Le Dialogue Tragique

LE PROLOGUE D’ANTIGONE La scène s’appelle « prologue » Un homme extérieur à la pièce présente les personnages Il sait déjà tout et apprend au lecteur/spectateur ce qui va se passer. Il définit le tragique de la situation et annonce l’entrée d’Antigone. Comment Antigone nous apparaît elle physiquement et psychologiquement ? Physiquement : »la petite maigre » / »la maigre jeune fille » « noiraude »  Psychologiquement : renfermée  que personne ne paraît prendre au sérieux dans la famille » Complexée

d’une scène d’expostion classique, le texte est dit par une voix mystérieuse : La voix, qui s’adresse aux spéctateurs. Cruauté des dieux/fatalité, oedipe cherche a échapper a l’oracle, l’assassinat de Laois raconté comme une fait divers, registre tragique, narration de 5 étapes de la vie d’Œdipe le suspens est levé comme dans une tragédie grecque antique. A quoi sert une scène d’exposition ? Donner les informations cadre spatio-temporel+ personnages, relations, intrigue Capter l’attention (ici

vu naitre au genre nouveau, le drame romantique,un mélange de comédie et de tragédie avec Hugo, Henari, Ruy, Blas, Musset, Lorenzaccio... La tragédie s'inscrit elle aussi dans cette mouvance.Si la conception classique a définitivement disparu, le tragique n'a pas pour autant cessé de préoccuper écrivains et philosophes qui ont beaucoup réfléchi sur le destin, la fatalité, le déterminisme de l'homme... Plusieurs tentatives ont été faites pour ressusciter la tragédie, pour la moderniser, afin qu'elle

Corneille, en abordant les thèmes tels que la passion, la vengeance et l'héroïsme, ainsi que la révolte et la fatalité, directement puisés de la période antique. La politique, malgré une forte censure, était fréquemment développée sur scène pendant des dialogues entre personnages. Le dénouement est souvent malheureux, c'est presque toujours la mort d'un des personnages. D'après Racine et Aristote, le héros doit périr car il a commis une faute, un péché, il y a donc une connotation religieuse. C) Inspiration

destination, en Colchide, sur le territoire du roi Aeétès, le possesseur de la toison d’or. Jason réussira au final à récupérer et à repartir avec la Toison d’or ainsi qu’avec la fille du roi, Médée, pour qui il fut pris d’amour. 2) Particulièrement tragique, la légende de Médée n’est que succession de meurtres et de fuite à travers toute la Grèce antique. Médée est la fille du roi Aeétès, roi qui règne

soulignée au travers du champ lexical de la bonté («indulgente », « diminuer mes peines » ligne 49, « venez auprès de moi » ligne 50, « vous m’aimez encore » ligne 52). En plaçant son héroïne face à différents allocutaires, Laclos crée l’illusion d’un dialogue à plusieurs voix : le texte est ainsi ponctué de nombreuses apostrophes à la deuxième personne du singulier et du pluriel (« ne te lasseras-tu point de me persécuter ? » ligne 2 ; « toi dont l’estime » ligne 20 ; « ne m’abandonnez pas » ligne 48)

Définissez les caractéristiques du registre tragique Le tragique renvoie à une situation violente que l’homme ne peut changer: il ne peut lutter contr son destin (ex : Antigone) . Il est victime des Dieux ou de ses passions... - Le tragique est lié à la mort et au temps qui passe. ême si toutes les tragédies ne se finissent pas par des morts, la souffrance et la mort sont souvent présentes. - Le tragique s’exprime par des contradictions, des dilemmes qui trouvent une issue le plus souvent dans

malade ? Un fou ? Une personne tentant d’échapper aux nazis ? Dieu ? Dans ce monde qui s’enfonce dans la folie, tout devient plausible. Certaines hypothèses s’effacent, d’autres s’immiscent dans l’esprit de Freud et dans celui du lecteur. Les dialogues sont vifs, passionnants. Ils interrogent sur de nombreuses questions métaphysiques, psychologiques aussi car le contexte bien particulier induit des comportements spécifiques et une façon nouvelle d’appréhender les choses et les êtres, sans jamais

SCENIQUE Personnage dont la présence scénique est (comme celle de Mercutio) limitée aux 2 premiers actes et à la scène initiale du 3ème acte : il apparaît pour la dernière fois dans la scène 1 de l’acte III qui marque le basculement de la pièce dans le tragique. NB : alors que Sh. aurait très bien pu le faire réapparaître ensuite puisqu’il n’est pas tué ! (choix qui n’est sans doute pas insignifiant !) Il est certes présent dans 7 scènes mais il joue généralement un rôle de comparse ,réduit à quelques

la dramaturgie de l’œuvre. Chaque correspondance pourrait être comparée à un échange théâtral dialogué. Les paroles prononcées se font sur papier, elles restent muettes et pourtant très explicites. Les personnages tissent eux-mêmes l’action en se livrant et favorisent ainsi l’adaptation cinématographique. Frears illustre cet état d’esprit en transposant les échanges épistolaires sous forme de dialogue. Les comédiens retranscrivent les sentiments de ces êtres de papier à l’aide d’expressions faciales