La Violence Antithèse

tableau en clair obscur : o obscurité/lumière vers 7 (tétramètre : beauté)  les ombres/les flambeaux vers 11 • dualité accordée à la dualité de la scène o opposition des vêtements: "simple appareil" /ravisseurs en armes o opposition douceur/ violence : larmes /armes douceur/ravisseur A la fois un souvenir et une rêverie dans un récit qui est surtout un tableau tout en contraste. Place le texte sous le signe de la dualité, et de l'ambiguïté qui caractérise aussi l'amour de Néron. II. Néron

La violence comme structure narrative dans « Le renégat ou un esprit confus » d’Albert Camus « Le Renégat ou un esprit confus », l’une des plus obscures et des plus troublantes nouvelles rassemblées dans L’Exil et le royaume, constitue à plusieurs titres une mise en scène privilégiée de la violence comme stratégie narrative. Monologue étrange d’un missionnaire catholique dont la langue a été coupée par le peuple qu’il tentait d’asservir, critique ironique d’un délire fanatique – celui de religions

visuelles : « écarlates ou verts »(v.3), qui rappellent les uniformes rouges pour les français et verts pour les prussiens. Perceptions auditives : dureté des sonorités en [k] et [r] (v.5), afin d’exprimer le vacarme (bruit) ainsi que la violence des combats. Il s’agit donc d’une harmonie imitative. Le tableau du combat = registre épique (La dénonciation du pouvoir qui exploite les plus faibles et qui est indifférent à la souffrance (Les soldats sont des victimes -

régional de Lanaudière à L’Assomption Lundi 23 octobre 2011 Alors que l’on entre dans l’aire postmoderne du XXe siècle, l’essor des médias fait de l’information médiatique une constante importante de notre culture. On tolère de moins en moins la violence et on tente de dénoncer les injustices. Gil Courtemanche, journaliste et écrivain québécois, fait le point sur la tragédie du Rwanda perpétrée en 1994. Il publie en 2000 son œuvre Un dimanche à la piscine à Kigali que l’on peut qualifier de roman

temporelles du conte merveilleux : indications très floues dans le passé, stéréotypes et antithèses. • Déterminer les caractéristiques de la légende chrétienne : du temporel au spirituel. • Faire simplement constater que tous les événements ne bénéficient pas du même traitement narratif. 3) Les lieux Objectifs particuliers : • Retrouver la toponymie du conte merveilleux : indications très floues, stéréotypes et antithèses. Mise en parallèle : les châteaux, les forêts… • Déceler les caractéristiques de la

marchandises « blé flamands et coton anglais » + périples du bateau vers la mer Strophe 3 : Choc avec l'océan. La violence du naufrage Violence des Peaux-rouges : comportement sauvage («... les ayant cloués nus … ») + couleurs ( « criards », « poteaux de couleurs »). Violence des « équipages » des bateaux : le commerce (« blé flamands » coton anglais) est assimilé au tapage. Violence des éléments : nature déchaînée et emportée (« le clapotement furieux des marées). Un naufrage libérateur

racistes : les noirs sont tournés en dérision, dénigrés, imitation moqueuse de leur façon de parler ( déshumaniser ), injures « charogne », « boudin » -violence morale => humiliation du père de famille violence physique des blancs => « coup de pied », « grand coup de botte en plein dans les fesses » les termes : grand et plein insistent sur la violence champ lex de l'attente : « longtemps », « deux mois » .. -échange commercial faussé => spoliation de la famille, vol « transaction » *dénonciation

vie à cause de la Religion. Il parle de procréation dans le texte qui est une idée humaniste. -Dans le texte de « l’Utopie » Thomas More présente une société idéale dans laquelle il rejette la société du Moyen-âge. Il rejette toutes formes de violences et soutient la tolérance entre tous. Là aussi il parle d’une idée humaniste. -Dans le texte « Le prince » Machiavel nous dresse un portrait négatif sur le comportement des hommes. Il parle de leur cruauté et de leur égoïsme. Il veut uniquement,

défunte Il y à aussi une récurrences des champs lexicaux de l'horreur et de la violence qui montre race a l'utilisation des temps passés la souffrance qu'a déjà subit la famille d'Athalie et qu'il y a une suite chronologique à ses malheurs qui est implacable et sans fin. L'expression du tragique se fait aussi par les antithèses des vers 7 à 12 où l'on observe une succession d’antithèses qui opposent malheur et violence à amour . La passion est d'autant plus souligné dans toutes la tirades par les

intitulée « Misères ». Il décrit la France déchirée par les guerres de religions à travers l’allégorie d’une mère impuissante face à la violence de ses deux fils. Lecture du texte • Comment D’Aubigné utilise-t-il la force du language poètique pour dénoncer un mal de son temps : les guerres de religions. I) Un tableau allégorique caractérisé par la souffrance et la violence : la force du langage poétique. A) La représentation allégorique d’une France qui souffre B) La mise en scène réaliste du combat