La Vengeance Est Elle Légitime

violence n'est pas quelque chose dont il faut abuser. On ne doit pas user de la violence pour un usage personnel comme la vengeance contre quelqu'un qui a outrepassé ses droits civiques envers autrui. En temps de paix, la violence peut être légitimé lorsqu'un individu cherche à se défendre d'une violence ou d'une privation de liberté qui lui a été imposée. On peut parler alors de légitime défense mais celle-ci n'est acceptable que dans des cas très précis. Il faut que la liberté de l'individu ou que l'agression

est tourmenté par une réelle obsession « d’un autre ». Plus précisément, il est hanté par son légitime rival, le roi d’Espagne, Don Carlos, responsable de la mort de son père. À travers cette tirade à la tonalité tragique, nous pourrons étudier les sentiments divers proférés par le héros. Premièrement, nous étudierons son obsession pour son rival. Ensuite, il s’agira de comprendre son désir de vengeance ainsi que sa haine profonde pour son ennemi. Enfin, nous verrons en quoi Hernani peut être qualifié

peut-elle être légitime? Violence vient du latin violentia, violence (de caractère), fougue, emportement, humeur farouche, cruauté, rigueur (morale), dureté, dérivé de violens, violent, lui-même de vis, vigueur, force La violence est une force non contenue, brutale, une extrême véhémence, une grande agressivité, exercée par une personne ou un groupe de personnes contre quelqu'un pour obtenir quelque chose LEGITIME : légitime vient du latin legitimus, fixé par les lois, conforme aux lois, légitime, légal

v1785 : antithèse, du registre épique) -v1786, Rodrigue est prêt à être supérieur à tout les héros + verbe d'action, forcer, entreprendre. -Mais = Rodrigue est prêt à sacrifier sa vie pour que Chimène accomplisse sa vengeance -ch. demande la vengeance (champ lexical de la vengeance) -allitération en « v » Donc, Rodrigue est un héros qui se montre comme tel. Il donne une condition : qu'elle le garde dans son cœur.  b) Le dilemme de Chimène -Chimène fait une argumentation à deux temps -Elle

tenu par la force (effondrement moral). Le coryphée se fait le porte-parole de la loi du Talion, il le rend légitime : « celui qui les tuera à leur tour », « rendre mal pour mal ». La justice du talion relève de la finitude, d’une certaine forme de progrès. Le chœur appelle les Erinyes à donner la mort à Clytemnestre pour avoir tué Agamemnon. Le meurtre d’Oreste sur Clytemnestre est légitimé par les Erinyes parce que sa mère a appelé son sang en tuant son père. Electre justifie le matricide en montrant

on pourrait penser qu'en punissant le criminel, la société venge sa victime. En effet à un mal subi, on répond par un mal infligé or il est vrai que la vengeance se définit par l’action par laquelle une personne offensée, inflige en retour et par ressentiment un mal à l'offenseur afin de le punir. Ainsi, on confond souvent justice et vengeance (comme lorsqu'on utilise l'expression contradictoire : « se faire justice soi-même »). Le propos de ce devoir va donc être de se demander si faire justice

qq chose (j’ai eu droit à un régime de faveur) • « de quel droit ? » : en vertu de quoi ? de quelle autorité ? • « payer ses droits » : redevances, sommes dues (droits d’inscription en fac) • « à bon droit » : de façon juste, légitime. Notons la polysémie des notions de droit et de justice : Au sens objectif, le droit c’est l’ensemble des lois instituées par les hommes pour régler de façon harmonieuse leurs rapports interindividuels et l’usage de leurs biens au sein d’une

capacité. "Jamais je ne pourrais pardonner". Le fait ne doit pas nous empêcher de nous poser la question de droit: est-il légitime de ne pas pardonner ? (et ceci quand bien même, dans les faits, le pardon nous semblerait impossible). Y a-t-il un domaine de légitimité du pardon? Mais la légitimité du pardon est-elle délimitable? Ne semble-t-il pas que le pardon soit légitime par lui-même, indépendamment du toute condition particulière? Le pardon paraît difficile à soumettre à des conditions particulières

elle-seule résumer l’un des thèmes préférés des classiques : la vengeance. C’est également ce sujet que développe Victor Hugo dans la scène d’exposition de Ruy Blas. Chef de file du drame romantique, mouvement du XIX° siècle qui prône le renouveau et la rupture, l’auteur nous présente dans cet extrait Don Salluste, personnage fourbe et machiavélique de la pièce, à l’orée de son projet de revanche sur la reine. Il nous semble donc légitime de nous demander dans quelle mesure cette première scène appartient

moins, la menace d’un procès. En a-t-il vraiment l’intention ? A-t-il conscience que la volonté de vengeance qui l’anime risque de le conduire à franchir les limites de la violence légitime ? Il oublierait le devoir qu’il se doit de garder son équilibre, en régulant ses émotions de colère. Il oublierait aussi qu’il doit ne pas rendre d'injustice à son employeur, en régulant mal son désir de vengeance. Mais la situation semble sans issue. Déjà, Jacques n’avait pu bénéficier d’une médiation en interne