Le Genie Hegel

Hegel, l’Esthétique ------------------------------------------------- Selon Kant dans Critique de la faculté de juger, « le génie est le talent qui donne à l’art ses règles » On comprend que l’idée générale qu’ont les individus à propos d’une personne qui arrive à produire une œuvre d’art ou à créer une mélodie sans jamais avoir appris les bases, est qu’il est nécessairement un génie et qu’il possède donc un talent naturel. L'idée essentielle qu'il nous faut noter est que, même si le talent

que reproduire l’apparence de l’objet produit Auteur : Kant -Ouvrage : Critique de la faculté de juger -Thèse : La création par le génie d’une œuvre qui n’ait d’autre fin que la beauté -Arguments : - Méthode & règles( technique , rudiments de la perspective ..) -Définition : génie : don inexplicable , non transmissible Auteur : Sartre -Ouvrage : Qu’Est-ce que la littérature ? -Thèse : L’Œuvre d’art n’a d’autre fin qu’elle-même Auteur

_______________________________________________ 2 La suppression des temps mo rts (Kundera) _______________________________________________ 4 Quand l’art se libère des contraintes réalistes (Sarraute) _____________________________________ 4 La question du progrès (Hegel)________________________________________________________ 4 L’œuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité technique (Benjamin) _______ Erreur ! Signet non défini. I. Comment définir l’art ? ____________________________________________________ 5

conscience, l’inconscient « La conscience est toujours conscience de quelque chose ». Husserl Plan du cours : Introduction 1) La conscience morale : Augustin et Rousseau 2) La conscience et le cogito cartésien 3) La conscience dialectique chez Hegel 4) La conscience comme mémoire chez Bergson 5) L’inconscient dans la psychanalyse freudienne 6) L’inconscient après Freud : Jung et Maslow Conclusion 1) La conscience morale : Augustin (334-430) et Rousseau (1712-1778) « Il est au fond

F. KAUSCH3 COURS : 1) Mêler art et pouvoir / esthétique et politiqueBibliographie : - Walter Benjamin « l’œuvre d'art à l'époque de la reproductibilité technique » 1939 Gallimard Œuvres, III (→ 3ème volume) PR LA RENTREE 2) Politique : cours sur la punition et le châtiment 3) Les sciences humaines à partir de Rousseau, entre autres.Concernant les lectures : travail « non scolaire » → toujours un livre ouvertINTRODUCTION sur le texte de Benjamin Avec le photographe Walker Evans

leurs outils et instruments. Le summum de l’art, c’est alors d’accomplir des prouesses techniques tout en donnant l’impression de facilité. C’est pour cela que le poète Horace écrivait que « l’art, c’est caché l’art ». Les Beaux-Arts : « arts du génie » Il est pourtant nécessaire de différencier un domaine spécifiquement « artistique » d’un domaine « artisanal »ou « technique ». C’est ce qu’on consacre la notion « Beaux-Arts » née au XVIII siècle, qui définit le domaine de l’art comme celui de

Jésus-Christ ) : La représentation procure un plaisir : celui de reconnaître quelque chose . En comparant une œuvre à la réalité ( portrait à son modèle ) nous sommes donc ravie heureux de trouver une ressemblance entre eux * Le pont de vue de Hegel ( Philosophe allemand ) Pour lui l’esprit de l’artiste est supérieur à la nature . La beauté artistique ou encore l’invention d’une technique définissent le domaine de la créativité de l’homme et non plus celui de l’imitation de la nature ou de

la Raison Pure, analytique transcendantale). Le semblable pose la légitimité de la sympathie, de la compassion - ce que nous pouvons appeler la contagion des consciences - de la reconnaissance - sentiment majeur dans la rencontre avec autrui selon Hegel et Sartre - ou du respect - qui est la distance accordée à toute personne reconnue comme une fin en soi selon Kant. Le semblable n’est pas l’identique, ou l’égal. Il n’y a en aucun cas confusion entre moi et l’autre, ni même identité. Le semblable

prévalent en art. Le danger des règles L'académisme finit par nuire à la créativité. Diderot, l'un des premiers critiques d'art, disait que « les règles ont fait de l'art une routine (…) elles ont servi l'homme ordinaire, elles ont nui à l'homme de génie ». On évaluera donc la beauté d'une oeuvre par un « je-ne-sais-quoi » qui justement n'obéit à aucune règle. La création passe donc par le rejet des règles parce qu'elles finissent par être jugées trop contraignantes. Victor Hugo, théorisant le romantisme

nos croyances actuelles ne sont pas des illusions ? Comment trouver un critère de vérité, ou tout au moins une certitude absolue ? Cf. texte 1 : - le doute méthodique : expérience de pensée (≠ vrai doute) ; - le doute hyperbolique (le malin génie) : le soupçon le + ténu suffira à postuler comme inexistant. Texte 2 : Dès lors ne saurait résister au doute qu’une seule proposition : « je suis, j’existe », modèle de vérité fondé sur le critère de l’évidence (clarté et distinction), index sui