Le Citoyen Hobbes

un philosophe complètement athé → la religion est au service de la politique. - Le prince doit gérer son image→ PARAÎTRE - Ceux qui pensent une société meilleurs = utopiste et ils périront car ils redoutent la réalité. LE CONTRAT SOCIAL : HOBBES XII : - Hommes peu enclins par nature à se soumettre aux lois → « L’homme est un loup pour l’homme » - Seul un pouvoir commun peut tenir les volontés en respect et diriger les actions vers un avantage commun. - Il soumet la volonté et le jugement

coutumière et que nul n'est autorisé à le transgresser ou à le modifier, En 1945, le tribunal de Nuremberg a invoqué le droit naturel pour juger les hauts responsables nazis , car ceci plaidait qu'ils avaient respecté le devoir d'obéissance de tous citoyen aux lois de son état, Au responsables nazis ont leur opposât le fait que leur politique avait violée deux principes que nulles ne peut ignorer, Le premier étant rien n'autorise à nier le droit à la vie , à la liberté qui sont les conditions nécessaire

leur état actuel, pour un état meilleur. Jean-Jacques Rousseau est un écrivain et philosophe des Lumières. Il a contribué à l’écriture de L’Encyclopédie, ouvrage majeur du XVIIIème siècle. Rousseau s’inspire de nombreux auteurs tels que Machiavel, Hobbes, ou encore Grotius, par lesquels il fonde ses idées sur le thème de la politique, de la religion, ou de la philosophie. Il présente dans son ouvrage sa vision d’un État idyllique, dirigé par le contrat social. Lorsqu’il était secrétaire d’ambassade

avec le consentement du peuple que les lois sont acceptées. Les états totalitaires veulent que le consentement soit bruyant, enthousiaste alors que les libéraux cherche le consentement muet, tacite. Pour un gouvernement libéral l'unanimité des citoyens n'est pas utile mais il fait attention à la confiance de sa population. « le peuple se réserve toujours le pouvoir d'abolir le gvt ou de le changer » Locke pouvoir charismatique :(qui s'attache sur la personnalité supposée exceptionnelle, hors

social, telle que le définit Hannah Arendt, dans son ouvrage Du mensonge à la violence . Un premier contrat dit « religieux », comme le rapport d’obéissance entre un peuple et son dieu. En deuxième contrat, la forme conçue par Hobbes, selon laquelle tout individu conclut un accord avec les autorités, qui exige alors un monopole du pouvoir dans l'intérêt de ses sujets, qui n'ont eux-mêmes ni droits ni pouvoir, tant que leur sécurité physique est garantie. Enfin, le troisième contrat

s'entraver, s'ignorer ou se tyranniser ? Comment vivre ensemble, mais sans obstacle ? Qu'est-ce que le droit ? III. Le droit permet aux libertés de coexister sans se faire obstacle On a raison de définir la liberté par l'absence d'obstacle, nous dit Hobbes, mais la vérité est que cette liberté naturelle est intenable. Il faut l'abandonner et sortir de l'état naturel où les individus ne peuvent coexister parce qu'ils se font mutuellement obstacle, pour passer à l'état civil en instituant un État et en

point de vue, mais c'est Hobbes qui est (parfois) considéré comme un des précurseurs du positivisme. C'est même lui qui déclare que "c'est l'autorité et non la vérité qui fait la loi". Il est vrai que d'obéir aux lois et coutumes de son pays donne une réputation bien-fondé a la personne concerné. La plupart des citoyens se disent juste parce qu’ils ne commettent jamais de délits et respectent autrui, et cela est tout à fait naturel. De toute façon, l’obéissance des citoyens aux lois est l’un des fondements

considérer que démocratie et représentation sont en quelque sorte synonymes. L'histoire des idées montre pourtant qu'il n'en est rien. Les grands théoriciens de la représentation sont Hobbes et Locke. Chez l'un comme chez l'autre, en effet, le peuple délègue contractuellement sa souveraineté aux gouvernants. Chez Hobbes, cette délégation est totale. Or, elle n'aboutit nullement à une démocratie : son résultat est au contraire d'investir un monarque d'un pouvoir absolu (le « Léviathan »). Chez Locke

L’Etat, la politique, la liberté. La problématique : L’intérêt des citoyens pour la vie politique et les conditions d’une bonne gestion du politique (développer la politique locale par une décentralisation du pouvoir). Thèse de l’auteur : Il y a un désintérêt pour la vie publique et l’action politique, parce que les hommes ne pensent qu’à leur intérêt privé et ils s’intéressent à la vie politique que s’il y a un lien avec leur vie privée. Pour éviter cette séparation du pouvoir de ceux qui

macroscopiques des vastes ensembles, classes, nations, civilisation,ou pr reprendre l’expression courante, les stés globales. A – Les bases d’une première forme de pensée sociologique ▪ « contrat social » (Hobbes, Rousseau) : théorie qui s’oppose à l’ordre politique de l’époque. Hobbes : homme piégé par ses instincts, par la loi. Il faut s’y soumettre pour vivre ds sté stable, pacifiste. Rousseau : Pr lui, il ne peut y avoir de sté idéale, pr cela, il faut que chacun accepte le contrat qui le