Le Feu Du Ciel Victor Hugo

 Ta tête, ton geste, ton air Sont beaux comme un beau paysage ; Le rire joue en ton visage Comme un vent frais dans un ciel clair. Le passant chagrin que tu frôles Est ébloui par la santé Qui jaillit comme une clarté De tes bras et de tes épaules. Les retentissantes couleurs Dont tu parsèmes tes toilettes Jettent dans l'esprit des poètes L'image d'un ballet de fleurs. Ces robes folles sont l'emblème De ton esprit bariolé ; Folle dont je suis affolé, Je te hais autant que

libreEluard: la courbe de tes yeux fait le tour de mon coeurHugo: A une femmeVillon: Ballade des femmes de Paris Prevers :Barbara Cros:Les femmes sont fleur Hugo:Jolies fammes Nerval : La femme est l'amour L’union libre Ma femme à la chevelure de feu de boisAux pensées d’éclairs de chaleurA la taille de sablierMa femme à la taille de loutre entre les dents du tigreMa femme à la bouche de cocarde et de bouquets d’étoiles de dernière grandeurAux dents d’empreinte de souris blanche sur la terre blancheA

nouvelles formes artistiques: ils ont créé un théâtre plus libre, ils ont fait du roman un genre majeur et ils ont libéré la poésie jusqu'à inventer le poème en prose. J'ai donc choisit un texte de Victor Hugo pour illustré le Romantisme car celà me sembler être une évidence. Oh ! quand je dors... - Victor Hugo (Recueil : Les rayons et les ombres.) Oh ! quand je dors, viens auprès de ma couche, Comme à Pétrarque apparaissait Laura, Et qu'en passant ton haleine me touche... - Soudain ma bouche

RECUEIL DE POESIES Umberto Boccioni: Carica Dei Lancieri Arthur Rimbaud 1854-1891: Le mal Tandis que les crachats rouges de la mitrailleSifflent tout le jour par l’infini du ciel bleu ;Qu’écarlates ou verts, près du Roi qui les raille,Croulent les bataillons en masse dans le feu ; Tandis qu’une folie épouvantable broieEt fait de cent milliers d’hommes un tas fumant ;- Pauvres morts ! dans l’été, dans l’herbe, dans ta joie,Nature ! ô toi qui fis ces hommes saintement !… - Il est un Dieu, qui

est dépeuplé » met en contraste la valeur à la quantité. Une seule personne qui nous est chère à plus d’importance que toutes les autres. Les paysages d’écrit ne semblent pas pour autant... Analyse "aux arbres" victor hugo C’est l’histoire de la relation entre Victor Hugo, qui est le narrateur, et les arbres. Il est de nature solitaire, donc il recherche plus laprésence des arbres et celle de Dieu dans sa vie plutôt que celle de ses comparses. La communion qui existe entre la nature et l’âme

oiseau noir ! Mais, saints du ciel en haut du chêne, Mât perdu dans le soir charmé, Laissez les fauvettes de mai Pour ceux qu'au fond du bois enchaîne, Dans l'herbe d'où l'on ne peut fuir, La défaite sans avenir. [pic] Le cimetière de Saint-Privat par Alphonse Neuville. Représentation de la bataille de Saint-Privat(18 août 1870) La victoire de Guernica Paul Eluard (1895-1952) I Beau monde des masures De la nuit et des champs II Visages bons au feu visages bons au fond Aux refus

plaidoyer pour les poètes. Plus d’extraits de La défense du poète d'Alain Bosquet [...] « le poète en des jours impies Vient prépare des jours meilleurs. Il est l’homme des utopies, Les pieds ici, les yeux ailleurs » Fonctions du poète de Victor Hugo Il convient de se demander si le poète désire vraiment fuir le monde réel puisqu’il se soucie des attaques qu’il reçoit et qu’il se soucie du monde. Le poète tente de mettre à disposition la poésie au « commun des mortels ». Il fait alors un plaidoyer

analytique 1 – Hugo, « Le mendiant », Les Contemplations, 1856 2 – Baudelaire, « Correspondances », Les Fleurs du mal, 1857 3 – Jaccottet, « Le travail du poète », L’Ignorant, 1957 4 – Jaccottet, « Je sais maintenant que je ne possède rien … », L’Effraie, 1953 4 groupements de textes ○1er corpus. C’est le corpus que nous avons examiné au départ afin de dégager l’image que chaque poète donnait de lui et de ses « pouvoirs ». Il comprend: - « Fonction du poète » (2 extraits), de Victor Hugo, 1840 – « La

[pic] Le moyen infaillible de rajeunir une citation est de la faire exacte. Editions Du Croco - DuRico Adieu Le vent n’a jamais été plus froid La pluie plus violente que ce soir là Le soir de ses vingt ans Le soir où elle a éteint le feu Derrière la façade de ses yeux Dans un éclair blanc C’était l’hiver Elle est partie un jour Elle a quitté le bal Dans ce monde en mal d’Amour Elle respirait trop mal Elle n’avait pas eu le temps D’attendre trop longtemps Elle me regardait

force, se laisse engloutir par le Styx tandis qu'à ses côtés un homme tente de grimper à bord en s’appuyant sue une femme qui s'agrippe désespérément à la barque.  L’arrière-plan, sommaire, s’efface dans la brume. Mais le Styx vibre d’énergie comme le ciel qui les enveloppe tous. Delacroix n’a pas le loisir de s’arrêter au détail. Les draperies, la tension des muscles, les vagues, les flammes, la palette sombre, les chairs blafardes, ne sont plus les éléments d’un récit, mais des acteurs qui donnent