Laplantine

participante, l écoute et la prise de note. « C est l observation directe de comportements sociaux particuliers à partir d une relation humaine, la familiarité avec les groupes que l on cherche à connaître en partageant leur existence. » nous dit Laplantine (1996, p. 16). Pour le chercheur, il s agira « de tenter de comprendre comment fonctionne ce groupe. Ce qui le caractérise. » selon Eymard (2003, p. 76). En effet, les recherches utilisant cette méthode ont un intérêt pour l étude d un groupe socialement

 144p., (Bibliothèque du MAUSS).  LAFAGE G. [1991], « Imaginaire, imagination », in Mawon (No 90‐91), Communiquer la culture, Paris : CEDAGR, , pp.51‐59  LAMIZET B. [2002], Politique et identité, Lyon : Presses universitaires de Lyon, 350p.  LAPLANTINE F., LAPLANTINE F., NOUSS A. [1997], Le métissage, Paris : Flammarion, 127p., (dominos).  LIAUZU C. (Ss la Dir.) [1992], Race et civilisation : L'autre dans la culure occidentale. Anthologie historique, Paris : Syros, 492p.,  (Alternatives).  LUTHER KING M

symbolique est fondamental car il nous permet de nous éloigner des travaux fondés sur l’éthologie en établissant une barrière entre monde animal et monde humain. La culture est humaine car elle relève du symbolique. C’est ce que nous explique François Laplantine dans son ouvrage Clefs pour l’ethnologie (Seghers, Paris, 1987) en disant : « (…) ce qui distingue la société humaine de la société animale, ce n’est nullement la transmission des informations, la division du travail, la spécialisation hiérarchique

XIXème siècle que l’ethnographie prend son sens commun, à savoir « la description des faits » (Copans, 1996, p.9). Laplantine (2000) parle même de description ethnographique pour qualifier cette méthode d’investigation. « Activité d’observation, l’ethnographie est d’abord une activité visuelle ou, comme le disait Marcel Duchamp de la peinture, une activité ‘’rétinienne’’ » (Laplantine, 2000, p.9). Cette particularité visuelle de la méthode ethnographique vient notamment des travaux de Malinowski

personne ». Edition de l’aube, Paris, 1997. p. 85- - ION Jacques, Intervention sociales, engagement bénévole et mobilisation des expériences personnelles. Engagement public et exposition de la personne. Edition de l’aube, Paris, 1997. p. 77-84. - LAPLANTINE François, Entretien, Le métissage, moment improbable d’une connaissance vibratoire, n° 2/3, Multiculturalisme, Novembre 1999, P. 35-48 - LASCOUMES Pierre, Le collectif comme condition de l’engagement public : L’exemple de l’association AIDES

 144p., (Bibliothèque du MAUSS).  LAFAGE G. [1991], « Imaginaire, imagination », in Mawon (No 90‐91), Communiquer la culture, Paris : CEDAGR, , pp.51‐59  LAMIZET B. [2002], Politique et identité, Lyon : Presses universitaires de Lyon, 350p.  LAPLANTINE F., LAPLANTINE F., NOUSS A. [1997], Le métissage, Paris : Flammarion, 127p., (dominos).  LIAUZU C. (Ss la Dir.) [1992], Race et civilisation : L'autre dans la culure occidentale. Anthologie historique, Paris : Syros, 492p.,  (Alternatives).  LUTHER KING M

quartiers populaires des familles d'ouvriers issus de l'immigration, la démarche de recherche qualitative vise toujours à saisir d'une manière globale la vie collective d'un ensemble social dans l'ordinaire de ses dynamiques quotidiennes (Copans, 1999 ; Laplantine, 1996 ; White, 1995). Les questions de la relation à l'autre, de la distance culturelle et/ou sociale, et de leurs influences sur la nature et la validité relative des informations recueillies y jouent un rôle central. D'une manière générale, les

de échanges mondiaux jusqu’aux relations interindividuelles qui assurent le maillage des relations commerciales de son organisation réticulaire. Nous articulerons cette progression en trois parties distinctes et complémentaires. 5 François Laplantine La description ethnographique. Collection 128. Nathan 2004 - - 13 Nous allons, dans la première partie, tenter d’expliciter le contexte mondial dans lequel évoluent les commissionnaires de transport. Puis, nous examinerons les événements

péjoratif du fait de l'opposition entre culture et nature. Levi-Strauss définit la culture comme « L'univers dans lequel nous vivons en tant que membre d'une société, la nature est ce qui est transmis chez l'homme par hérédité biologique. » Pour Laplantine « La culture est l'ensemble des comportements, savoir-être et savoir-faire, d'un groupe humain ou d'une société donnée. » Contrairement à la notion de société, la culture est strictement humaine. Il s'agit d'échanger des symboles. Pour les chercheurs

Charles 1874 La descendance de l’homme, éd. Librairie C. REINWALD, Paris. KARDINER, A. & PREBLE, E. 1966 (1961) Introduction à l’ethnologie, Gallimard, Paris. LABURTHE, Philippe. et WARNIER, Jean-Pierre 1993 Ethnologie-Anthropologie, PUF, Paris. LAPLANTINE, François 1987 Clefs pour l’ethnologie, Seghers, Paris LOMBARD, Jacques 1994 Introduction à l’ethnologie, Armand Colin, Paris. MONTESQUIEU, Charles de Secondat, 1951 De l’esprit des lois, Œuvres Complètes, Gallimard, Pléiade, Paris. MORGAN, Lewis