Le Champ Lexical Dominant

moi je souriais de même». L'image de ces deux inconnus qui se sourient symbolise l'ambiance gaie et conviviale de la période de l'avant guerre, et fait ressortir le thème du bo nheur spontané dans le poème. Deuxièmement, il y a dominance du champs lexical du bonheur, qui, encore une fois, est un moyen pour idéaliser l'avant-guerre, et présenter cette période comme étant parfaite: «souriante, épanouie, ravie, souriais, aime, aiment, heureuse, heureux». Jacques décrit tout comme étant heureux

nombreux écrivains humanistes, elle va s’inspirer de Pétrarque, qui est considéré comme le père fondateur du mouvement. Dans sa condition féminine, elle est un peu est un petit peu et une originalité dans le milieu puisque la littérature est à dominante masculine. Elle est musicienne, sait jouer au luth, et sa poésie est totalement imprégnée par cette musique, que ce soit avec le langage raffiné ou encore dans les sonorités. Son langage est celui de la passion et en même temps de la douleur amoureuse

des illustrations Interprétation Procédés d’écriture Preuves textuelles Explication de l’illustration Champs lexicaux 1. a) Ivresse : « ivre de soleil » (v. 12), « liberté » (v. 13), « tiède demi-sommeil » (v. 17) Tristesse :  « tristement » (v. 18), « amer » (v. 24), « mélancolique » (v. 11), « inquiète » (v. 25), « effroi » (v. 27), « meurtrie » (v. 21) 1. c) Dualité émotive : Sentiment dominant du mal de vivre entrecoupé de moments de bienêtre. Adverbes 1. b) « tristement » (v. 18), « doucement »

poésie du XIXe siècle. L’observation des champs lexicaux nous permet de remarquer la scission du poème en deux thèmes : la guerre (mitraille V1, bataillons V4, folie épouvantable V5, croulent V4, broie V5, morts V7, …) et la religion (Dieu V9, autel V10, encens V10, calices V10, hosannah V11, …). On constate en outre entre ces deux parties du poème de nombreux parallélismes et oppositions. Par exemple au niveau des couleurs : les quatrains sont à dominante rouge (crachats rouges V1, feu V4, tas fumant

aussi par les alexandrins qui sont dans ce cas les vers de l'épopée. On peut aussi remarquer que chaque partie du texte correspond à une qualité dominante. Le futur qui est utilisé à plusieurs reprises , montre une certitude, donc l'éspoir (« il ne tonnera plus »). Un symbole de puissance est montré par les connotations ( aigle.. ). Puis , le champ lexical qui fait référence aux valeurs de la France (« liberté »; »arc-en-ciel »..) est un signe que la France va survivre à la guerre. Ensuite , l'auteur

absente, les sentiments exigents qu'éprouve le poète, le conduisent à ressentir et exprimer une profonde souffrance. Un thème dominant s'impose donc dans cette poésie: celui de la souffrance que ressent le poète quant à l'infidélité de son amante: Louise de Coligny-Chatillon, Lou dans le poème. La douleur que Guillaume Apollinaire a, se caractérise par l'emploi du champ lexical de la guerre. En effet dans les vers 1 et 2 le poète se sert du mot « obus », « éclatés ». L'adjectif qualificatif « Tendres »

quoi ce texte est romantique. Une première approche nous amènera à porter notre analyse sur le lyrisme du poème, puis il conviendra de prendre en considération la place de l’Homme défendue dans ce texte. Dans ce texte, Victor Hugo emploie le champs lexical du sentiment amoureux « amants » au vers 6, « Aimez » répété quatre fois au vers 10, 11, 13 et 25, « couple » au vers 14, ainsi que « Vénus » répété deux fois au vers 4 et 5 ; Vénus qui, en plus d’être une étoile est également la déesse de l’amour

travers ces métaphores et « ces animalisations » l’auteur évoque l’agitation de l’océan et du paysage ; il présente une nature sauvage, et « brutale », voire violente. Le champ lexical de la mer est également bien présent dans ce poème «clapotis, ilôt, vagues, flot» ce qui nous montre que l'eau est l'élément de la nature dominant dans ce poème et que l'auteur est proche de l'océan. De plus il décrit une atmosphère pesante grâce au ciel qu’il qualifie de  « pluvieux » (v.1), «grand ciel gris » (v

de comparer la vision de l’albatros et celle du poète. La majesté de l’albatros avant la capture Des expressions métaphoriques font ressortir la noblesse de l’albatros : « rois de l’azur », « prince des nuées », grâce au champ lexical de l’aristocratie. L’expression « indolents compagnons de voyage » marque la confiance et la nonchalance de ces oiseaux, portés à l’égal de l’homme. La double caractérisation des ailes fait ressortir le blanc, symbole de pureté

monde cruel dans lequel ils vivent. Ils sont condamnés à mourir par le travail l’alcool et la précarité dans laquelle ils vivent. Genre : L’assommoir appartient au genre du roman. En effet on y retrouve les caractéristiques dans le type de texte dominants qui sont la narration : « Elles s’interrompirent tout d’un coup a la gorge… ». La description : « Il faisait nuit noire, trois becs de gaz flambaient dans la salle » Et le dialogue : Il n’est pas gentil, alors ? - Ne m’en parlez pas ! C’est un