Le Juge Et Le Législateur Le Législateur Et Le Juge

indispensable de l’activité économique. L’évolution du droit public date des années 30, elle a été crée dans le but de réglementer le droit économique des entreprises. Ceci débouche sur une modification des techniques du droit public. Le législateur et le juge doivent trouver des solutions particulières qui ne sont pas forcement cohérentes avec celles du droit administratif. Le rapport « Doing business » classe, en 2009, la France en 30éme position des pays où il est le plus facile de faire des

sens: (juge, jurisprudence, le législateur, la loi) - l'institution (les autorités créatrices de norme) - Type d'actes / de normes qui sont pris Intérêt du sujet Est-ce qu'on peut considérer que le juge est le créateur de normes? Peut-on vraiment parler de source du droit pour le juge et la jurisprudence? On peut parler de droit comparé, donc entre les systèmes romano-germanique et les pays de la common law. Historique: à quel élément historique va-t-on faire référence pour que le juge soit créateur

progressivement encadré la faculté pour le législateur d’adopter des dispositions rétroactives. Dans un premier temps, le Conseil constitutionnel jugeait qu’aucune exigence constitutionnelle n’interdisait qu’une disposition fiscale ait un caractère rétroactif 1 . Puis, dès 1986, il s’est engagé dans la voie d’un contrôle de l’objectif poursuivi par le législateur, relevant que « par exception aux dispositions de valeur législative de l’article 2 du code civil, le législateur peut, pour des raisons d’intérêt

................................................................................................................. Le droit ne peut pas tout, les individus ont des intérêts divergents, ne peut pas satisfaire tt le monde, parait souhaitable aux législateurs et pas forcément souhaitable aux yeux de tous, mais besoin de trancher. §2 Le droit et la morale A/ Les éléments distinctifs La morale inspire le droit. 4 éléments font qu'ils n'ont rien à voir : --> Les finalités, le droit c'est le maintien

conventionnelles pose des nombreuses controverses jurisprudentielles, et retient le problEme plus vaste du contrôle des decisions de l’Administration portant sanction par le juge. PremiErement, avant de se interroger si l’article 6, 1 de la convention européenne des droits de l'Homme qui énonce le droit à un procès équitable autorise, ou non, le juge de l'impôt à moduler le taux de la sanction prévue par la loi pour tenir compte de la gravité de la faute et de la personnalité du contribuable, il conviendra dEfinir

considérait le juge comme « la bouche qui prononce les paroles de la loi ; des êtres inanimés qui n’en peuvent modérer ni la force ni la rigueur ». La jurisprudence émanant du pouvoir judiciaire, donc du pouvoir du juge, celle-ci ne saurait constituer une source du droit. Cette vision du juge «bouche de la loi» est appuyé juridiquement par l’article 12 du Code de Procédure Civile qui stipule que « Le juge tranche le litige conformément aux règles de droit qui lui sont applicables». Le rôle du juge est donc

Concernant le côté inspiré, le droit français est profondément inspiré par la religion catholique à travers les termes qu’il emploie (ex : le pardon, la faute). Droit et la morale : la morale occupe une place importante en droit, à la fois pour le législateur et pour les juges. Certains termes sont parfois inspirer de la morale (ex : la loyauté, les bonnes mœurs, l’indignité). Mais comme pour la religion, le droit reste différent de la morale. Tout d’abord dans leur nature : le droit -> règle sociale

publique ; règles fondamentales de la société. Comment sait-on qu’une règle est supplétive ou non ? Dans la loi il n’y aura jamais écrit si une loi est supplétive ou impérative. Certaines fois la loi dit qu’elle est d’ordre public sinon c’est au juge de trancher et de décider. 2- La sanction : C’est un élément essentiel en droit. C’est une sanction socialement organisé et étatiquement assurée. Il peut y avoir des sanctions politiques si elle n’est pas socialement organisée. Dans la

la règle de droit se révèle immorale alors que ce n’était pas prévu, ce n’est alors la faute de personne, mais cela tient a la nature même des choses. La règle de droit étant générale elle ne peut tenir compte de tous les cas concrets. Cependant le juge ne peut corriger l’injustice car il lui est interdit de statuer en équité. Il ne peut les modifier au motif qu’elles conduisent à un résultat immoral. A l’équité est préférée l’égalité. Exemple : des salariés veulent être payés plus durant les jours

textes contestables ou liberticides, préambule de la Constitution de 1958 a solennelle­ment proclamé l'attachement de la République aux principes originels, leur donnant ainsi une valeur constitutionnelle. Ouverture : Ces règles qui s'imposent au législateur et renforcent son rôle, ont pour conséquence de ne pas donner au pouvoir exécutif et aux instances judiciaires le droit de créer des incriminations ou de fixer les règles du procès pénal. Elles confortent ainsi le principe de la séparation des pouvoirs