La Vertu Ménon

pensée c'est l'expérience de la diversité des opinions, leur valeur contradictoire. > Comment surmonter cette diversité des opinions ? En adoptant une attitude de méfiance, prendre conscience de leur faiblesse. Dans un dialogue de Platon, le Ménon, on peut repérer la différence entre deux types d'ignorances: L'ignorance consciente d'elle-même, lucide lorqu'une personne prend conscience de la fausseté des solutions qui se présentent à elle (condition de recherche de vérité). L'ignorance inconsciente

Socrate· Il faut amener des preuves · Il se promenait dans la rue et discutait avec TOUT le monde, sans aucune forme de discrimination, il défend que chaque personne en contact avec la réflexion soit bien· Défini aucun concept, tu dois définir les concepts pour affirmer quelque, peut-être car tu fais le mal sans le savoirEst-ce que seul une vie réfléchie vaut la peine d’être vécue ?Arguments :1) À cause du problème du mal ; tout le mal qu’il y a dans le monde s’explique par un manque de réflexion

les journaux… Ainsi, ce n’est pas n’importe qui qui peut se présenter comme premier ministre et être élut. Il faut de l’argent pour être vu et être entendu. L’opinion de Platon sur la vie politique a changé avec le temps. Par exemple, dans le Ménon, Platon affirme que « La force, la beauté, et bien sûr la richesse, sont des choses que les gens remarque beaucoup en politique » . Un journaliste aurait pu écrire la même phrase aux élections de 2009. Cette phrase représente très bien ma représentation

l’homme créa l’univers)   • Héraclite Fragments • Epictète Manuel • R.  Descartes Lette à Chanut du 6 juin 1647 (une jeune fille louche) • B. Spinoza Éthique, III (De l’origine et de la nature des sentiments) • E. Kant Doctrine de la vertu, XVI (la passion est une affection constante) • F. Nietzsche La généalogie de la morale (le « ressentiment ») • S. Freud Introduction à la psychanalyse • Cinq psychanalyses • F. Alquié Le désir d’éternité (la passion comme « refus du temps ») 

mot, les deux sophistes prouvent par des arguments machiavéliques que le mensonge n’existe pas ! 4ème partie ou acte 4 : Socrate tente une nouvelle fois de montrer aux sophistes comment s’y prendre pour que Clinias s’améliore sur la question de la vertu. Il parle de la nécessité de rechercher la sagesse ou philosopher. Mais comme le dit Socrate, philosopher, c’est une science. Ils parlent donc de certaines sciences et de certains arts. Socrate fait intervenir Crition sur son discours à propos de la

formes pures. Toute connaissance cherche à s'éloigner du cas particulier pour aller vers l'essence. Ainsi les dialogues de Platon ne parlent pas des choses belles mais de La Beauté, des actes courageux mais du Courage, des actions vertueuses mais de la Vertu, et ainsi de suite. « Il faut en effet que l'homme arrive à saisir ce qu'on appelle « forme intelligible », en allant d'une pluralité de sensations vers l'unité qu'on embrasse au terme d'un raisonnement » (249b).     d) Les Idées sont le modèle de

pas au philosophe. Lui ne peut que me proposé une recette, mais je suis celui qui choisit de préparer le gâteau, qui se procure les différents ingrédients, et qui « met la main à la patte ». Le Bonheur est l’ultime récompense aux combats que nous menons, il a un caractère sacrés et purement personnel qui justifie le caractère privé de sa recherche. Celle-ci doit-être livrée par soi-même pour soi-même, car il est important pour l’individu de se créer une identité, de ce détacher de la communauté,

pour conduire notre raison ? D’abord nos raisonnements eux-mêmes peuvent être différents : certains utiliseront la déduction, d’autres procèderont par induction ou encore par analogie. Les principes ou préjugés à partir desquels nous réfléchissons et menons notre raison peuvent varier en fonction de notre culture, donc de notre milieu social, de notre éducation, de notre époque ou encore de notre histoire personnelle. Autant de raisons qui expliquent combien nous conduisons notre raison par diverses

des expériences, de l’éducation de chacun. Socrate constate que les sophistes peuvent tenir de longs discours : Ménon sur la vertu, Gorgias sur la rhétorique, Euthyphron sur la piété. Mais ils n’arrivent pas à répondre à la question de Socrate : qu’est ce que la vertu ? qu’est ce que la rhétorique ? qu’est ce que la piété ? Ménon s’étonne : comment peut-on ignorer ce qu’est la vertu dès l’ors qu’on la nomme, c'est-à-dire qu’on la signifie dans le langage ? En fait, et nous en faisons l’expérience

l’infini à travers des tables rondes, des conférences, des séminaires, des ateliers de réflexion et qui continue à nourrir un besoin immense d’être clarifiée voire redéfinie. Montesquieu disait que « le ressort de toute éducation était la vertu et que cette vertu n’est pas la propension à faire le bien. Elle s’apparente plutôt à ce que nous appellerions aujourd’hui le courage, courage de chercher la vérité, de la regarder en face et de la défendre quand on croit l’avoir trouver. Elle exige beaucoup