Le Cid Metaphore

deux mots sémantiquement opposés mais appartenant à des catégories grammaticales différentes aboutissant à une image improbable, frappante, proche du paradoxe et de l'antithèse « Cette obscure clarté qui tombe des étoiles... » — Pierre Corneille, Le Cid l’allusion [littéraire] mot ou expression qui fait appel par analogie à une chose connue : un événement, un personnage, un ouvrage, etc. pour illustrer le discours. (voir aussi antonomase) « On ne poussa jamais plus loin la foi promise. Voilà des sentiments

Ce texte est un extrait de la tragédie du Cid ; c’est la scène 6 de l’acte I, de Corneille. Cette pièce de théâtre a été publiée en 1637. Dans cette scène Rodrigue fait un monologue délibératif, il doit choisir entre raison et passion. Dans quelle mesure le dilemme de Rodrigue fait de ce personnage un personnage tragique ? Nous verrons d’abord Rodrigue partagé entre amour et honneur. Ensuite nous traiterons de la vengeance qui s’impose alors comme la seule issue possible. Enfin nous conclurons

l'indépendance, le lycée français donne leur chance aux élèves marocains de réussir en France. Sa participation à l'atelier théâtre, un des meilleurs passages du roman, lui fait gagner en maturité: Mehdi se découvre "Maure" en jouant un personnage du " Cid". Surtout, parce qu'on ne lui confie pas le premier rôle dans la pièce de fin d'année alors qu'il est le meilleur acteur du groupe, Mehdi se croit mal aimé, rejeté, lui qui a tant besoin de prouver sa valeur ainsi que d'affection: il rompt avec l'atelier

déscendante) de termes ex. Vas, court, vole et nous venge. (Le Cid-Corneille) Hyperbole: proceed déxagération ex. Il est fort comme un boeuf – mourir de rire Figure d’atténuation Euphemisme: une expression adoucie pour évoquer une idée désagréable ex. Elle nous a quitté (elle est morte) Figures d’analogie Allégorie: représentation d’une abstraction par une image concrete. Ex. L’Espoir, vaincu, pleure (Spleen- Baudelaire) Métaphore: comparaison sans terme comparative ex. Ma jeunesse ne fut qu’un

et la détache de toute harmonie. L’expression « la raison suffisante » (terme de la philosophie optimiste) est perçue comme quelque chose d’incongru, repris à la philosophie démentie par les faits : l’horreur de la guerre, la tuerie en nombre. La métaphore « qui en infectaient la surface » apparaît comme un langage d’emprunt, employé et mis à distance comme un point de vue intenable et insoutenable, qui se dénonce par son exagération même. 3. La « boucherie héroïque » : A. la plume contre le sabre

consiste à juxtaposer deux propositions qui devraient être unies par un rapport syntaxique de subordination. Catachrèse (féminin) : C’est une figure qui consiste à employer un mot par métaphore pour désigner un objet pour lequel la langue n’offre pas de terme propre. On dit couramment que la catachrèse est une métaphore lexicalisée. Exemple : « les pieds d’une table », « les bras d’un fauteuil » ou encore « les ailes d’un avion ». Chiasme (masculin) : On dit qu’il y a chiasme lorsque des termes sont

apparaît en véritable martyre, et enfin ce que révèle cette relation maître-valet. Don Salluste, démoniaque, donne lieu à un portrait à charge. Le laquais réalise clairement sa dangerosité maléfique dans cette scène. A plusieurs reprises il utilise des métaphores qui le présentent comme un prédateur sournois et dangereux. Cette animalisation est perceptible par exemple dans « Il sort soudain de l’ombre et puis s’y replonge ». Son univers semble donc celui des bas-fonds, il y vit tapi pour mieux attraper

BUT EXEMPLES   accumulation n.f. RHET Énumération qui crée un effet de profusion. Effet de profusion.   allégorie n.f. RHET Personnification d'une idée abstraite ; mais ce peut être aussi une métaphore continuée tout au long d'un texte d'une certaine longueur. Effet didactique. Métaphore continuée : l'albatros dans le poème du même titre de Baudelaire. Personnification d'une idée abstraite : la Vérité dans le poème Tristesse d'Alfred de Musset allitération n.f. POET Répétition d’une

» de Dryden et de Pope en Angleterre, par exemple. C'est dans le genre théâtral que se manifeste, dans son plus grand éclat, le génie classique. Molière fait de la comédie un instrument d'analyse de la société et des travers de l'homme. Le Cid de Corneille (1636) est le point de départ pour l'application d'un code théâtral à partir duquel les dramaturges élaboreront les règles qui contribuent à la perfection du genre. La tragédie classique s'inspire essentiellement de l'Antiquité greco-latine

« aveu » (l.27) montre qu’elle est victime de son destin funeste. Par la suite l’antithèse « J’ai séché dans les feux, dans les larmes » (l.24) illustre la coexistence de deux éléments opposés : « les feux » et « les larmes ». Cette opposition est une métaphore au destin qui lui est réservé, celui de la mort. Phèdre est donc voué à son destin funeste. Pour appuyer à l’argument final, l’héroïne souhaite sa mort le plus rapidement possible. À l’aide des verbes venger « Venge-toi » (l.33) et punir « Punis-moi »