Le Génie Selon Kant

Critique : N'est-ce pas là confondre le beau et l'agréable?   La critique kantienne : Kant, dans sa Critique de la faculté de juger (Kritik der Urteilskraft), opère précisément la distinction entre le Beau et l'agréable (manuel Hatier : texte 3). Tous deux, nous dit Kant, le sentiment du Beau comme celui de l'agréable, relèvent de la faculté affective que Kant nomme faculté de plaisir ou de peine. Mais, dit Kant, l'agréable relève de mon affectivité individuelle. « L'agréable signifie pour tout homme

pouvons communiquer lorsque nous sommes morts . Ceci renforce le premier argument , nous sommes trompés par nos sens lors d'un rêve qui est trompeur . Enfin le dernier argument qu'utilise Descartes pour appuyer sa théorie est « l'argument du malin génie » ; ce dernier argument est une pure invention de Descartes au cas ou les arguments précédents ne suffiraient pas à nous convaincre nous lecteur . Cet argument n'est donc pas très exploitable . Il semblerait qu'il y ait dans chacun de nos esprits une

raison aux sentiments. Selon les stoïciens, on distingue ce qui dépend de nous ( notre vie psychologique, contrôle des sentiments ) & ce qui ne dépend pas de moi (ordre du monde ). A ce nombre, on peut compter la mort, la maladie, revers de fortune. Les stoïciens préconisent d’accepter l’ordre des choses quand on ne peut rien y changer car désirer quoi que ce soit autrement ferait souffrir doublement. * ------------------------------------------------- Agir selon la raison et non pas l’affection

étranger dans la nature et, par le travail précisément, il va «rendre familier ce qui était étranger, donner forme humaine à ce qui était informe». Le travail va dompter les forces redoutables de la nature et en faire nos fidèles servantes. Il va, selon la formule de Descartes, «nous rendre comme maîtres et possesseurs de la nature». Alors, le travail est-il asservissant ou au contraire libérateur ? Mutilant ou moyen d'accomplissement de soi ? Cause de nos malheurs ou condition de notre bonheur ?

suffit de les agencer selon certains principes, d’où vient-il qu’il y ait des artistes qui surpassent tous les autres ? Cela peut découler d’une plus grande maîtrise de ces techniques, mais de telles différences semblent tout de même difficiles à contenter par cette simple explication. Kant en avance une autre. Selon lui, les artistes seraient dotés d’une caractéristique qui les distinguerait des autres. Ils possèderaient une sorte de don, de génie qui les inspirerait. Ce génie serait à l’origine de

des idées reçues et donc des préjugés. Alors, qui philosophe ? C’est, toujours d’après Platon, celui qui a pris conscience qu’il ne sait rien, et que, par-là même, la vérité est quelque chose qui ne se possède pas, mais qui se recherche. L’amour, selon Platon est l’un des moyens d’accéder à la vérité : au départ, l’amour est l’amour des beaux corps (donc purement physique), puis devient l’amour des belles âmes (donc amour intellectuel) pour finalement accéder à l’amour du Beau. TEXTE 2 p.389 :

l’argumentL’ART :L’art est-il une mauvaise copie du monde et de ses apparences ou bien l’expression d’une pensée et de ses concepts ? Paradoxalement, l’art est, à la fois la mise en œuvre de règles et de procédés et ce qui semble échapper aux règles, comme le génie.1) La critique de l’imagea) le modèle et la copie (Platon)Un artiste qui peint un lit, copie le lit fabriqué par l’artisan, qui lui même a imité un modèle abstrait de celui qui à eu l’idée d’un « lit ». Comme les apparences et la tromperie, l’art tente

Métaphysiques sur le doute Douter des « vérités » sensibles → sensibilité et raison sont les deux principes de la connaissance MM1 Douter des « vérités » rationnelles → sensibilité et raison sont les deux principes de la connaissance MM1 L'hypothèse du malin génie (rend son doute total) → MM 1 Le cogito → Début MM2 Texte 1 → Descartes, Méditations Métaphysiques, I. Ce texte parle de la représentation du réel par l'intermédiaire de la sensibilité, c'est à dire des idées qui se produisent, qui se forme

pas de fonction clairement définie. Effectivement, les définitions de ce concept varient largement selon les époques et les lieux, et aucune d'entre elles n'est universellement acceptée. Ainsi, pour Marcel Mauss «un objet d'art, par définition, est l'objet reconnu comme tel par un groupe.» C'est pourquoi les collections de productions artistiques peuvent être classées et appréciées diversement selon les cultures, les auteurs et les institutions. En Europe,depuis la fin du xviiie siècle, ce terme

donc prétend à la vérité. Mais paradoxalement nous ne parlons pas de l'œuvre mais nous parlons de nous et du plaisir qu'elle nous procure et il semble naturel aux humains de partager ce plaisir ressenti. Il faut différencier le beau et l'agréable, Kant définit le beau comme " ce qui plaît universellement et sans concept " alors que ce qui est subjectivement agréable n'est pas forcément universalisable. Cependant il est difficile de définir ce qui est beau, et de savoir si ce critère est indispensable