Le Beau Subjectif Ou Objectif

A – Le Beau chez KANT D’ordinaire av Kant : ce qui est universel est objectif et ce qui est subjectif est relatif Pour Kant, Beau ni obj ni relatif mais à la fois universel et subjectif Jugement de goût (« C’est beau ») = jugmt réfléchissant : qui renvoie le sujet à lui-m, cad que la beauté est ds le regard, ds la relation sujet/objet jugmt déterminant : ds la connaissance, l’imaginat° est aux ordres de l’entendemt (faculté de concepts). On peut prouver ce qu’on avance Le Beau = libre

selon la perception de l’artiste et sa sensibilité propre. Il suffit de se demander ce qui caractérise une œuvre d’art pour penser immédiatement à sa beauté. La notion de beauté désigne d'un point de vue objectif un rapport d'harmonie qui se rencontre dans l'objet. D'un point de vue subjectif, est beau ce qui donne un sentiment d’harmonie, d'unité et d’équilibre. Les notions d’art et de beauté sont réellement indissociables. En effet, étant destinée à plaire à l’observateur, à l’émouvoir et exalter

ainsi devenir un éducateur du goût, instaurer de nouvelles règles du beau, car la nature est morne et répétitive. Mais l’art ne doit-il pas être une entreprise de vérité ? Il serait alors révélation, c’est-à-dire qu’il fera passer les choses de l’implicite à l’explicite, ce que l’art en tant que création ne permet pas. L’art permet de révéler le « moi », l’autrui et le monde extérieur. On doit trouver en l’art quelque chose de subjectif, mais cette subjectivité apportée par l’artiste sera universelle

CONDAMNATION DE L’ART PAR LA PHILOSOPHIE A. L’art appartient au domaine changeant des sens et des opinions subjectives 1. L’art vise le plaisir des sens 2. L’art sans règle : une critique négative de l’inspiration 3. L’art donne lieu à des jugements subjectifs B. L’art comme illusion nous éloignant de la réalité 1. Réalité sensible et réalité intelligible 2. Un double éloignement II. LA RÉHABILITATION DE L’ART A. L’art mobilise la raison 1. L’art plaît à l’esprit : un plaisir désintéressé

jugement est objectif s'il est identique à sa chose réelle et s'il n'appartient pas à la personne et est adopté pour tous. Il est objectif s'il est universel. Cherchons à affirmer de façon objective le bon indépendamment des points de vue. Tandis qu'un jugement est subjectif s'il dépend de la conscience et s'il se rapporte à la personne d'un point de vue particulier. Il est subjectif s'il démontre les passions, les préjugés et les choix personnels de l'émetteur. Un bon film est donc subjectif, car il

courant d’éprouver de l’admiration devant la beauté d’une œuvre d’art, puis ce que celle-ci est souvent qualifiée de « belle ». Mais alors plusieurs questions peuvent se poser. Comment ce définit l’art ? Et qu’est qu’exactement que le concept de « beau » ? De plus peut-il y avoir un ou des critères définissant la beauté d’une œuvre ? Celle-ci peut-elle se réduire qu’à la représentation de sa beauté ? L’œuvre d’art n’a-t-elle pour seule fin que d’être belle ? Alors qu’en serait-il de l’œuvre qui serait

nom qui a rapport avec le beau/ référence à la grâce, l’harmonie + technique. La notion du beau : caractère de ce que devrait être l’esthétique. 18e siècle → Les ℓ veulent déterminer des jugements de valeurs et une norme du beau. * Le ℓ BANGOUTEN introduit le terme « esthétique » = La valeur d’un objet réside dans sa capacité à fournir une réaction forte. * L’esthétique est une théorie non de la beauté mais du jugement qui prétend évaluer avec justesse si beau ou laid. L’expérience esthétique

qu'accidentel. Si l’œuvre ne convainc pas d’elle-même, a-t-on quelque chance de pouvoir plaider sa cause auprès de celui qui n'y est pas sensible ? La question qui nous est posée soulève le problème de la communicabilité du jugement esthétique. Le beau renvoie-t-il à une expérience purement individuelle et singulière ? Ou bien celle-ci peut-elle être universelle, est-elle partageable par tous comme la vérité d’un théorème mathématique ? On peut approfondir la question de la façon suivante : comment

possible de donner une définition objective du beau Le beau est subjectif→ il n’existe aucun critère objectif pour juger du beau. Une solution→ déterminer non pas ce qu’est le beau en tant que tel, mais ce qu’est beau par la reconnaissance par le plus grand nombre, de choses belles. L’ambition platonicienne de définir un concept et des règles universelles du beau → conception « classique » du beau → exigences de perfection, de simplicité, d’harmonie

adjectifs objectifs qui décrivent, qui apportent un supplément d’informations. Il y a des adjectifs subjectifs qui expriment les émotions du locuteur. -Dans le texte nous avons ces deux catégories d’adjectifs. - Les adjectifs objectifs «  perforée » (tête perforée ), « grands »(yeux), « ahuris ». Les adjectifs subjectifs «  funestes » (augures ) « incompris » (rêveur), « généreuse » (ardeur), « noble » (caractère ), « nuisibles » (bestioles ). On se rend compte que les adjectifs subjectifs sont les