Le Beau Et Le Laid

base Socrate pour rejeter la définition de son ami Hippias et nous allons repérer deux caractéristiques typiques à la démarche intellectuelle de Socrate. Dans la deuxième définition de Hippias, il propose à Socrate celle-ci « … le beau est quelque chose qui ne paraîtra laid en aucun temps, en aucun lieu, à aucun homme. » Cette définition est insatisfaisante car Hippias fait juste répéter le contraire de ses paroles. Par exemple, c’est comme dire que quelqu’un est grand parce qu’il n’est pas petit. C’est

livre manifeste à la fois un travail poétique et critique, particulièrement vis-à-vis de la notion du beau. Sujet posé : Dans « La Charogne », Baudelaire dépeint la beauté à travers un éventail de comparaisons. Sujet divisé : D’abord, la beauté est représentée par une association de la femme et de la charogne. Ensuite, la beauté est dépeinte par le truchement de sensations qui allient le laid et le beau. Méthodologie 1- Exploration et accumulation de connaissances littéraires sur l’œuvre, l’auteur,

rendra, les moyens littéraires utilisés pour exprimer l’apparence extrême des espaces romanesques et des protagonistes y sont étudiés. Dans ce cadre nous voudrions mener une réflexion sur la valeur esthétique, thématique et symbolique de l’espace laid dans les deux textes. La dualité beauté-laideur est examinée quant à son rôle dans l’avancement des deux récits et la critique de la condition humaine difficile des petites gens. Le recours à la notion de l’espace dans la littérature est une pratique

• Charles Baudelaire (1821-1867) : poète romantique, sa poésie est caractérisée par son désir de dire le laid et le monde moderne : c’est un poète de la modernité. Il rompt avec les codes de l’esthétisme classique. Auteur d’entre autres Petits poèmes en prose (1864), Salons (critique d’art), du vin et du haschich (essai, 1851). • « Une charogne » : extrait du recueil Les Fleurs du Mal, section Spleen et Idéal. (Spleen = mélancolie, désespoir, angoisse et peur de la mort, dégoût généralisé de

ce beau matin d’été si doux » Verse un cadre idyllique + déterminant démonstratif qui accentue la journée exceptionnelle V2 adjectifs mélioratif « beau » « doux » renforcé par adverbe intensif « si »V1/4 rime suffisantes « âme » « infâme »Annonce la chute Antithèse « beau matin d’été si doux » « charogne infâme » Fusion du beau et du laid Antithèse dans

La guillotine plus situable dans le bon alors que c’est avant tout une torture qui a amené bien des débats. La problématique consistera à se demander comment le poète arrive à détourner le laid en beau. La première partie s’attardera sur le mélange que Jouy utilise dans tout le poème entre le beau et le laid voir tandis que la partie suivante traitera du goût et des impressions que transmet le poète au lecteur à propos de la guillotine. Le poète compare très souvent les éléments de la mort des

c’est logique. De la sorte, le compagnon de Pôlos, Calliclès lui, à exactement la même façon de pensé. Il pense que la justice possède une très grande importance au sain de la cité. D’après lui, les lois sont votés par des faibles avec ce qui est très laid ou injuste afin de remporter la bataille sur les plus forts. Seul ceux qui, dès l’enfance son prit en charge par les plus forts peuvent se faire élire. Une personne peut devenir puissant que si elle comprend avec son intelligence les lois mit en place

retrouve "sur les planches ", le monde d'en bas. Ces oppositions entre présent et passé sont trés fortes car présentes souvent dans le même vers, comme par exemple dans "Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid". Elles sont accentuées par le jeu des sonorités et des rimes, "volait" qui rime avec "ailé" et "laid" ou encore "planches" avec "blanches". Dans les vers suivants "Laissent piteusement [...] des avirons trainer à côté d'eux", le poète compare les ailes de l'oiseau avec des avirons. Ces

nécessité, dans le hasard de circonstance. Dans la mythologie grecque, très souvent peut naitre de la copulation interdite de deux êtres différents de la laideur (ex.: Gorgone). Naissent alors des êtres hybrides. => Le laid est anti-naturel. Pour le christianisme, le laid est anti-moral. La laideur est très présente dans l'art classique, ce qui est assez surprenant, car l'art classique est un art de la raison, de la règle, de la perfection, idéaliste. D'autant que Kant reproche à ce XVIIe

Il était une fois, une reine qui venait d'avoir un fils. Jamais on ne vit de bébé si laid ! Il avait sur la tête, une seule mèche de cheveux toute raide si bien qu'on le surnomma Riquet à la houppe. Un jour, une fée très renommée vint à passer : « Madame, si je ne peux pas rendre beau votre fils, je peux d'un seul coup de cette baguette magique le rendre le plus intelligent du monde! Il aura la possibilité de rendre aussi intelligente la femme qu'il aimera. » Quand Riquet commença à