Le Concordat De Bologne

des prêtres. Finalement, c’est le fils d’Henri IV, qui va conclure le concordat de Worms, et adopter le principe de double investiture. Nous sommes en 1122, et on a appelé cela la Renaissance du Moyen Age => commence une période de renouvellement de l’architecture (style gothique), la peinture, renouveau des universités, et sur le plan des Etats : nouvelles structures. Calixte II, qui a été maitre d’ouvrage du concordat de Worms, va prendre une initiative inédite en convoquer un concile générale

investitures aboutit à un concordat, à Worms en 1122 (compromis entre le pape et l’Empereur qui marque le succès de la papauté et de la réforme grégorienne). Cette humiliation prouve que l’Église a les moyens de mettre les laïcs à genou. Le droit et l’orthodoxie du clergé… Après 1077, dans l’Occident chrétien, commence le règne du juriste (le légiste). Le légiste va dicter sa loi aux féodales. Il préfigure le règne du roi de France qui va savoir s’appuyer sur les légistes. Le Concordat de Worms, passé entre

politiques et s’ériger en pouvoirs indépendants du roi, toujours grâce à sa fonction d’enregistrement qu’il va transformer en pouvoir de contrôle. Les Parlements se sont arrogés le droit d’enregistrer des actes. On a plusieurs oppositions : celle du concordat de Bologne, en 1516, il a fallu enregistrer l’acte, l’édit de Nantes de 1598. Au 17ème siècle, les Parlements vont accroitre leurs prétentions : le système de patrimonialité des offices les a renforcé. Cette patrimonialité leur accorde l’indépendance

nouveaux départements. Au total entre 1802 et 1809, 15 nouveaux départements seront créés (anciennes républiques de 1802), comprenant le Piémont, la Ligurie, la Toscane, Rome (Napoléon chasse le Pape en 1808 et annexe les états de l'Eglise de Rome à Bologne). Il faut également ajouter les provinces illyriennes en 1809 ; – les états vassaux (indirect), avec la création du Royaume d'Italie en 1805 (Lombardie, Vénétie, Nord-Est des anciens états pontificaux) comprenant 24 départements calqués sur le modèle

royaume d'Italie en 1861 elle fut appelée Banca nazionale deI Regno d'/tafia et s'affirma rapidement comme la banque du gouvernement et la plus importante du pays grâce à la création de succursales et à l'absorption d'autres établissements à Parme, .Bologne et Venise. . Mais la persistance de particularismes régionaux va maintenir la présence de plusieurs autres banques d'émission, principalement dans le Sud. De plus, l'institution d'un cours forcé de 1866 à 1881, en raison de circonstances de guerre

l’affirmation de la dépendance du pouvoir laïc au pouvoir spirituel : on est à l’apogée de la théocratie pontificale. Cependant, les successeurs de Grégoire VII sont plus modérés et des terrains d’entente vont être trouvés avec les princes. Le Concordat de Worms en 1122 affirme que l’évêque est librement élu par un collège de chanoines et de dignitaires ecclésiastiques et qu’il est ensuite consacré par l’archevêque. Le pouvoir laïc n’intervient qu’après : le roi investit l’évêque des biens liés

contre l’hérésie. En effet, les livres interdits étaient des ouvrages qui contredisaient ou critiquaient l’Eglise. Cet index fut arrêté seulement en 1966) La censure se fit également à l’encontre de la communication visuelle, un archevêque de Bologne allant même jusqu’à proposer un index des images interdites (qui ne fut pas réalisé car la tâche était bien trop importante). Ex. : - Censure du « Jugement dernier » de Michel-Ange 7 Arnaud SPAENS – BA1 Infocom 2011-2012 - Paolo Véronèse

C’est l’affirmation de la dépendance du pouvoir laïc au pouvoir spirituel : on est à l’apogée de la théocratie pontificale. Cependant, les successeurs de Grégoire VII sont plus modérés et des terrains d’entente vont être trouvés avec les princes. Le Concordat de Worms en 1122 affirme que l’évêque est librement élu par un collège de chanoines et de dignitaires ecclésiastiques et qu’il est ensuite consacré par l’archevêque. Le pouvoir laïc n’intervient qu’après : le roi investit l’évêque des biens liés

relevant les nombreux obstacles qui entravent les ordres du roi. La recherche d'un pouvoir absolu De François Ier à Louis XIII, les rois de France se sont efforcés, non sans difficultés, à imposer leur autorité à l’ensemble du royaume. Par le concordat de Bologne (1516), le roi de France obtient du pape la tutelle de l’ensemble du clergé français. Il choisit ainsi les évêques auxquels le pape accorde l’investiture spirituelle. L’Eglise est donc placée dans la dépendance étroite du roi. A la mort de

ces régions et après la mort de Grégoire vii une solution modérée ai pu être proposé aux problèmes des investitures, celle qui finalement prévaudra aussi dans les relations entre les relations entre la papauté et l’empire lors de la signature du concordat de Worms en 1122. La solution modérée vient de France à savoir que les réformateurs modérés français vont proposer une solution intermédiaire entre la position des rois et la position du Pape. c’est-à-dire que pour eux dans un évêché il convient