La Vengeance Est Elle Légitime

faut que tu périsses, et… Dom Carlos Ah ! mon frère, arrêtez. Je lui suis redevable de la vie ; et sans le secours de son bras, j’aurais été tué par des voleurs que j’ai trouvés. Dom Alonse Et voulez-vous que cette considération empêche notre vengeance ? Tous les services que nous rend une main ennemie ne sont d’aucun mérite pour engager notre âme ; et s’il faut mesurer l’obligation à l’injure, votre reconnaissance, mon frère, est ici ridicule ; et comme l’honneur est infiniment plus précieux que

pièces où la catharsis est la plus visible. Le personnage de Médée nous fait ressentir à la fois horreur et pitié. Ici, nous observons l’envie de vengeance de Médée qui se concrétise et qui augmente au fur et à mesure que Médée sombre dans la folie, ses actions devenant de plus en plus horribles et violentes. a. Le commencement du processus de vengeance de Médée Acte I scène 4 Médée Tout ce qu’en ta faveur fit mon amour extrême, Je le ferai par haine ; et je veux pour le moins Qu’un forfait

motivations qui ont poussées Néron à ravir Junie. Arrive Britannicus, affolé. Il recherche Junie désespérément. Agrippine, échaudée par sa soudaine disgrâce propose à Britannicus une alliance pour renverser Néron. Ce sera le meilleur moyen d’exercer sa vengeance. Britannicus ne donne pas sa confiance sans garantie. Il ouvre son cœur à Narcisse son ami et gouvernant. Acte II Dans l’acte II, on découvre un Néron plein de morgue et sûr de sa toute puissance. Il condamne Pallas à l’exil. Ce dernier est

contraire accueillir l’autre comme un frère - juger, mais comprendre - effacer une faute : le passé ne s’efface pas - Pardonner ne signifie pas oublier. Au contraire, il faut se souvenir de l’offense pour pardonner. Mais, à l’inverse de la vengeance qui refuse l’oubli pour inscrire éternellement une dette de haine, le pardon nous délivre d’elle, nous libère d’un passé qui n’arrive pas à passer. D’où son utilité pour chacun tout au long de la vie. - justifier : la faute reste une faute, une

chaque fois qu'on ferme les yeux, à chaque fois que notre corps se plie et se tord de souffrance, la souffrance de n'avoir pu rien faire, de n'avoir pas été là au bon moment, la souffrance infligée à l'autre et qui nous lacère.. On crie alors vengeance. Quelqu'un doit payer, mais payer dans sa chair pour que cette douleur disparaisse. On aimerait pouvoir appuyer sur la détente, renverser ce corps avec une voiture, car il ne mérite pas de vivre. Mais décemment on ne peut pas, même si l'envie de

sacrifier sa vie pour elle , pour qu’elle accomplisse sa vengeance -> champs lexical de la vengeance - La seule condition : qu’elle le garde dans son cœur en souvenir. CHIMENE : Fait une argumentation en deux temps - Elle aime Rodrigue et lui avoue certaines vertus ( V31) + elle doit obéissances au Roi ( V32 avec présent de vérité général ) - Mais objection : elle remet en cause la légitimité de la volonté royale -> Le Roi rend légitime le meurtre de son père en lui demandant d'épouser R ( V37/40

de faire justice soi meme car qu’adviendrait-il si chaque victime agissait de la sorte? Prenons un exemple, un parent tue l’agresseur de sa fille. N’est-il pas logique que celui-ci aille en prison? Oui, effectivement il s’agit de vengeance et la vengeance quelqu’en soit la sorte doit être puni! Car il faut tout de même avouer que Madame Lejaret, a executé un acte barbarre surtout en sachant que celle-ci pratique le métier de vétérinaire et que donc elle exerce sur des animaux. Madame

ces soi-disant ‘Entente Cordiale’ ou ‘Triple-Alliance’. Imaginez chers amis, que la France, pays des Lumières et du progrès, est alliée à la Russie féodale, qui n’hésite pas il y a presque une décennie de cela, à réprimer dans le sang l’expression légitime des malheurs que subit son prolétariat et sa paysannerie. Non, la guerre n’est pas une issue à rechercher car elle coûtera en or, en sang et en malheur.Acceptons-nous que nos civils innocents payent le prix des profiteurs de la guerre ? Acceptons-nous

vassal du Roi Louis VI. Nous analyserons donc dans un premier temps la situation exposé par Suger qui condamne dans ce présent extrait le comportement du Sire du Puiset (I) puis nous étudierons les griefs mis en avant par le Comte Thibault afin de légitimer son appel à l’aide (II). I. L’exposé de la situation par Suger A- La soumission du Comte & de la Comtesse de Chartres au Seigneur Hugues du Puiset.  ni du roi de l’univers, ni du roi de France : Hugues ne reconnait pas l’autorité supérieure

punition transforme Dantes, un jeune homme bon et sur le droit chemin, en un homme qui ne cherche que la vengeance : le comte de Montecristo. Ce dernier cherche à réparer les torts qui lui ont été causés, réinstauré une forme d’égalité dans l’injustice qu’il a subi, pour cela il va punir les trois personnes qui lui on fait du mal. Cette punition, qui est surtout une vengeance, semble pourtant plus légitime que la première punition, cette fois-ci légal, qu’il a connu. Ainsi, on en vient à se demander si