Le Bicamérisme Britannique

devoirs des citoyens. Aujourd’hui, la plupart des Etats disposent d’une C écrite. Des exceptions demeurent comme la GB qui n’a toujours pas de vraie C écrite. Le système juridique britannique reste dans une ambiance coutumière même si divers textes sont considérés comme faisant partis au sens large de la C britannique même si beaucoup de choses sont nées en GB : le régime parlementaire, la monarchie constitutionnelle, tout le droit parlementaire et pour l’essentiel, tout cela est coutumier. En

séparation rigide et un régime qui ne connaît pas de séparation des pouvoirs. Pourtant si on regarde de plus près, on s’aperçoit que les régimes existants aujourd’hui ne répondent as à la description des modèles originaires. Le régime parlementaire britannique présenté comme le modèle de séparation souple est très éloignée du régime originel du 18e siècle. Le régime présidentiel américain aujourd’hui n’est absolument pas marqué par la prépondérance du congrès qui avait été voulu par le constituant américain

cas de la Grande-Bretagne). Avec le bipartisme et l’alternance, la grande majorité des électeurs sont donc représentés au sommet du pouvoir à un moment ou à un autre. Mais cela peut envoyer aussi à des réalités très différentes (ex : le système britannique diffère en de nombreux point du système américain du fait de l’hétérogénéité des partis démocrates et républicains). - On peut aussi analyser l’approche de Blondel, qui à la fin des années 60 a proposé une typologie des systèmes de partis reposant

règles éthiques, sa fonction est de donner la mesure de ce qui doit etre.la règle de droit est systématiquement un acte de volonté, elle prescrit la vérité, interdit de faire, elle fixe des limites au comportement. David kuyme est un philosophe britannique qui dit « On ne peut en toutes logiques déduire une règle ontologique d’une règle déontologique et vice-versa » Il ne faut pas confondre la règle elle-même et son signifiant, la règle n’est pas des mots. La norme doit faire l’objet d’une interprétation

qui vont donner naissance à des déclaration des droits. L'assemblée va diminuer les pouvoirs du roi et les fonctionnaires vont devoir respecter les devoirs contenues dans les séparation respectives. Cet enracinement des pouvoirs dans le régime britannique va favoriser plusieurs contributions : John Locke a parfaitement défini ce qu'est l'Etat et la raison du consentement aux individus aux pouvoirs de l'État, Locke est l''un des tout premier a avoir posé le principe de la séparation des pouvoirs comme

divisé , pouvoir modéré *Tout homme qui a du pouvoir à tendance à en abuser Montesquieu dit qu'il faut séparer les pouvoirs et que > chaque pouvoir constitue ainsi un contrepoids à l'autre et va lui permettre de ne abuser de son pouvoir . Le britannique l'appel " Checks And Balances " - frein et contrepoids C- Les fonctions de l'Etat Chaque pouvoir assure une fonction déterminée . Législatif - adopter la loi , article 71 de la constitution . Exécutif - le gouvernement et le président

sous la pression des gouvernés désireux de conquérir et de défendre leurs libertés face au pouvoir politique. A l’origine, les Constitutions sont nées de la volonté de limiter l’arbitraire du pouvoir royal. C’est ainsi qu’en 1215, l’aristocratie britannique impose aux monarques un texte fondamental qui est la Grande Charte. Ce texte a été rédigé pour limiter le pouvoir du roi d’Angleterre de lever l’impôt. De même, en France, la Constitution de 1791 a été adoptée afin d’encadrer les pouvoirs de Louis

aient été progressivement codifiées dans des textes écrits (standing orders) consignés dans un ouvrage périodiquement remis à jour : Law, Privileges, Proceedings and Usage of Parliament, d'Erskine May. Des conventions sont aussi à l'origine du bicamérisme, du gouvernement dit de cabinet – le cabinet moderne étant censé être une émanation du Conseil privé du souverain – et même de la fonction de Premier ministre. Enfin, des conventions plus ou moins anciennes font que c'est automatiquement le leader (toujours

c'est à dire cinq personnes au sein du directoire qui se désigne par un ensemble collégiale de cinq personnes qui s'entourent de ministres. On sépare le Parlement et on voit apparaît l'idée du bicamérisme (Conseil des 500). Pour pondérer cette chambre on a créé le conseil des anciens, un bicamérisme d'équilibre qui repose sur la volonté d'assurer la séparation des pouvoirs. Le directoire est un régime de séparation des pouvoirs stricte, se multiplient les occasions de lutte ouvertes entre les

coutumes, la langue… restent. L’unification de ces royaumes va se faire à partir XVIIème siècle et s’est en 1817 qu’ils (les royaumes de merina, betsileo, bezanozano et sihanaka) sont unifiés par Radama I avec l’aide de européens (principalement les britanniques) qui ont commencé à débarquer sur l’île dès le XVIème siècle. Ainsi, le Royaume de Madagascar nait et le souverain Radama I le marque de son emprunte, notamment en introduisant un nouvel alphabet, l’alphabet malgache latin de 21 lettres, remplaçant