La Théocratie Pontificale

Comment y arrive-t-il ? Rôle de l’Eglise auprès des carolingiens & Rôle de la législation carolingienne qui nivelle le droit carolingien. Au 8e et 9e s après JC, les hommes d’Eglise entourent les monarques carolingiens à tel point qu’on parle de théocratie, et pousse vers une union du droit qui mènerait à l’union de la chrétienté. Ex : Texte du 9e s après JC de l’archevêque de Lyon Agobard qui ne rêvait à l’unification des droits adresse à Louis le Pieux (fils de Charlemagne) un texte où pour résumer

fondateur de la dynastie des Carolingiens. CHAPITRE 2 : LES TEMPS CAROLINGIEN Section 1 : Le pouvoir carolingien Reconstruction entre 750 et 800. On assiste pendant cette période à la réunification de l’empire. La restauration impériale La théocratie royale Ce sont les évêques qui vont asseoir les fondements du pouvoir, ils insistent tous sur le fait que le carolingien à reçu l’onction du saint chrême, c’est cette onction qui va constituer l’essentiel du sacre. Donc le roi tire son pouvoir

de Dieu, la source du pouvoir est une source divine. pour dieu : le but du roi est la recherche de la justice divine. Cela veut dire que dans la façon de gouverner, le roi carolingien doit mettre en oeuvre les dogmes religieux. On nomme cette théocratie l'augustinisme politique. Saint augustin est du 5e siècle, et il est l'un des fondateurs de l'église. Il a créé la religion catholique. Le pouvoir temporel et le pouvoir spirituel sont umbriqué, au point de ne pas pouvoir le séparer. Les deux agissent

(germains) y sont installés et ils n’étaient pas chrétiens, ils persécutaient le pape. Le pape a demandé l’aide de pépin le bref et il a mis la main sur des terres qu’il allait donner au pape et qui allait faire les états pontificaux (jusqu’au 19ème siècle). Ces états pontificaux ont été crées mais de quel droit pépin le bref le fait. Seul l’empereur aurait pu le faire. Ici c’est donc une invasion pour justifier cela on à écrit la donation de Constantin. Cette donation était bien vue car il aurait

des concepts politiques romains pour délimiter les pouvoirs temporel et spirituel, il va reconnaître à l’Empereur la potestas, la puissance de commandement et que le pape détient l’autoritas. Gélase a subordonné le pouvoir impérial à l’autorité pontificale. Cette espèce de guerre va durer tout au long du Moyen Age en France. Que va devenir le christianisme face à la destruction de l’empire romain ? Il va s’adapter face à la nouvelle menace : installation des germains aux portes de l’empire

essayé d’y répondre en exploitant les données d’une enquête orale portant sur cette problématique ; enquête menée pendant près de deux semaines au Fuuta-Jaloo et dans deux préfectures de Basse Guinée situées dans l’ancien débouché commercial de la théocratie. Mais pour mieux mettre en évidence l’originalité des résultats de l’enquête, et privilégiant en cela l’approche comparative sous-jacente, j’ai d’abord présenté la question selon ce qu’on en sait à partir des données écrites disponibles (sources

le pouvoir temporel (potestas) et de l’autorité spirituelle (auctoritas)7. Cette lettre, préfigurant la doctrine médiévale8 des deux glaives9, devient à fin du XIe siècle l’un des textes clefs invoqués pour soutenir la supériorité de l’autorité pontificale sur la potestas impériale. Mais l'usage qui en est fait alors, dans l'optique de la séparation du regnum et du sacerdotium, provient de l’importance excessive accordée à ce qui est en fait une citation altérée de la lettre de Gélase, qui mentionnait

un ensemble de doctrines couramment répandues en France du XVe au XIXe siècle, qui affirme sur les plans théologique et juridique la liberté de l’Église française et la supériorité du pouvoir royal face aux prétentions du pape visant à la théocratie pontificale. 2. Bundestagsfraktion der CDU/CSU, Islam in Deutschland, Dokumentation eine Anhörung der CDU/CSU, décembre 1999. 3. Deutscher Bundestag, « Antwort der Bundesregierung auf die große Anfrage der Fraktionen der CDU/CSU und FDP », op. cit. 4

siècles Première partie : l'état de l'Empire byzantin au XIe siècle 1.Constantinople, capitale de l'Empire byzantin 1.Organisation de la ville 2.Les symboles du pouvoir 3.Évolution de la ville 2.Le pouvoir dans l'Empire byzantin 1.Une théocratie 2.La vie politique dans l'Empire byzantin 1.Les acteurs de la vie politique 2.Le pouvoir à Byzance 3.L'organisation du clergé 1.La hiérarchie 2.Les moines 3.Le schisme de 1054 3.La situation économique et sociale 1.La présence

mission qui lui est confiée. Avec l’arrivée des carolingiens et avec la caution de la papauté, le sacre va revêtir une autre dimension : va désigner à tout le peuple celui qui a été choisi par D pour diriger le peuple chrétien. Va alors naître la théocratie : pouvoir de D, par D et pour D. Ministère donné à un homme pour diriger le peuple chrétien. On revient à des valeurs liées à la tradition romano-chrétienne. Pépin sait qu’avec cette élection, son pouvoir et sa transmission restre fragile. Très