La Vanité Humaine

un appât puissant. La réponse intermédiaire du philosophe qui joue sur l’ironie « Au digne emploi que vous feriez de la richesse, je vois combien c’est grand dommage que vous soyez gueux. Vous vivriez là d’une manière bien honorable pour l’espèce humaine, bien utile à vos concitoyens ; bien glorieuse pour vous. » tente de retrouver dans la charge des puissants une utilité que Lui lui dénie. Cette intervention amènera un jugement sur les philosophes. Sa diatribe sur les philosophes « nous en donnerons

présentes dans notre culture, voir Bossuet page 178 et Pascal page 176.) pour montrer la fragilité et la finitude de l’homme. Relevé : le caractère éphémère de la vie humaine et sa fragilité, ligne 1 « naître faible », « pour végéter quelques minutes sur la terre » ; thème de l’ignorance (vanité humaine ; voir tableaux allégoriques « les vanités ».)…………………………. Procédés : «  végéter, engraisser » : métaphores (plantes) quelques minutes : hyperbole …………………………………………………………………………………………………………………………………………. Anaphores

jamais immédiatement donnée. Quant a ce vers : Je vogue en même mer, et craindrais de périr Il reprend le thème de l'existence considérée comme une mer, motif qui signifie que la vie humaine n'est rien d'autre que le jeu de l'apparence et de l'incertitude. II. La dénonciation d'un usage inadéquat de l'existence humaine Une vision critique de la société de cour Nous quitterons pour le moment la considération générique pour nous intéresser aux thèmes abordes par ce texte. L'un des thèmes les plus

dévalorisation de la vie humaine: Voltaire oppose implicitement la vie terrestre avec la vie « après la mort », la seule vraie vie dans la tradition chrétienne. Il emploie alors des expressions dévalorisantes pour désigner les réalités humaines: « un petit tas de boue » (le monde), »les fragments arrondis d’un certain métal » (périphrase qui désigne l’or), « le fardeau d’une vie pénible et passagère ». Pour la richesse et le pouvoir, Voltaire utilise le terme de « vanités » (=quelque chose qui est

les hommes†ª. ´†La tortue et les deux canards†ª, qui appartient au livre†10 des Fables, publiÈ en 1679, ne dÈroge pas ‡ cette rËgle puisque les mÈsaventures d’une tortue imprudente et vaniteuse vont permettre au moraliste de dÈnoncer ces travers humains et de montrer une fois de plus que la parole est un instrument ‡ double tranchant. Nous nous intÈresserons ‡ la faÁon dont la variÈtÈ tonale de cette fable ‡ l’issue tragique permet la dÈlivrance d’une morale de la juste mesure. Pour cela nous verrons

qu’une seule ambition, c’est celle d’une valeur morale et religieuse qui prime sur l’utilité physique. Ainsi, comme le dit Chateaubriand dans son texte des Pyramides : « Les grands monuments font une partie essentielle de la gloire de toute société humaine. « Même s’il ne reste plus que des fragments de pierres, elles font partie du passé, nôtre passé à tous, et même si elles n’ont pas grande valeur boursière, elles ont une grande valeur morale un peu comme le christ à la religion. Cependant, inconsciemment

mets favoris) . Se cantonne délibérement ds la sphère du privé. De ttes façons la seule façon de maitriser la masse de connaissances c’est de les rapporter à soi . = par ce retour à soi, Montaigne vise à accéder à la connaissance de la condition humaine à travers sa propre individualité . 2. Abaissement de soi Veut caractériser les Essais comme le diagnostic de son individualité déterminée par nombre de facteurs (âge) ss prétendre à représenter une norme ou l’homme en général. Pour cela il limite

protestants croient en un seul intermédiaire entre les hommes et Dieu, ce crucifix nous rappelle donc le Christ. On distingue au premier plan une forme étrange, que les historiens ont longtemps prise pour un os de seiche. En réalité, il s’agit d’un crâne humain déformé par effet d’une illusion d’optique : l’anamorphose. Une anamorphose est une transformation géométrique d’une image ou d’un objet afin de la rendre méconnaissable. C’est une forme extrême de perspective, fréquemment utilisé au 16ème siècle

qui a tout donné » Voltaire lui parle avec un respect marqué « s'il est permis...d'oser te demander », « daigne ». Il lui demande d'avoir pitié des hommes. Il l'invoque par 3 fois « à toi ». « fais que » Il lui demande d'avoir pitié de la race humaine « regarde en pitié » comme durant la messe où on supplie Dieu d'avoir pitié de nous. Il lui demande d'épargner les hommes, que Dieu ne nous punisse pas comme il a pu le faire dans l'ancien testament (les plaies d'Égypte, le déluge). Voltaire rappelle

que|Bossuet veut montrer|Evocation macabre du |Description macabre des camps|Memento mori, | |mort ou des morts. |des pendus » : |les os » Ronsard se |« le corps mort » de|corps mangé des vers |de la mort au ch. 69 du |transis, vanités, | | |« chair dévoré et |décrit comme un |Lazare suivant en |par Voltaire dans le |livre de Cohen |triomphes de la mort| | |pourrie » mangée par|mort-vivant. |cela la