Le Cogito Pratique Hegel

« nuit », en français, soit clair, tandis que le mot « jour » est sombre en français (le signifiant, par ses évocations sonores, est totalement déconnecté du signifié, par ses évocations sémantiques). Ainsi, les couples Sa/sé sont arbitraires. (cf. Hegel : le mot est comme une pyramide qui n’a rien à voir avec une tombe et qui est pourtant une tombe) [Mais j’irais même plus loin dans un Excursus : non seulement, le choix du Sa est arbitraire. Mais le découpage du Sé est lui aussi « arbitraire » :

rapportant à cet oasis.En opposition, il existe également de nombreux arguments oeuvrant en faveur du fait que quelqu'un ne peut pas se mentir à soi-même. En voici un florilège.Commençons cette étude par un exemple précis. Si un pêcheur de thons part pratiquer ce sport sur un lac en espérant attrapper quelque chose, il sait au fond de son âme que c'est impossible car le thon est un poisson de mer et que, dans un lac, il ne risque que d'attraper des poissons comme des truites et des carpes. Donc, malgrès

assemblages de qualités. Ce qui intéresse Locke c’est l’identité personnelle et on peut le constater l’homme est également une conscience qui conserve l’identité personnelle, que Locke différencie de l’idée d’une substance pensante. Locke refuse donc le cogito qui disait que je suis donc je pense et que je suis une substance qui pense. Il ira même jusqu’à admettre qu’une même personne puisse être attachée à des substances différentes (pourrais-je être moi, dans un autre corps ?) ou qu’une même substance

tout ce qui vient d´être mentionné appartient. Je parlerai même, si j´en suis convaincu par ma croyance ou par ma raison, de l´existence de Dieu. Ainsi, Descartes, dans ses Méditations métaphysiques (1641), après avoir éprouvé, dans l´expérience du cogito, que sa propre existence résiste au doute (« je suis, j´existe », écrit-il dans la Méditation seconde), peut écrire tout aussi bien que, l´idée de Dieu inscrite dans son esprit lui apparaissant trop riche de déterminations infinies pour que cet esprit

vérité, comment l’humanité doit s’orienter en esprit [35] ». Et justement, à ses yeux, comprendre la science permet de répondre à ces deux interrogations fondamentales. Brunschvicg est un kantien (on le range souvent dans la catégorie vague, mais pratique, des « néo-kantiens »). Il sait que le champ de la métaphysique n’est pas celui de l’expérience. Ce qui le requiert n’est donc pas directement le travail scientifique en lui-même, mais le substitut rationnel d’une quête de l’absolu. La science n’est

Descartes doute aussi de ses propres pensées, il se dit qu’elles sont peut-être fausses ou qu’elles lui viennent de son imagination (ex. des préjugés). A partir de se moment où Descartes doute de tout il construit sa vérité première : dans le mécanisme du cogito il trouve le moyen d’échapper au doute, il trouve ainsi enfin une première certitude. Pendant qu’il doute Descartes est sur qu’il pense donc douter c’est penser, voila la première certitude de Descartes. Il faut ici bien différencier l’acte de penser

la justice. (Rousseau, Marx,…) §2.Socrate, le maître Le plus sage des Grecs ? Socrate reconnait qu’il ne sait rien, donc il pose des questions aux gens dans la rue. L’ironie socratique, il tourne son interlocuteur en bourrique, afin de pratiquer la maïeutique, c-à-d. qu’il veut accoucher les esprits. Il refuse de faire de la politique, est complètement désintéressé. Condamné à mort en 399, à l’issue d’un procès injuste où il était accusé de corrompre la jeunesse. La prosopopée des

charge l’éducation mais c’est la société). [p. 94] Malheureusement, cette conception de l'éducation se trouve en contradiction formelle avec tout ce que nous apprend l'histoire : il n’est pas un peuple, en effet, où elle ait jamais été mise en pratique. Tout d’abord, bien loin qu’il y ait une éducation universellement valable pour tout le genre humain, il n'y a, pour ainsi dire, pas de société où des systèmes pédagogiques différents ne coexistent et ne fonctionnent parallèlement. [p. 100]

connaître le patrimoine religieux de ce continent. Ce dernier sert de base à toute réception de l’Evangile du Christ en terre africaine aujourd’hui. Ce patrimoine ne peut que s’inspirer des pratiques religieuses africaines avant le Christianisme et qui se développent ensemble avec le Christianisme aujourd’hui. Ces pratiques sont contenues dans ce que nous appelons les Religions Traditionnelles Africaines, dans les Mythes, dans les proverbes, dans l’art, etc…. En effet, en ce qui concerne la Religion traditionnelle

mutuellement nécessaires » on n’indique pas pour autant « comment ils sont solidaires » (id.). L’enjeu concerne moins les modalités de structuration propre à « deux activités distinctes par essence » qui se conjoindraient uniquement « pour la nécessité pratique de la communication » (p. 63) que la dynamique d’interaction et de détermination réciproques entre la langue et la pensée. En envisageant le problème « par la voie des “catégories” » qui lui apparaissent « médiatrices » (p. 65) du rapport entre les