Le Bonheur Selon Blaise Pascal

Hume défend une thèse à propos du sujet qui met en cause sa dimension percevante, contrairement à d’autres comme Descartes qui insistent sur l’aspect spirituel de la Conscience. Hume est un philosophe empiriste (EMPERIE, du grec, expérience) et selon l’empirisme, toute notre connaissance nous vient de l’expérience. Par « expérience » il faut entendre le rapport que nous avons au monde à travers la perception. Ainsi, pour Hume, Descartes s’égare lorsqu’il « imagine » la possibilité d’une conscience

Il faut connaître les éléments de ce débat.Le débat au XVIIe siècle autour de la faculté de l’imagination  Les philosophes comme Descartes ou Pascal condamnent cette faculté car elle est liée aux sens qui sont trompeurs. Donc l’imagination est trompeuse, source de fausseté et de mensonge. Elle ne peut donc être le vecteur d’une pensée vraie. Selon Pascal, elle est source de « divertissement », ce qui signifie qu’elle éloigne de l’essentiel, à savoir Dieu. (Par étymologie, « divertir », c’est

c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre." [ Albert Einstein ] "Souris. Animal dont le chemin est jonché de femmes évanouies." [ Ambrose Bierce ] Les citations du Monde 2 "Ce qu'il y a d'admirable dans le bonheur des autres, c'est qu'on y croit." [ Marcel Proust ] "Qui vole un bœuf est vachement muscle !" [ Chaval ] "La beauté du neuf, tout de même, c'est d'être propre." [ Jules Renard ] "Notre tête est ronde pour permettre à la pensée de changer de direction

les rôles du genre romanesque. Quel est l’objectif poursuivi par les romanciers ? D’après un critique littéraire, « la fonction essentielle du roman est de susciter l’évasion, le rêve ». En 1670, le philosophe Blaise Pascal développe dans ses Pensées une approche renommée du divertissement selon laquelle il est nécessaire à l’Homme de se distraire et donc essentiel pour lui de se détourner de l’essentiel. Mais le roman doit-il être uniquement un vecteur « d’évasion », de divertissement jusque dans son

(Bergson) 12 3. Rétention et protention 12 B. La projection 12 1. Projection et existence (Heidegger) 13 2. L’imagination et le néant (Sartre) 13 C. La conscience, le moi et le monde 14 1. Le moi n’est pas directement connu (Pascal, Hume) 14 2. La conscience doit s’extérioriser dans le monde pour se comprendre (Hegel) 15 3. La conscience se constitue dans le rapport à autrui (Hegel, Sartre, Goffmann) 16 III. Approches morales 18 A. La conscience morale 18

_Toc196743901 h 12 1. Projection et existence (Heidegger) PAGEREF _Toc196743902 h 13 2. Limagination et le nant (Sartre) PAGEREF _Toc196743903 h 13 C. La conscience, le moi et le monde PAGEREF _Toc196743904 h 14 1. Le moi nest pas directement connu (Pascal, Hume) PAGEREF _Toc196743905 h 14 2. La conscience doit sextrioriser dans le monde pour se comprendre (Hegel) PAGEREF _Toc196743906 h 15 3. La conscience se constitue dans le rapport autrui (Hegel, Sartre, Goffmann) PAGEREF _Toc196743907 h 16

savants » (l.35) et use d'un lexique valorisant pour signifier leur contribution positive au bonheur de tous « aider, secourir, soulager, bien-être, aisance et force » soulignant que cette activité humanitaire est plus patriotique que les opérations militaires et coloniales. Maupassant va alors user d'une comparaison satirique pour opposer l'utilité de l'homme de guerre à celle du savant; il oppose Blaise Pascal le mathématicien-philosophe prétendument inventeur de la brouette et Sébastien Vauban célèbre

comme un questionnement, une interprétation et une réflexion sur le monde et l'existence humaine. Différents buts peuvent lui être attribué : la recherche de la vérité ; la méditation sur le bien, le beau, le juste ; la quête du sens de la vie et du bonheur. En vérité, la philosophie n’est pas un savoir, ni ensemble de connaissances, mais une démarche de réflexion sur les savoirs disponibles. Ancrée(11) dès ses origines dans le dialogue et le débat d'idées, elle peut se concevoir comme une activité d'analyse

Bienveillantes 2005 Mme Henriette JELINEK Le Destin de Iouri Voronine 2004 M. Bernard du BOUCHERON Court Serpent 2003 M. Jean-Noël PANCRAZI Tout est passé si vite 2002 Mme Marie FERRANTI La Princesse de Mantoue 2001 M. Éric NEUHOFF Un bien fou 2000 M. Pascal QUIGNARD Terrasse à Rome 1999 Mme Amélie NOTHOMB Stupeur et tremblements 1999 M. François TAILLANDIER Anielka 1998 Mme Anne WIAZEMSKY Une poignée de gens 1997 M. Patrick RAMBAUD La Bataille 1996 Mme Calixthe BEYALA Les Honneurs perdus 1995 M

revient chez celui qui l’a élevé pour lui demander la permission et de l’argent afin de se marier avec Cosette. Le vieillard est très heureux de le revoir mais son orgueil l’empêche de l’exprimer son allégresse ouvertement. Gillenormand voyant que son bonheur n’est pas partagé par son petit-fils, se durcit, se moque de sa fiancée et refuse leur union. Le jeune amoureux, vexé et en colère, s’enfuit pour la seconde fois. Une fois de plus, le patriarche replonge dans la tristesse due au départ de son « vénéré »