Le Fait Majoritaire

p q (  Réaction régiosélective : Formation d’un R-X majoritaire et d’un minoritaire  Réaction non stéréospécifique : obtention d’un racémique Etude de la régiosélectivité : exemple du but-1-ène + HCl C2H5 2 1 C > CH2 H +  H + Cl C2H5 C2H5 H C - Cl Cl CH2 2 + 1 H C H 2 CH2 1 H Cl C2H5 2 C 1 CH3 H 2-chlorobutane 2 chlorobutane majoritaire 2 C2H5 CH2 1 CH2Cl 1-chlorobutane 1 chlorobutane

IIIe IVe République, mais sa mise en œuvre a été assouplie, car elle était alors pratiquement impraticable. En effet sous la IIIe le Président Jules Grévy avait annoncé son intention de ne pas recourir à cette prérogative et ce droit était de ce fait entré en désuétude. Sous la IVe la dissolution ne pouvait être exercée pendant les dix-huit premiers mois de la législature (1/3 de celle-ci) et ne pouvait être prononcée que si deux crises ministérielles « constitutionnelles » survenaient dans un

de chef du Gouvernement du Royaume-Uni se sont en effet développés progressivement. Tout d’abord avec l’obligation pour le représentant de la Couronne de le désigner au sein de la majorité parlementaire, puis celle de désigner le leader du parti majoritaire au Parlement. Dès la fin de la seconde guerre mondiale, le Premier ministre a vu son pouvoir et son autorité renforcés par rapport aux autres membres du Cabinet. En Angleterre, le peuple vote pour ses députés et a fortiori pour son représentant

faire comprendre que les trois pouvoirs politiques, judiciaire, législatif et exécutif, ne doivent pas être condensés dans les mains d’une seule et même personne, comme cela l’a été lors de la monarchie absolue. Montesquieu a donc amené comme idée le fait qu’il fallait séparer les pouvoirs, mais n’a jamais énoncé clairement une théorie. Montesquieu n’a de plus jamais inventé les régime présidentiel et parlementaire, c’est ce qu’on a tiré de lui. Par ailleurs, l’auteur n’a jamais définit une séparation

nation est un concept abstrait, différent du peuple qui la constitue. Le mandataire ne fait que représenter la nation. La souveraineté populaire. Souveraineté = dans le peuple, qui détient le pouvoir. Chapitre 2 : l’exercice de cette souveraineté. Démocratie directe = utopie (cités grecques, demis cantons suisses : sinon : trop d’habitants !) Démocratie représentative. Représentée par un individu(s) qui fait des actes comme si le réel détendeur les avait faits. Déviation de ce système (pouvoir

Institutions Politiques Comparées    Introduction  Jacques Chevalier: trois écoles, trois méthodes comparatives.  Le comparatisme taxinomique: il va déboucher sur des classifications, des typologies des régimes politiques.  (déjà fait par Aristote), cela a le mérite de clarifier les analyse, cela fournit une grille de lecture, comparer les régimes entre eux.  Le comparatisme relativiste: Chaque construction politique est singulière. Ils s'intéressent aux variables qui vont permettre de distinguer

régions) n'ont pas le pouvoir de faire la loi, mais un certain nombre de responsabilités (développement économique, environnement, culture...) et un budget propre leur sont confiés, A l'échelon national, il faut distinguer le pouvoir exécutif (qui fait appliquer des lois), législatif (qui discute et vote les lois) et judiciaire (qui contrôle l'application de la loi). En France, sous la V République, le pouvoir exécutif appartient au président de la République et au gouvernement, et le pouvoir

scrutin se fait dans chaque commune, ne dure qu’un seul jour, a lieu un dimanche et est secret. Le système électoral est « l’ensemble des règles qui président à l’organisation des élections dans un Etat ». Il possède plusieurs caractéristiques comme par exemple le mode de scrutin qui nous intéresse ici. Par mode de scrutin, on parle des mécanismes de traduction des votes en sièges. Il y a une grande diversité des modes de scrutin qui se regroupent en deux catégories. Le scrutin majoritaire d’une part

parlement qui apparaît, à notre sens comme l’amorce du déclin de cette institution. (I) Cependant,une analyse plus fine, développée par Pierre Avril «Le Parlementarisme rationalisé » (1998), nous conduira à considérer que c’est en fait l’apparition en 1962 du fait majoritaire qui a scellé le destin du parlement et conduit à la pérennisation de son déclin (II). *La rationalisation du Parlement : l*’amorce d*u* déclin *La nouvelle donne constitutionnelle de 1958* : la marginalisation du

parlementaire rééquilibré avec un chef de l'Etat disposant d'un pouvoir fort. La chute de la IVème République tient à son incapacité a avoir pu régler le problème colonial, mais aussi à l'éclatement de la représentation politique, rendant impossible le fait que des majorités de gouvernement durable puisse exister. Elle va donner naissance à une nouvelle République qui rompt avec le passé. Le gouvernement de Pflimlin démissionne le 28 mai 1958. De Gaulle, le lendemain est reçu à l'Elysée par le Président