Le Cogito Ergo Sum

Quand Descartes dit « Cogito ergo sum », « je pense donc je suis », il affirme qu’il a conscience de lui-même, qu’aucun mouvement de son esprit ne lui est étranger et-ce dès l’apparition du dit phénomène. Par là il affirme qu’être parfaitement conscient de soi, c’est acquérir la maîtrise de ses actes. Une réponse à la question ; Être conscient de soi est-ce être maître de soi? La justice et la loi, en nous déclarant comme irresponsables les personnes ayant commis des délits, sous l’emprise de la

conscience de soi nous donne une connaissance immédiate de nous-mêmes, c'est-à-dire, nous permet d’avoir accès à ce qui se passe en nous. La connaissance de soi est le principe fondamental de l’existence. Car c’est parce que je pense que je suis « cogito ergo sum ». Pour mener une existante sensée, il faut avant tout être sur que l’on ai, savoir que l’on existe c'est-à-dire avoir conscience de soi. Si je n’ai pas conscience d’être je peux alors être perdu. De plus je ne peux pas me faire des illusions

d'amener une réponse nous commencerons par voir que la pensée est à l'origine d'une identité que nous nous définissons , puis nous verrons que nous ne pouvons pas être maître de nous-même complètement. Je peux savoir qui je suis, d'après le Cogito Ergo Sum de Descartes : « je penses donc je suis ». Pour penser je dois prendre conscience de moi, c'est à dire me connaître et m'interpréter moi même. La pensée est propre à chacun. La nature nous offre la possibilité de penser par nous même. La pensée

Nous pouvons donc nous définir par nos pensées et nous sommes les seuls à connaitre les moindres de nos pensées, les autres n’y ont pas accès alors nous sommes les mieux placés pour nous connaitre. Nous pouvons nous appuyer sur Descartes et sur son cogito –« je pense » en latin. En effet, ce philosophe a cherché à atteindre une vérité indubitable pour ensuite construire un système de connaissances qui ne connaitrait pas l’erreur. Pour y arriver, il a mis en place ce qu’on appelle le doute hyperbolique

remise en cause  doute hyperbolique.  Raison est son outil.  « Si Dieu est parfait, il a dû faire l’économie du monde ».  Dieu ne peut mentir mais fait croire que le monde existe.  Remise en cause de Dieu (malin génie que trompe)  « Cogito ergo sum ergo existo »  Conscience = vérité indubitable. La conscience st une intuition qui s’impose directement à l’esprit. 1ère conséquence (1ère vérité) : Méthode logique et véridique servant à construire l’objectivité des connaissances. 2ème conséquence :

signifie réfléchir, juger ou examiner. Quand un homme pense, il a des représentations mentales, il dirige son esprit vers un objet et forme des raisonnements ou des jugements. Tout être vivant est amené à penser. Descartes le signale dans son « cogito ergo sum » et Sartre le reprends dans le « j’existe parce que je pense ». Penser correspond à un privilège humain et vient de l’intimité d’un sujet qui se rend alors autonome par rapports aux conditions extérieures. On note par exemple l’expression « pensée

et permanent. Le doute cartésien est provisoire, il a pour but de trouver une vérité, une certitude qui y résiste. Il douta de tout, même de son propre corps. Une seule vérité résista à cette épreuve : même lorsque je pense faux, je pense. Cogito ergo sum !     Discipline dont Descartes s'inspira : Les mathématiques :sciences de la rigueur, de l'ordre et de la mesure. Elles sont si claires, si évidentes, qu'elles s'imposent d'elles-mêmes. Il souhaite que la philosophie fonctionne sur ce mode

de responsabilité et de respect envers l'autre. Chaque sujet a un sens intuitif de lui-même. C'est ce qu'illustre le cogito de Descartes. Le cogito cartésien est une expérience personnelle aboutissant à la prise de conscience de soi « Je pense donc je suis » (« Cogito ergo sum ») , et sera développé sous la forme suivante : « Je suis, j'existe. » (« Ego sum, ego existo ») Comment peut on alors accéder à la connaissance de l'existence de l'autre ? Dans l'Alcibiade majeur Platon exprime

I) L’avènement du sujet • Le « je pense », écrit KANT, doit accompagner toutes mes représentations ; • La conscience se définit ainsi comme la présence immédiate et constante de soi a soi ; • Le « je pense donc je suis » (cogito ergo sum) est pour DESCARTES la première vérité absolue certaine. On ne peut en douter sans la prouver, car si je doute je pense et si je pense je suis. C’est à partir de cette vérité première que l’on peut, dit DESCARTES, reconstruire toutes les autres

=====================================================================  II) La méthode de Descartes   A) Rejeter le doute   Ligne 8 à 12 (de "je désirais vaquer slmt" à entièrement indubitable") : rejeter tout le faux pour, a contrario, trouver le vrai   B) Cogito ergo sum   Je pense, donc je suis : il manque un élément pour déterminer si la méthode est bonne. L'instrument de mesure. ici c'est le scientifique qui mesure alors peut on dire qu'il est indubitable ? Oui, car il pense...je pense donc je suis. (ligne