Le Champ Lexical Du Massacre

Rédigez un résumé suivant votre propre interprétation du texte, à l'aide de vos réponses aux questions ci-dessus. Partie 2 : Analyse en profondeur. Pour cet extrait, quelles remarques pouvez-vous faire concernant :‣ Les champs lexicaux dominants / références.‣ Les figures de style (si vous n'avez pas le bon terme, expliquez ce que vous voyez avec vos mots).‣ La versification présente, qui souligne quoi ? (puisque cette pièce est écrite en alexandrins, en rime)‣ La présence du

coalition qui réunit la Prusse et l’Angleterre. Sur un champ de bataille qui s’étend du Rhin à la Vistule, trois cent mille soldats se battent en Europe centrale et le 5 novembre 1757, 50 000 français sont exterminés à Rossbach par les troupes de Frédéric II de Prusse. Candide est chassé du paradis du « beau château » et jeté sur les routes du monde. La guerre sera sa première épreuve. L’extrait est le début du chapitre 3 qui présente un tableau du champ de bataille vu par le personnage. Le passage prend

s'agit d’un vaste poème épique et satirique où il raconte les malheurs de la France pendant les guerres de religions et appelle au jugement de Dieu pour trancher entre les justes et les méchants. Nous avons ici un poème publié en 1573, un an après le massacre de la Saint-Barthélémy. Le thème central de ce poème est le plaisir de la mort qui se nourrit constamment d' images violentes. Comment Théodore Agrippa d’Aubigné utilise t’il la force du langage poétique pour exprimer son profond désarroi vis à vis

Jean de La Bruyère montre ici la bestialité de l'homme face à la guerre. Voltaire, amplifie directement les effets de la guerre par deux hyperboles « cent mille fous » et « cent mille autres animaux ». L'auteur emploie un champ lexical du crime « qui se tuent », «  le massacre », « qui s'égorgent », « qui se font égorger », Voltaire montre la barbarie des hommes. François-marie Arouet ne critique pas le peuple directement, car celui-ci est forcé à la guerre. Il montre les combattants non pas

eu à chercher bien loin. De 1756 à 1763, la guerre de Sept ans fait rage en Europe, avec son cortège d’horreurs. Les enrôlements forcés entraînent d’innombrables désertions, punies de châtiments corporels dont le chapitre II se fait l’écho. Les massacres de populations civiles sont fréquents. Le chapitre III pouvait ainsi apparaître aux lecteurs de l’époque comme en étroite liaison avec la réalité historique et politique, elle-même complétée par l’expérience du voyage de Voltaire en Prusse en 1750-1752

Il s’agit ici d’une hypothèse* cad d’une scène, d’un tableau rendu visible par la force de l’évocation littéraire qui insiste sur le caractère nouveau de la vision: v.5 " voir la nouvelle horreur d’un spectacle nouveau " . La forte présence du champ lexical de la vision aide à rendre plus concret le spectacle (" ai vu ", " voir " répété v.5 ; 36) aidé en cela par la perception auditive dont nous rendions compte plus haut et à laquelle s’ajoutent v.12 " Le cri me sert de guide " ou v.33 " leurs cris

possible de ce qui chemin qui l’amène à sa chambre. le thèmes de cette partie est la peur : champ lexical : ténèbres, nuit, mine, grandes ombres, profils effrayants, colonnes écroulés, bêtes accroupies, voleur à l’affût, silence lourd, tonnerre, effroi nocturne des églises, croix renversées, terreur, oeil clignotant, manœuvre étrange, la clé qui grinçait, bruit de massacre. On observe un deuxième champ lexical qui s’oppose au premier, celui de la lumière : lampes, clarté, taches jaunes, rayons, lanternes

intensifiés par « si » : « beau », « leste », « brillant », « ordonné »= véritable spectacle, tableau. Hyperboles et succession d’évènements. Accompagnement musical : insistance sur l’ »harmonie », les Te Deum finals. *Justification de la guerre : massacre moralement et socialement justifié avec « infectaient » et « coquins » présentent les victimes comme coupables. La guerre= mesure d’assainissement. « Âmes »=vivant, emploi impropre du terme // « Le tout »=morts. *Compatibilité : énumération des

Commentaire sur un extrait du chapitre 3 de Candide L’extrait du conte philosophique Candide (1769) de Voltaire, raconte comment candide s’échappe du champ de bataille après avoir été chassé du château de Thunder-Ten-Tronckh et avoir été recruté de force dans l’armée bulgare. Deux visions de la guerre se dégagent du texte : une vision ironique et une vision réaliste destinée à faire ressortir l’horreur. Comment

d’abord un village voisin ; il était en cendres : c’était un village abare que les Bulgares avaient brûlé », l.11-12). En effet, il fait une description de la massacre et la violence mortelle en utilisant le champ lexical des parts et organes du corps : « mamelles » (l.13), « bras », «  jambes » et « cervelles » (l.16) ; et le champ lexical de la violence : « brûlées » (l.12), « criblés de coups », « égorgées »(l.13), « sanglantes » et « éventrées »(l.14), dans un style d’oxymore « boucherie héroïque »