Le Champ Lexical Du Massacre

puisqu’on retrouve L5 «  entrés dans les camps comme des fous furieux » une comparaisons qui montre la violence. La présence du champ lexical de la violence de la guerre insiste sur ce fait «  massacré, cris, tué, fureur, exécution, frappé, abattu… » Le texte insiste sur la violence et le massacre notamment avec les gradations L7 et 17. Le parallélisme L7 «  Les garçons égorgés, les jeunes filles brulés » nous montre qu’il

strophe l'écrivain a inséré une ou plusieurs expressions du champ lexical de la guerre et du massacre pour ne pas l'oublier. Ainsi on trouve « ruine et deuil » au premier vers, « murs noircis [...]grand ravage » dans les vers 7 et 12 de la deuxième strophe, « pleurs » v.14, « qui du fer n'ont pas subi l'affront » v.22, et « de la poudre et des balles » au dernier vers. La seule indication nous permettant de trouver l'auteur du massacre est la première hémistiche du premier vers de la première strophe

consacre à la rédaction d’un ouvrage atypique en 3 tomes Essais de 1572 jusqu'à sa mort. -Publie Essais en 1580 (époque des guerres de religions (1562-1598, Edit de Nantes) en France entre protestants et catholiques = Huguenots/ 1572 =massacre de la Saint Barthélémy (massacre des protestants*)) -Extrait : 6e chapitre du 2e tome. M raconte une chute de cheval qu’il a conduit à une réflexion profonde sur la vie et la mort. Le texte est organisé en deux temps de proportion ≠ : -1ère partie : un long récit

I. La double vision de la guerre 1) Une guerre harmonieuse - Au début on a une description, de la guerre harmonieuse : termes mélioratifs renforcés par l’adverbe d’insistance 'si' : 'Si beau', 'si leste', 'si brillant' champ lexical de la musique « trompette » « tambours » « hautbois » - « Neuf a dix milles coquins » « des milliers » : Abondance de soldats, effet de groupe - « Les canons renversèrent » « la baïonnette fut raison suffisante » : Atténue la réalité, comme si on renversait des

dont notamment Cinna qui est une tragédie antique, écrite en 1642.L’extrait que nous allons étudier est la toute première scène de l’œuvre, appelé scène d’exposition.Nous y apprenons qu’Émilie, fille de Torianus, veut se venger d’Auguste pour avoir «massacré» son père. Elle va utiliser Cinna, son amant, pour assassiner l’empereur, mais ce premier risque d’être tué. Ce qui la plonge dans un affreux dilemme.Ce texte est digne d’intérêt car ce monologue nous plonge directement dans le vif du sujet.Que peut-on

Le Mal Arthur Rimbaud I) Critique de la guerre A) Une scène de massacre -Champ lexical de la guerre omniprésent dans les 2 quatrains -V1 métaphore de la mitraille et personnification. Allitération en R v1 et v3 B) Un univers tragique -Présence de la couleur rouge -> annonce la mort + « brasier » qui fait référence aux feux de l’enfer. C) L’absurdité de la guerre -« En masse, bataillons, cent milliers, tas » -> hyperbole, exagération du nombre de soldats morts -Perte

les comètes. -champ lexical de la religion qui montre la superstition, des mauvais présages qui annoncent la destruction de l’empire : l4 ostenta (le présage), l4 expiare ( conjurer) - l3 anxius (effrayé) antéposé ce qui montre l’importance de ce mot qui renvoi à l’état de Néron face a la comète : «  inquié face à cette chose ». B/ La comète n’est qu’un prétexte pour dévoiler sa vrai nature -champ lexical de la mort révélant la nature sombre de Néron : l4 caede (le meurtre, le massacre), l12 veneno

l’odorat « puanteur », puis la vue « regardait à droite » « apercevait » « levait les yeux » et enfin l’ouïe « les cris ». Chaque détail rappelle sa peur de la mort de son mari. Tout d’abord, le champ lexical de la mort omniprésent dans les éléments de paris « mort sanglante » « tablier sanglant » « massacré » « odeur fauve » « cris d’assassinés » « troué de coup de couteau » fait transparaitre le cauchemar macabre dont Gervaise est victime, ce qu’elle redoute : celui de retrouver son maris mort. Son

construire des phrases sans voir le début Comment ce poème de l'intimité devient-il une arme de combat contre l'oppression ? I) Un poème émouvant : le viol de l'enfance : a) L'injustice de la mort : L'innocence et l'enfance : champ lexical de l'innocence « petite fille » (titre) ; « enfant » (v5) ; « petites mains » (v11) > montre que la petite fille n'avait aucune raison de mourir, elle n'avait rien demandé. L'auteur essaie de rappeler sa douceur pour lui rendre hommage Présent

et des champs lexicaux comme celui de la course que l'on peut remarquer avec les mots « précipitation » « on bondit », « on passe », « en avant », « on cours », « une hâte », « la course », « nous courons » mais aussi le champs lexical de la tempête que l'on reconnaît avec « averse de tonnerre » « les souffles », « tempête », « pluie », « tourbillon », « nuées » ou alors celui du volcan que l'on trouve avec les mot suivant « cratères », « laves », « soufrée » et « flamme ». Ces champ lexicaux nous