Laplantine

méthode et de recherche » BLANCHET, Alain, GOTMAN, Anne, L’enquête et ses méthodes : L’entretien, Nathan Université, collection 128. DE SINGLY, François, L’enquête et ses méthodes : Le questionnaire, Nathan Université, collection 128, 1992. LAPLANTINE, François, La description ethnographique, Nathan Université, collection 128, 1996 MUCCHIELLI, Alex, Dictionnaire des méthodes qualitatives en sciences humaines et sociales, A. Colin, 1996. PERETZ, Henri, Les méthodes en sociologie, l’observation

scientifique qui prend l'homme comme objet de connaissance. Pour la première fois, les méthodes utilisées pour expliquer et comprendre la nature sont appliquées à l'homme, ce qui constitue un tournant dans la « pensée de l'homme sur l'homme » (François Laplantine). Jusqu'alors, cette pensée avait été mythologique, artistique, théologique, philosophique mais pas scientifique. L'homme n'est plus le sujet de la connaissance (celui qui sait sur) mais il devient l'objet de la science. Une autre caractéristique

ajouter que de nombreux chercheurs se sont intéressés au concept. Ainsi des anthropologues tels que Laplantine, des sociologues comme Bourdieu, des historiens comme Jean Claude Ariès ainsi que Duby ; des psychosociologues comme Robert Farr et Denise Jodelet ont évoqué cette question. Il faut dire également que la représentation a intéressé plusieurs autres domaines. Les travaux de Herzlich et de Laplantine dans le domaine médical ne nous dirons pas le contraire. Au niveau de la culture, c’est Donud Kaes

histoire et du contexte social et idéologique qui l'environne. L'étude des représentations sociale permet de mettre en évidence que la pensée sociale élabore la réalité selon différents modèles. Pour reprendre le domaine de la maladie, François Laplantine estime qu'elle peut être considérée d'après plusieurs modèles : maladie exogène / maladie endogène ; modèle épistémologique (biomédical, psychologique ou relationnel) ; modèle des systèmes thérapeutiques.  . Elle a un caractère autonome et

termes en présence. Revendiquer le mélange comme si nous étions confrontés à une alternative, engager un plaidoyer pour le métissage ne s’impose donc pas, car ce dernier n’est autre que la reconnaissance de la pluralité de l’être dans son devenir ». Laplantine & Nouss, 1977: 61 “Creole culture, hybrid forms, global universals such as MacDonald’s (and human rights discourses?) must [thus] be seen as superficial; while tradition, associated with ‘roots’ and the past, is profound”. Eriksen, 2001: 134

d'investigation donné (la technologie, la parenté, l'art, la religion…) encore moins une aire géographique ou une période, mais la spécificité de la démarche que l'on utilise et qui transforme ce champ, cet aire, cette période en objet scientifique» F. Laplantine   III) L'information : Concepts pour une approche   1. Sens du mot à travers l'histoire   Information: « Attesté (1274) au sens juridique et courant d'enquête faite en matière criminelle». à partir du 14e siècle c’est un «enseignement que

mais aussi dans lequel se rencontrent les langues: un vide jamais comblé, l'espace du deuil et du métissage. 91 Julia Kristeva,« En deuil d'une langue? », dans Autrement: série Mutations, p. 27. 92 Ibid., p. 30. 93 Alexis Nouss et François Laplantine, Métissages, de Arcimboldo à Zombi, Paris, Éd itions Pauvert, 200\, p. 470. 94 Ibid. 101 J'échappe alors à la pesanteur de la langue d'origine, du choix à faire d'une langue ou d'une autre et de la culpabilité d'en laisser une de côté au profit

Ces deux partis étaient tout deux très autoritaires. Gui llebaud; il parle d’un électro choc métaphysico-politique. Bouleversement de la philosophie de la vie dans sa traduction politique qui ébranle tous les pays Occidentaux de la planète. Laplantine a vu dans Mai 68 plusieurs choses : * une révolte et libération : contre le monde politique qui s’exprime par deux courants : le « trotskisme » et le libertaire * idée d’exaspération : contestation des rapports sociaux, dénonciation des

Gallimard/Julliard, 1974, 258 pages. -Louis-Vincent THOMAS, La mort africaine - idéologie funéraire en Afrique noire, Paris, Payot, 1982, 278 pages. -Hélène GERMA-ROMANN, Du « bel mourir » au « bien mourir », Genève, Droz S.A., 2001, 354 pages. -François LAPLANTINE, L’anthropologie, Petite Bibliothèque Payot, Paris, 2001, 256 pages.

possible ? Comment oublier son statut d’ethnologue ? Comment rompre ce grand partage, toujours d’actualité, entre le « eux » et le « nous » ? A propos de Jeanne Favret- Saada et de son terrain sur la sorcellerie dans le Bocage normand, François Laplantine nous dit qu’ « on ne voit pas comment l’ethnographe pourrait s’abstraire lui-même du récit qui fonde sa description de la sorcellerie. » Puis il ajoute que « l’ethnographie concerne tout autant ce qui est regardé et questionné que celui qui regarde