Le Champ Lexical Dominant

une critique du monde réel. Une moquerie. Toutefois la caricature est comique. 2. A quels registres recourent ces différentes dénonciations de la guerre ? Dans l'article de guerre de Voltaire, le registre polémique est très présent. Le champ lexical de la violence et de la destruction est très utilisé «Déchire» L3 ; «brûler tous vos livres» L4 ; «fera égorger» L5 ; «fracasse» L10 ; «je meurs» L11; «tourments inexprimables» L11 ; «mourants» L11, «détruite par le fer et par la flamme»  L14 ;

le vieillard es t visionnaire mais ne sera plus de ce monde dans le futur. Quand il parle de «calamité», on découvre sa sagesse et son expérience, cette expression montre que la colonisation ne pourra pas apporter une vie meilleure. Il y a un champ lexical du futur : «un jour, calamité, avenir, … », Et avec l’expression « funeste avenir » il met en garde. Le vieillard est l’allégorie de la sagesse, on a confiance en lui. 2-Il utilise un discours oratoire * Présence de la 2ème personne

construits à partir de modèles syntaxiques normatifs. La tendance actuelle est orientée vers l'enseignement de la grammaire de texte qui tient compte de l'Enonciation, de la Cohérence Textuelle et des différents réseaux linguistiques englobant l'aspect lexical, l'aspect grammatical et orthographique du système. Les tenants de l'Analyse du Discours proposent même un enseignement de la grammaire dans un cadre plus large de la linguistique de texte qui dépasse la notion classique de grammaire et de morphologie

Le récit de l’autodafé La fiction des faits Ce chapitre parait irréaliste malgré un cadre spatial bien défini en l’occurrence : Lisbonne. Il s’agit ici d’un récit ce qui correspond à l’énoncé coupé avec comme indice la 3ème personne dominante et le temps du passé : le plus-que-parfait « avait détruit » (l1), « n’avaient pas trouvé » (l2) ; l’imparfait (très peu) « n’avaient « (l16), « portaient » (l17) ; le passé-simple  « on vint » (l9), « ils furent » (l14). De plus il y a un schéma

l'exercice de sa raison. Cicéron, Marc Avrèle, Sénèque et Montaigne s'inscrivent dans la filliation de ces philosophes. Condamnation par Montaigne de ceux qui "s'agitent quand la mort est là". Mépris de l'espèce humaine. Antithèse champ lexical de l'agitation/champ lexical fermeté. Citation d'horace, elle révèle que Montaigne change d'avis. Philosophie de Montaigne par rapport à la mort : Stoïcisme, Scepticisme, Epicurisme. C - La situation de communication dans le texte "Je" présent au début,

première lecture nous renseigne sur le thème général du poème : il est question d’une rencontre amoureuse dans un lieu public, une rencontre qui n’aura pas de suite, un coup de foudre. On peut alors s’interroger sur le registre du texte : Le thème dominant est l’amour et on peut constater la présence de la 1ère personne. On peut donc parler de registre lyrique. Attention le JE n’est pas forcément le poète (pas autobiographie). Qu’est-ce qu’un registre ? Le registre est l’effet recherché par l’auteur

son champ lexical : "sous la nuit sans étoiles", "l'obscurité" et "le sol noir" sont des expressions qui nous montrent bien que dans ce début de roman il n'y aucune trace de lumière. De plus, les métaphores : "D'une obscurité et d'une épaisseur d'encre" et "L'embrun aveuglant des ténèbres" accentuent l'idée de l'obscurité et donne aux lecteurs la sensation désagréable d'avancer dans un liquide noir opaque et de se déplacer dans un paysage sans issue connue. Par ailleurs, la teinte dominante de ce

jeux érotiques du narrateur. Ø Indices spatio-temporels : ce soir / l’alcôve obscure Ø Champ lexical de l’amour, au sens de l’union charnelle : évocation de l’amour (ô mon amour ! ; ma tête amoureuse d’ivresse), du plaisir (extase ! ; langoureuse ; se pâment) ; de l’étreinte des corps (que le roulis caresse ; infinis bercements du loisir embaumé, ô féconde paresse !) Ø Champ lexical omniprésent de la chevelure : boucles, tresses, cheveux, duvetés, mèches. Ø Evocation des jeux

où mes frères ne me suivent jamais, car l’escalade n’est pas de tout repos. (C’est sans doute pourquoi Folcoche ne m’a 20 jamais interdit d’y monter.) Je fais le point. J e ne sais pas pourquoi, mais, perché tout là-haut, je me sens tout autre. Dominant les toits bleus de La Belle Angerie et uniquement dominé par les vents d’ouest ou les ramiers8 qui tournent longuement autour de leurs nids, je me détache de ma vie. […] Que ce soit l’amour ou que ce soit la haine, comme je suis bien lavé de vent

un lent panoramique : il voit l’horizon et le ciel (12-13), puis se rapprochant, regarde en face (15), à gauche (16), à droite (22), pour venir « en bas de la fenêtre même » (l. 24). Roubaud est présenté au lecteur à travers ce qu’il voit : le champ lexical se rapporte à la ville (Les Halles couvertes), à ses bâtiments (maisons, porches, vitrages) et progressivement au milieu du chemin de fer. Le tableau urbain devient un tableau du rail : la gare est au centre de la description. Transition :