Le Dialogue Amoureux

l’incipit. L’auteur Diderot ouvre le dialogue directement avec le lecteur et s’amuse à défaire les conventions romanesques du pacte de lecture. Nous nous demanderons alors en quoi cet incipit est original et comment l’entrée en scène du héros romanesque est ici aux antipodes du roman traditionnel.    I. La remise en cause des conventions romanesques   1. Le cadre spatio-temporel Début in medias res, c’est à dire qu’on prends la discussion en cours. L’auteur dialogue ouvertement avec le lecteur : absence du narrateur

dans le jeu. Par contre, une fois que j’y étais, quelle jubilation dans ces dialogues silencieux ou parlant... Mais c’est le texte que j’ai le moins aimé ! Jugement de valeur : Il s’agit ici d’un dialogue amoureux. On y a affaire à des « monologues dialogués », c’est-à-dire à des monologues qui n’ont que l’apparence de dialogues, par écrit, alors que ces derniers n’arrivent pas à se concrétiser. Au moment où le dialogue acquiert une certaine réalité, si fictionnelle qu’elle soit, la pièce s’achève

silence par sa maîtrise du langage et sa force persuasive… [volume de parole largement favorable à Dom Juan / analyse de l’énonciation : tutoiement de supériorité contre un « vous » respectueux de soumission hiérarchique et « Monsieur » / évolution du dialogue : au départ, Sganarelle soumis à l’autorisation de son maître ; ensuite, Sganarelle passe de la franchise (l. 2-3) au désarroi, au silence et à l’impuissance (l.34 à 37) : points de suspension, formes négatives, opposition désir/impossibilité de

Antigone de Jean Anouilh J'ai vraiment bien aimer se livre. Franchement, l'histoire, les dialogues, les personnages et bien d'autre chose encore. Des le début, on reçoit une claque du prologue. L'histoire ma choquer. Le prologue nous annonce, indirectement, la mort d’Antigone et directement celle d' Hémon. J’apprends aussi que l'histoire et une suite de celle d’œdipe. J'avais des doute au début mais vers la fin Créons raconte l'histoire de son frère, Œdipe. L'histoire d'un

C'est une comédie légère qui se moque de la notion de fidélité au sein d'un couple à travers des personnages de deux paysans, Silvia et Arlequin, qui disent ne jamais se séparer car leur amour peut résister à tout obstacle. Mais le prince, qui tombe amoureux de Silvia, l'enlève et la séduit, se faisant passer pour un simple cavalier, tandis qu'Arlequin, lui aussi emmené de force au palais, trouve beaucoup de charme en l'une des courtisanes du soupirant de sa maîtresse. Ils finissent par rompre d'un commun

réalise qu’Horace était amoureux d’Agnès et vis versa. Donc a la fin de l’histoire, Arnolphe se retrouve seul. Chrysalde : Pendant toute la durée de l’histoire, elle donne des conseilles à son ami Arnolphe. Agnès : Agnès est comme au milieu d’un combat entre Horace et Arnolphe. Elle est amoureuse d’Horace et pas d’Arnolphe. Ce dernier la tient comme prisonnière dans son appartement. Mais à la fin, elle part avec Horace. Horace : Horace est complètement amoureux d’Agnès. Au début de

des personnages Un aveu réciproque mais difficile Au début de la scène, règne le quiproquo, imposant aux valets une certaine courtoisie, marquée par le vouvoiement (ex : Arlequin : « Ma reine, je vous vois et je vous quitte... »). Le dialogue s'oriente vers un aveu en trois étapes : Arlequin révèle son identité à Lisette On découvre les réactions de Lisette, et la surprise comique d'Arlequin de ne pas être chassé par Lisette qu'il qualifie de « charitable dame » et continue à

l’action se situe en Espagne présente l’évolution des amours d’Hernani, noble banni, et de son amante Dona Sol destinée à épouser son vieil oncle Don Ruy Gomez. Le passage que nous allons étudier se situe à la fin de la pièce et constitue un dialogue entre Hernani, Don Ruy Gomez et Dona Sol. Alors qu’il vient de célébrer son mariage avec Dona Sol, Hernani est appelé par Don Ruy Gomez avec qui il a conclu un pacte. Lié par la promesse qu’il a faite à cet homme, le héros doit donc se donner la

et bien sûr le grand œuvre de l’Encyclopédie, animé par Diderot et D'Alembert, et ses 35 volumes (textes et illustrations), publiés de 1750 à 1772, ainsi qu’une grande diversité de textes de longueur et d’importance variables : essais, discours, dialogues, entretiens… Le théâtre du 18ème siècle L’influence des grands dramaturges du « siècle de Louis XIV » persiste sur la scène de la Comédie-Française mais des renouvellements apparaissent avec les tragédies de Voltaire (1694-1778) qui introduit

poésie devrait être une exploration  des sentiments, et cela passe notamment par la présence de dialogues sentimentaux et émotionnels, de tutoiements et de désignation directe de la femme aimée. Allant des comtesses comme  Louise de Coligny-Châtillon pour Apollinaire à de simple écrivaine comme Elsa Kagan pour Louis Aragon, de nombreuses femmes ont, ainsi, nourri chez les poètes l’expression du sentiment amoureux. Il est pour moi essentiel que la poésie viennent éveillé nos sens et nos émotions plutôt