Le Dieu Du Carnage

ses conséquences : la dénonciation du fabuliste Citations « certain sujet » (v2) « un chien mort » (v10) « chamailler « (v32) (« Fureur », « ardent courroux », rime « carnage / sauvage », (vers 37-40). La gent maudite aussitôt poursuivit Tous les pigeons, en fit ample carnage(V.35) Procédés termes peu précis «déterminants » Connotation infantile Champ lexical de la guerre Adverbe aussitôt Enjambement Commentaires Le motif de la guerre

Rimbaud, fait appel au registre lyrique : « (…) dans l’été, dans l’herbe, dans ta joie Nature ! » (vv.7-8) pour exprimer ce qu’il ressent dans la première partie. Il exprime plus particulièrement sa douleur, sa tristesse pour les victimes de ce carnage à l’aide du registre pathétique, avec l’utilisation d’exclamations « pauvres morts » (v.7) ou encore d’interjections comme « ô » (v.8). Le poète évoque la nature qui fit les hommes « saintement » (v.8). La nature évoque en nous le calme, l’harmonie

(Théodicée, I, 44).Le recours à une formulation aussi pédante, s’agissant d’une immense atrocité, tend à la fois à ridiculiser le système de la philosophie de l’optimisme (c’est le but de Candide) et à mettre en relief le désastre de la guerre (le carnage de la guerre de sept ans a joué un rôle décisif dans la volonté de Voltaire d’écrire ce conte). Ce dernier point est renforcé par l’alliance d’un nombre élevé et d’un indéfini imprécis. Le procédé est repris dans l’évaluation finale : « le tout pouvait

l'erreur insensé Ont sens dessus-dessous le monde renversé. On fait des lieux sacrés une horrible voirie, Une grange, une étable et une porcherie, Si bien que Dieu n'est sûr en sa propre maison. Au ciel est revolée et Justice et Raison, Et en leur place, hélas! règnent le brigandage, La force, le harnois, le sang et le carnage. Tout va de pis en pis: le sujet a brisé Le serment qu'il devait à son Roi méprisé; Mars enflé de faux zèle et de vaine apparence Ainsi qu'une Furie agite

la liste des sévices pourrait ne jamais s’arrêter Impression d’horreur à la fin du paragraphe (ligne 19). Voltaire en fait presque trop « des cervelles étaient répandues sur la terre à côté de bras et de jambes coupés » : impression de chaos, de carnage épouvantable.  Dans le deuxième paragraphe, ce n’est plus un regard innocent, c’est le regard de Voltaire. 2) La symétrie et l’universalité de la cruauté Paragraphe 2 : lieu ayant subit le traitement : chez les Arabes (« c’était un village abare

les parfums, les couleurs et les sons se répondent » .Ses vers respectent les règlent de l'accentuation et utilise des figures de style dont le goût pour la provocation est indéniable. Puisque la vie n'est qu'extase et horreur, partage inégal entre Dieu et Satan, le poète la transfigure dans une contrée imaginaire où le desepoir et la beauté se confondent. Il s'évade dans les paradis artificiels du haschisch, de l'opium et du vin, ceux de la luxure et du vice. L'ennui, la mort et la pourriture le

mort bravement, mais il n’en est rien, au contraire il a tué sa femme et a fui lâchement. Dans cette pièce, Sartre expose sa philosophie existentialiste : on n’échappe à ses actes même morts, l’homme ne doit pas se retrancher derrière les compromis ou dieu, il faut assumer ses actes. Ainsi, le théâtre met-il en scène l’homme dans ses défauts, sa bassesse voire sa cruauté, mais peut-on pour autant réduire le théâtre à cela ? II En quoi le théâtre peut aussi être considéré comme un lieu de divertissement 

2 « souviens toi [...] meurs vieux lâche, il est trop tard ». Le temps est ici représenté par l'objet qui le mesure: l'horloge. L'horloge est déifiée, c'est-à-dire qu'on lui attribue des termes associés au dieux: « dieu sinistre, impassible », il y a des termes péjoratifs: dieu sans pitié, dur, sans miséricorde. Elle est personnifiée, d'abord par son apparence: « elle pointe du doigt », puis dans la faculté: « elle nous dit »; donc elle parle. Le poème va donc évoquer le discours de l'horloge

roi et de Dieu qu'il met en opposition avec la nature. Armature logique du sonnet : les deux quatrains parlent de la guerre et des champs de bataille : 1-le premier quatrain est une image de la guerre, du champ de bataille. 2-le second quatrain illustre le résultat de cette guerre, les milliers d'hommes qui meurent pour le roi et la place de la nature face au massacre. Les deux tercets mettent, face à cela, l'attitude de Dieu : 3-le premier tercet montre l'indifférence de Dieu 4-le dernier

insensé (6) Ont sens dessus dessous le monde renversé. On a fait des lieux saints une horrible voirie (7), Un assainissement et une pillerie : Si bien que Dieu n’est sur en sa propre maison. Au ciel est revolée (8) et Justice et Raison, Et en leur place hélas ! règnent le brigandage, La force, les couteaux, le sang et le carnage. Tout va de pis en pis : les cités qui vivaient Tranquilles ont brisé la foi qu’elles devaient ; Mars (9) enflé de faux zèle et de vaine apparence Ainsi qu’une