Le Génie Selon Kant

de la philo. Important dialogue : Le Menon et la république. Platon, a créé l’académie, a un élève (son plus fidèle opposant) Aristote qui a créé le lycée. Il n’a pas de « matière » dont il n’est pas le père, on l’appelle Le philosophe. C’est le génie de la philosophie Air e romaine, le stoïcisme avec Epicure, Lucreze etc.. Le christianisme va assimiler le stoïcisme etc pendant le moyen âge. Saint augustin et saint d’Aquin sont les 2 philosophes importants au MA Le propre de la philo ancienne

révoquer en boucle les choses que l’on tient pour vraies. Dans la première de ses méditations métaphysiques, l’auteur révoque en doute une série d’argument par exemple l’argument du rêve, mais également les arguments mathématiques par l’argument du malin génie. Ce doute cartésien est un hyperbolique mais méthodique. Le doute n’est pas une fin en soi, mais dans le but de trouver une première vérité, absolument indubitable pour ensuite fonder la connaissance. Alors qu’elle est cette première vérité. Descartes

le public retenant de sa philosophie son pessimisme. Vivant en solitaire, avec sa chienne Atma, Arthur Schopenhauer subit une longue traversée du désert sans pouvoir faire reconnaître sa pensée. Sa philosophie, inspirée de celles de Platon, de Kant et des religions hindoues, lui permit d’acquérir une renommée à la fin de sa vie grâce notamment, à quelques disciples et à des ouvrages sous forme d'aphorismes (Parerga et Paralipomena) qui facilitèrent la diffusion de sa doctrine. Son influence est

Philosophes des Lumières : la Raison, un moyen de développer l'esprit critique et de vulgariser le savoir 1-Le philosophe des Lumières Tout d'abord, grâce aux textes « Qu'est ce que les Lumières ? » de KANT et « Le philosophe » de DUMARSAIS, nous allons définir le philosophe du XVIII ème siècle. Selon DUMARSAIS, le Philosophe n'est pas un homme comme les autres et c'est bien sa différence qui le qualifie. En premier lieu, le philosophe est conduit par la raison « la raison détermine le philosophe »

référence à l’épicurisme. Epicure (-341 – -270), a fondé, à Athènes, l’école du jardin, ouvert à tous. Selon lui, il y a trois sortes de besoins : - besoins naturels et nécessaires - besoins non-naturels et nécessaires - besoins non-naturels et non-nécessaires. Epicure dit qu’il faut se satisfaire des besoins naturels et nécessaires. Enfin, Comte-Sponville parle de la théorie hédoniste selon laquelle le bonheur réside dans le plaisir. Averroès (1126 – 1198), philosophe et théologien, célèbre

conscience, une représentation du monde m’accompagne. Mais en même temps, la conscience est ce qui me place en position de sujet, seul, parmi tous les êtres vivants, à posséder le sentiment de mon existence. De Socrate (« Connais-toi toi-même ») à Kant, les philosophes classiques accordent donc à la conscience une place centrale : « Qu’est-ce donc que je suis ? Une chose qui pense. Qu’est ce que cela ? C’est bien une chose qui doute, qui connaît, qui affirme, qui nie, qui veut, qui ne veut pas, qui

alors que l’artiste serait celui qui tend vers le beau. Comment, malgré cette différence, ces deux créateurs peuvent arriver à la même finalité. On pourrait y voir une opposition entre l’art et la technique de manière générale, le savoir-faire et le génie, le produit et l’œuvre d’art, ou encore entre l’utile et le beau. Le point de vue d’Alain sépare l'acte créateur et l’acte de production technique mais cette opposition y est nuancée. En effet, qu’est-ce qui distingue exactement le travail d’un artiste

des autres, qui ne cesse pas d’être plus esclave qu’eux. » D’un état de nature où l’homme se trouvait libre, il est désormais esclave des propres règles de société, qu’il s’est fixé. Ainsi l’homme social avec son capital culturel, se comporte selon les mœurs en vigueur, se pliant ainsi au devoir qu’exige de lui la communauté, par exemple au travers du paiement de taxes, mais acquérant, aussi, par la même occasion, de nouveaux droits, comme le droit de propriété, compris dans les droits civiques

s'accroisse durablement provoque en lui-même l'accumulation des satisfactions, ce qui le mène au bonheur. Sommaire [masquer] 1 En philosophie 1.1 Épicure (3eme s. av JC) 1.2 Blaise Pascal (1623-1662) 1.3 Baruch Spinoza (1632-1677) 1.4 Emmanuel Kant (1724-1804) 1.4.1 Qu’est-ce que le bonheur ? 1.4.2 Bonheur et devoir 1.4.2.1 Le bonheur comme fin 1.4.2.2 Le bonheur comme conséquence 1.5 Friedrich Nietzsche (1844-1900) 1.6 Philosophie contemporaine 1.7 Philosophie bouddhiste 2 En psychologie

n’est pas un simple jeu de mot ou débat télévisé où toutes les idées se vaudraient et rien ne pourrait être dit avec vérité. Ce n’est pas un grand débat. Et surtout la vérité ne progresserait jamais. C’est le Relativisme. Relativisme : C’est l’idée selon laquelle tout se veut (toutes les vérités se basent). C’est l’idée que chacun ai sa propre personnalité. Si on pousse à ses conséquences signifie la ruine de l’idée de vérité. La philosophie s’oppose au relativisme, elle tente de sauver la vérité