La Vengeance Est Elle Juste

toute sa fureur. J'aime. Ne pense pas qu'au moment que je t'aime, Innocente à mes yeux je m'approuve moi-même, Ni que du fol amour qui trouble ma raison Ma lâche complaisance ait nourri le poison. Objet infortuné des vengeances célestes, Je m'abhorre encor plus que tu ne me détestes. Les Dieux m'en sont témoins, ces Dieux qui dans mon flanc Ont allumé le feu fatal à tout mon sang, Ces Dieux qui se sont fait une gloire; cruelle De séduire le

peut-être à recommencer, mais volontairement, comme une vengeance ! Vous le condamnez à la criminalité ! Lui, une âme pure, noircit par un jugement trop dure, un jugement trop sévère ! Vous le condamnez a toute une vie de malheur et de préjuger ! Mais il n’est pas la seule victime ! Pensez à ses neveux, messieurs les jurés ! Ses neveux, qui sont comme ses enfants ! Ses enfants ! En avez vous, messieurs les humbles serviteurs de la loi juste et compréhensive qui règne dans notre pays ? En avez vous 

Atrides on peut voir une justice archaïque, fondée sur la vengeance reproduisant la violence et le meurtre de génération en génération : Agamemnon sacrifie sa fille Iphigénie ; son épouse Clytemnestre la venge en faisant tuer Agamemnon par son amant Egisthe ; ces derniers sont à leur tour assassinés par Oreste, fils d’Agamemnon et de Clytemnestre. Dans la dernière pièce de la trilogie, la justice change radicalement, le cycle de la vengeance s’arrête définitivement : Oreste est jugé par un tribunal

avec ces métaphores, elle expose l'émotion cruelle qui l'a secouée avec l'expression douce-amère « mon cœur horrifié a battu la chamade » (v. 28) qui démontre la vive émotion à laquelle elle est en proie et va engendrer l'horreur qui modèlera sa vengeance. D'ailleurs, elle souligne très bien au vers 20, en s'interpellant elle-même en utilisant la deuxième personne du singulier pour mieux se montrer du doigt (« tout ce qui est à TOI »), que tout ce qui lui appartenait ou lui était cher jusqu'ici n'appartient

………………………………………….. page 6 III. Personnages et leurs Liens ……………………..…… Page 8 IV. Les Grands Thèmes……………..................................Page 9 * L’Amour ……………………………………........page 9 * Le Mensonge ………………………………….... page 9 * La vengeance ………………………….…..…... page 10 * La Mort ……………………………………...….. page 10 V. Notre Passage Préféré …………………………..….....Page 11 VI. Conseillez le Livre…………….……….…….…........ Page 13 I Biographie de l’Auteur Edmond

ne ressent plus la tension qui si souvent lui opprime les épaules. Elle est en accord avec elle-même, le ciel ayant eu pitié de son trop plein d'animosité, la soulage pour une soirée. Une telle méchanceté dans des yeux si calmes, un tel désir de vengeance dans un corps si chétif... Les gens ne pensent pas, n'imaginent pas... Ils s'en fichent, lèvent les yeux au ciel devant des simulacres pareils, ricanant bêtement devant la possibilité d'un quelconque mal chez un caniche aussi sage. La nuit la petite

avoir valeur d’exemplarité pour toutes les sortesde criminels en puissance. La réparation ? A-t-on jamais vu uneexécution rendre la vie à une victime ? Eh bien, non, car la peine de mort ne leur à jamais rendu la vie. La peine de mort sert juste à remplacer la vengeance. Par contre, peut-on empêcher lescriminels de récidiver ? Cela peut passer par d’autres moyens que la mort, >, entend-on souvent.C’est aussi simple que cela, selon moi il faudrait changer le système judiciaire et l’application des lois

quand j'étais adolescent dans ma trézième année Je me trouvais en classe de 5eme au collège de Bagneux ,juste avant les vacances d'été . Dans ma classe ont étaient à peut prêt trente élèves , un jour un élève de ma classe ma fait un croche-pied dans les escalier et je mettais fracturé la jambe gauche et donc 1 mois dans le plâtre a ruminer ma vengeance. Après avoir bien réfléchit ou et comment j'allais réaliser mon plan et pouvoir le mettre a exécution . Et ce long

pétri de connaissances, ne lui enseigne que ce qu’il juge devoir enseigner. Manipulation, torture, mensonge et chantage, tels sont les moyens exercés par Prospéro pour mettre en scène son désir de justice qu’il est tentant d’appeler désir de vengeance dans un premier temps. Car si la magie est pouvoir, elle paraît agir dans chaque œuvre contre un autre pouvoir, celui du monde, de la loi des hommes ou de leurs mœurs. La magie est ainsi un moyen de pression, une force qui permet de modifier les

droit de vengeance, il appartient autant à la victime qu’à sa famille, il est collectif, logique de clan). Les lois elles même ont prévu un système de tarification que l’offenseur devait verser à la victime pour éteindre la vengeance. C’est un système qui a reculé par rapport au droit romain. Les rois mérovingiens ne sont pas intervenus pour faire cesser la vengeance car ils n’avaient pas de pouvoir suffisant et eux même n’était pas exemplaire car ils pratiquaient cette vengeance. Le rôle