Le Choix d'aimer

quant à leur choix d’orientation. Cet article sur l’histoire touchante de miriam barajas, qui avait pour rêve de devenir programmatrice. Découragée et blessée par ses proches qui lui disaient qu’elle n arriverait pas à cause des steréotypes qu’ils pensent, elle à persévéré et elle travaille maintenant pour l’entreprise de renomée mondiale saleforce. elle est également porteuse de voix et mentor pour lesjeunesfilles et garçons qui veulent suivre ses pas, qui ont aussi le droit d’aimer des matières

(contenant= pièces vide que vienne remplir des décoration) II) QUALITE ET SUBSTANCE SUBSTANCE= moi, moi-même, personne, âme, conscience de soi = EGALITE pour tous PENSé = qualité = fait la différence des uns et des autre  IMPOSSIBLE D’AIMER UNE PERSONNE , AIMONS-T-ON UNE SBSTANCE ?? Non, nous aimons les qualité d’une personne = nous aimons la pensé de la substance Faut-il distinguer la substance (contenant) et les qualité (contenu) ? III) L’AMOUR DANS LES MILIEUX SOCIAUX Nous

vérité éternelle. Conception pascalienne de l’h : dualité. > ds la constitution même de l’h : être physique et être moral. Esprit est instrument de connaissance pratique aussi bien que théorique. La volonté, puissance d’agir, mais aussi puissance d’aimer, est essentiellement déterminée par le désir du bonheur. > entre bien et mal : libre arbitre, faculté qui n’appartient pas moins à l’h déchu qu’à l’h sain, mais dont les conditions d’exercice diffèrent ds chaque cas. L’h sain maîtrisait ttes ses

le lion qui dévore la gazelle. Ils ne sont pas la cause de leur mouvement. Pour l’homme c’est différent, on dit qu’il agît puisqu’il est la cause première de ses actes (cause/ fin).On estime qu’il a le choix entre faire ou ne pas faire et de ce fait il devient responsable des conséquences de ses choix. Mais l’homme reconnaît un principe de causalité qui ordonne la nature, comment peut-il penser échapper à ce principe au point que ses actes seraient entièrement libres ? L’homme est-il déterminé ? La

avertissement est donné implicitement par la vision d'un avenir minable. L'auteur apparaît ainsi comme l'unique remède, il suffirait à Hélène d'aimer Ronsard pour échapper à son futur déjà tout tracé. Le poète se met ainsi en valeur et met d'autant plus de chances de son côté. Pour finir, une once d'espoir est déposé à la fin du poème, Ronsard laisse ainsi à sa bien aimée le choix de son avenir, il lui demande de profiter de la vie et plus implicitement de venir avec lui comme nous le montre le dernier vers

avertissement est donné implicitement par la vision d'un avenir minable. L'auteur apparaît ainsi comme l'unique remède, il suffirait à Hélène d'aimer Ronsard pour échapper à son futur déjà tout tracé. Le poète se met ainsi en valeur et met d'autant plus de chances de son côté. Pour finir, une once d'espoir est déposé à la fin du poème, Ronsard laisse ainsi à sa bien aimée le choix de son avenir, il lui demande de profiter de la vie et plus implicitement de venir avec lui comme nous le montre le dernier vers

Dans ces deux pièces éponymes, les héroïnes vont êtres toutes deux confrontées à un choix tragique engendré par l’opposition entre leur amour et leur devoir. Phèdre, écrite en 1677, décrit l’histoire d’une femme mariée à Thésée qui tombe amoureuse de son beau-fils Hippolyte, et se retrouve tragiquement dans la même ville que lui alors que son mari est déclaré mort. ; elle va être partagée entre la tentation d’aimer jusqu’au bout Hippolyte ou de suivre son honneur en restant fidèle à Thésée, qui réapparaît

Il est aussi considéré comme le "bon double" d'Octave. Octave[modifier | modifier le code] Octave montre pendant le premier acte son côté bohème, ivre et insouciant, même lors de la première rencontre avec Marianne, qu'il essaie de convaincre d'aimer Cœlio. Cependant, pendant le deuxième acte, son attitude se nuance, et peu à peu son masque tombe, pour découvrir un personnage sensible, et qui, voyant bien qu'il pourrait profiter de la situation, décide finalement de s'effacer pour laisser Marianne

comportement. Parfois elles sont tellement fortes qu’on ne peut pas les arrêter. Personnellement je pense que cela est vrai, car les humains parfois ont des comportements étranges que l’on ne peut pas comprendre. Un exemple de cela peut être lorsqu’on dit d’aimer quelqu’un, mais on lui fait du mal. Pour moi lorsqu’on aime quelqu’un on veut seulement le bien pour cette personne. Alors, comment expliquer le comportement inadéquat des hommes qui frappent leurs femmes. Pour moi la seule et unique raison, c’est

qu’il est une manière d’aimer son pays qui consiste à ne pas le vouloir injuste, et à le lui dire. Mais c’est aussi que le patriotisme n’a pas toujours suffi à faire lever ces hommes pour l’étrange lutte qui était la leur. Il y fallait aussi cette délicatesse du cœur qui répugne à toute transaction, la fierté dont l’usage bourgeois faisait un défaut et, pour tout résumer, la capacité de dire non. La grandeur de cette époque, si misérable d’autre part, c’est que le choix y est devenu pur. C’est