sur la référence implicite au paradis et à l'enfer et souligne le renversement de statut subi par le personnage. C'est enfin un commentaire du narrateur qui opère la transition entre le premier mouvement du texte - l'expérience de la gloire- et le second - l'expérience de l'indifférence-. Ce commentaire, situé en début de paragraphe, témoigne d'une mise à distance de l'action par la réflexion : je

observations proposées. Complétez les observations suivantes en cliquant sur la réponse de votre choix (une par onglet) : Les deux premiers vers évoquent : le portrait d’une femme. ○ le portrait du promeneur. ○ la description de la promenade du narrateur. ○ Vers 1: Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Vers 2: Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ; Vers 3: Moi qui passais par là, je crus voir une fée, Vers 4: Et je lui dis : Veux-tu t'en venir dans les champs ? 3.4.2

intensément à son projet, d'où l'emploi du verbe: "méditait". D'entrée de jeu, Maupassant nous montre l'abstraction du projet avec le nom "theorie", on devine qu'il ne s'adapte pas à l'évolution de l'enfant. Il y a donc un jugement implicite du narrateur (limite du naturalisme) qui nous annonce que le projet va echouer. Le père a un réel plaisir de construire sa fille (mythe de Pygmalion) comme le montre le verbe "faire" L'adjectif indefini intense "tout" nous montre l'enthousiasme du père pour

lecteur –le discours rapportés –les niveaux de langue : ils sont censés reproduire le langage des personnages Le registre fantastique : Le registre fantastique vise à communiquer une peur, une angoisse ressentie par un personnage, un narrateur. Il se caractérise par un bouleversement des perceptions habituelles du monde (un personnage peint dans un tableau nous fait signe, un miroir reflète un autre visage). Le fantastique désigne donc l’irruption d’un phénomène inexplicable que l’on met