Le Champ Lexical Dominant

de l’angoisse + sonorités dominantes nasales en "an", sifflantes en "s", l'assonance en "i" souvent à la rime -> le climat est douloureux - La montée de la crise Quatrains I, II, III -> 3 propositions temporelles introduites par la conjonction "Quand" (anaphore) -> "Quand le ciel" + "Quand la terre" + "Quand la pluie" -> marque le rythme du poème (comme un chant) + le désespoir du Poète se mélange avec les éléments de la nature (ciel, terre, pluie) Champ lexical de l’enfermement et de l’oppression

décision de justice au nom de valeurs universelles 1) Thèse du texte : La thèse défendue par Zola se dégage clairement des champs lexicaux dominants : le champ lexical du mensonge puis le champ lexical de la vérité. Ce sont deux champs lexicaux opposés correspondant à deux parties distinctes dans le texte. Dans la première partie (les accusations), champ lexical du mensonge domine nettement : « mensongers », « frauduleux », « égarer l'opinion », «acquitter sciemment un coupable » auquel on

Procédés lexicaux : Champs lexicaux et connotations champ lexical de la « nature » : « grands blocs » ; « rochers » ; « les eaux » ; « la mer » etc. Monde extraordinaire ou la peste ne sévie pas. La nature apporte une certaine sérénité aux 2 personnages. La nature est saine par rapport a leur ville malsaine qui n’apporte que la mort : c’est un retour aux origines. Champ lexical: « Sensations » : « doucement » ; « chaleur » etc. produit une certaine chaleur. Champ lexical de la « natation » : « plongea » ; « 

Procédés d'écriture:1) Procédés lexicaux: champ lexical, vocabulaire appréciatif/ dépréciatif, connotation2) Procédés syntaxiques (types de phrases, ponctuation)3) Procédés grammaticaux (modes verbaux, pronoms, etc)4) Procédés graphiques (disposition du texte)5) Figures de style PrécisionsCitations: « … » (p.90) Titre d'une œuvre: Souligné Titre partie d'œuvre (poème recueil): guillemets françaisTexte au présentPas JE, neutre et objectifMarqueurs de relation2 procédés

Le portrait que brosse La Bruyère est assassin, il n’épargne pas Arrias. Ce texte est un portrait d’Arrias car ce prénom est le premier mot. De plus, il est écrit en italique ce qui montre que tout le texte va parler de cette personne. Le temps dominant est le présent de vérité général qui est propre à la définition. Ce texte défini donc le caractère d’Arrias. De plus, cet homme est égocentrique car les sujets « il » ou « je » qui le désigne sont récurrents, comme par exemple dans les groupes

  Sa souffrance est mise en évidence. On note d’ailleurs le grand nombre d’informations sur sa souffrance par rapport au peu de choses que l’on sait de son physique : le portrait moral prend le dessus sur le portrait physique. Grâce au champ lexical de la souffrance, le narrateur insiste sur cette particularité de Mme Loisel : son sentiment de malheur  3 fois le verbe « souffrait »  + verbes « torturaient », « pleurait », noms « regret(s) », « chagrin », « désespoir », « détresse ».  Complexe

d’humilité Le dialogue est construit autour d’une opposition. Une apparence physique ne reflète pas nécessairement l’intérieur d’une personne. Leur nom, « La Belle et la Bête », caractérise les personnages par rapport au physique. Utilisation du champ lexical de la laideur et de la bonté « cœur bon », « bonté », « contente de votre cœur », « compliment » L’auteur insiste sur le « monstre » et l’emploie 5 fois. On a une personnification de la Bête avec la parole. On a une antithèse l.26, qui oppose

du singulier (il, lui, l'); et des groupes nominaux (un garçon, le malheureux). 4) Dans les lignes 1 à 7, quel est le champ lexical dominant? Relevez les termes qui le constituent. /1 Champ lexical du bien-être : douillettement, plaisait, heureux de vivre, repos, léger, léger comme un plume, inexistence, plénitude de sens, était bien dans sa peau... 5) Quel est le temps dominant? Précisez sa valeur. /1 Le temps dominat est l'imparfait de l'indicatif et sa valeur est une action qui dure, qui n'est

(ligne 2) Argan croit en la Médecine comme en une religion. Béralde se moque, cela est vécu comme un blasphème par Argan, qui faire preuve d’autorité et utilise un double argument pour justifier sa croyance en la Médecine : (ligne 3) c’est l’opinion dominante et établie depuis l’Antiquité . La position d’Argan illustre la DOXA (idées reçues, ensembles de croyances admis sans discussion dans une civilisation).Béralde qui lui illustre le philosophe, c’est-à-dire celui capable de réfléchir et de se faire

première personne du singulier « j’ai raconter à quelle occasion ». Il va de soi que tous les textes expriment les sentiments et pensées du narrateur. Après avoir souligné l’importance du point de vue adopté, on peut noter le sentiment commun et dominant à tous les textes, à savoir la jalousie. Tel est le cas de la princesse Clèves, avec « les inquiétudes mortelles de la défiance et de la jalousie » ou encore Octane, le héros de la Confection d’un enfant du siècle, lorsqu’il dit « je fus pris d’abord