Le Beau Est Il Subjectif

vision du monde pas objective, mais dirigée par les convictions politiques. => Pas de vérité objective Peintre ne fait qu’une copie de la réalité => pas le vrai. -> Parallèle possible avec la théorie de Platon -> beau et essence du beau. Contre-argument II : Art -> trop subjectif : chacun sa propre interprétation => peut empêcher l’accès à une vérité commune. -> Problème de compréhension d’une œuvre d’art. => risque mélanger vrai-faux Exemple II : Un peintre faisant de l’abstrait -> sens

L'ART EST IL NECESSAIREMENT BEAU ? Platon va beaucoup se questionner sur l'art . L'Antiquité ( 5e avt JC ) , est marqué par les sculptures grecques . L'embleme de l'architecture grecque est le temple , la colonne ( l'Acropole ) et la tragedie ( ou comédie ) qui se déroulait à ciel ouvert dans des amphitheatre . Les églises vont seulement apparaitres au 10e ( Moyen Age ) , art roman et gothique ) , l'architecture est elle un art ? 17e : Epoque charniere : Changement : aujourd'hui , c'est un

goût. Exemple: les critiques d'art Décréter qu'une chose est de bon et de mauvais goût résulte donc d'un choix personnel, c'est un jugement.  Pour Emmanuel Kant, dans Critique de la faculté de juger (1790), le goût est la « faculté de juger » du beau. Une faculté subjective, mais dont le jugement a pourtant une valeur universelle. Exemple : l'art qualifié de « Kitch » est-il un art de mauvais goût, ou une vision artistique à part? C'est le problème de la subjectivité. Le bon goût comme esthetique

séparation entre le beau et le sublime (excepté Burke). Il montre que dans chaque explication de ces philosophes il apparaît une confusion. Il parle d’abord de Longin : « la confusion apparaît nettement chez Longin » Longin parle d’un sublime démesuré, irrésistible, il emploi 4 termes qui illustre son sublime : l’ampleur, la grandeur, le terrible et le redoutable. « Le sentiment d’exaltation devint ainsi, pour lui, synonyme de formulation parfaite. » soit une sorte de superlatif du beau, le sublime est

généraux Qui parle ? Récit : - Narrateur à la 1ère personne ? - Narrateur ou personnage extérieur à l’histoire ? Ex : récit à la 1ère pers. Par le personnage principal = récit subjectif Poésie : - Marques de la présence du poète ? - Termes subjectifs ? Ex : « je » (pronom personnel) + « ma » (déterminant possessif)+ « beau » (adjectif mélioratif) = implication du poète Théâtre : - Personnage seul sur scène ou diabolique ? - Nature de l’échange ? - Volume des répliques ? Ex : violence dans une confrontation

l'Antéchrist(1888), Ecce homo (1888). 1. La place de l’Homme dans le beau Dans la première ligne Le beau et le laid sont qualifiés comme étant « rien de plus relatif […] de plus borné » relatif qui signifie dans ce contexte non pas la comparaison mais l’insuffisance : l’insuffisance d’objectivité. Et borné, la limitation intellectuelle, la restriction de discernement. Pour Nietzsche le beau et le laid est donc soumis à notre « sentiment du beau », c’est-à-dire nos opinions. Il critique ceux qui veulent

l'homme, ou encore d'abord l'infini, puis le fini. Non. Kant part du sujet fini car notre pensée n'aura jamais accès à l'infini ou encore à Dieu car elle est limitée par le temps et l'espace. → Pour lui, il ne s'agit pas de se demander ce qu'est le beau en soi, mais se demander ce qu'est le jugement de goût. → Kant a écrit 3 livres :  Critique de la Raison Pure  Critique de la Raison Pratique  Critique de la Faculté de Juger (→ c'est dans ce dernier ouvrage que se trouve l'esthétique kantienne)

faire mieux c'est un décalage artistique. Exemple : De Fybias a rembrant il y'a marche mais pas progrès ==> L'art est un pas de coté c. Comment juger d'un mieux en art ? – probleme de la mesure universelle et objective Argument : beau = universelle goût = subjectif Exemple : Kant II. Le progrès existe quand meme en art, il passe par la technique... La technique est elle un gage de qualité ? a. Progrès du mimésisme. – Amélioration qualitative – Representation du corps humain – perspective

PH108B, 2004-2005 – TD Dutant – Semaine 2 Le beau et le sublime, §23 Caractéristiques communes aux deux jugements de goût On appelle jugements de goût les jugements qui attribuent le beau et le sublime. Les jugements de goût, et leurs objets, sont caratérisés de la façon suivante. 2. Les jugements de goût sont esthétiques mais désintéressés les jugements de goûts sont esthétiques Les jugements de goût sont esthétiques: dans les jugements de goût, la représentation est rapportée au sujet

(logique), mais de l'imagination (esthétique) Le jugement de goût n'est alors pas un jugement logique, ni un jugement de connaissance, mais un jugement « esthétique, c'est-à-dire un jugement dont le principe déterminant ne peut être rien autre que subjectif » : le jugement esthétique a pour fondement le sujet qui l'exprime. L'imagination, chez Kant, est donc subjective → NB : distinction entre le jugement logique et le jugement esthétique : le jugement logique se rapporte à l'objet pour dire