Le Juge Et Le Roi 16ème 18ème

l’ayant-droit originel ? Le roi de France va en définitive maitriser le processus, CAD que le réaccenssement, CAD le fait de concéder à cens une parcelle dont on ne connaît pas si le propriétaire est mort ou pas, doit être autorisé par le roi. CAD que le roi se considère bien seigneur de l’ensemble du royaume, ce qui n’est pas vrai dans le droit féodal. On va parler de la directe royale universelle, CAD le pouvoir que le roi possède sur toute chose et sur tout homme. Le Roi devient un souverain, on

pérégrain C'est à eux qu'on s'adresse pour la recevabilité des procès en fonction de la loi des 12 tables, ce n'est pas lui qui tranche le litige en question, il contrôle lui la recevabilité de la demande, il ne juge pas mais désigne un juge pour régler le conflit (généralement un notable. Le juge ainsi désigné va rendre sa sentence = sentencia. Si la demande du justiciable n'est pas prévu par la loi des 12 tables le procès ne peut pas avoir lieu, on se dit donc que ce système est génant vers le 3e-4e

UR-NAMMU. L’origine de ce droit est bien divine, celui qui a donné le droit au roi UR est le dieu LUNE NANA. Le lieu est aussi à l’origine du pouvoir royal. Le roi reçoit la loi du dieu et il va ensuite la transmettre à son peuple. Le plus connu des anciens codes est le fameux code d’HAMMAURABI. C’est une pierre de presque 3m, un bloc. HAMMAURABI était un roi de la première dynastie de Babylone aux alentours du 18ème siècle av. JC. Pourquoi ce code ? C’était un conquérant militaire, il sait que

gaule +481 : Clovis les chasse et devient roi de France +751 : Pépin le bref : Carolingiens +800 : Charlemagne empereur Entre 10eme et 18eme : 3 dynasties : Capétiens, Valois, Bourbons (Henry IV) : dernière dynastie a régner jusqu'à la révolution … 13 siècles entre Clovis et 1789 ( Ancien Régime composé de plusieurs époques : Moyen age : Clovis ( 1450 Société féodale ( 10ème au fin 13ème Etat Monarchique ( Fin 13ème Monarchie Absolue ( Fin 16ème à 1789 PREMIERE PARTIE : L’ancien régime

humaine n’est pas reconnue en tant que siège et assiette de droit. La plupart des organisations sociales qui se sont battis au cours des siècles ne reposent pas sur la reconnaissance de l’homme individu car toutes les personnes ne sont pas forcement jugé égale (homme libre, homme esclave,…) mais car beaucoup de système d’organisation sociale fonctionne sur la reconnaissance du groupe mais pas de l’individu : race, nation, famille, tribu,… Il y a des civilisations qui ont commencé à faire immerger

sociaux ». Timbal. «  Histoire du droit et des institutions ». Garisson. Introduction: -La coutume: Coutume au 17eme siècle domine, en particulier en Angleterre. La France fait prévaloir la loi, elle va naturellement être contrôlée par le Roi. C’est le Roi qui est derrière les textes. Il aura tendance à privilégier les textes qu’il contrôle au détriment de la coutume. La coutume a été progressivement récupéré par la loi. Elle va subsister seulement là où le droit ne va pas intervenir. La coutume

siècle c'est la monarchie qui décide la mise par écrit les coutumes. C'est donc une rédaction officielle. a) Les rédactions privées le développement des écrits dans le cadre d'une culture profane. Les personnes qui rédigent sont au service du roi et des seigneurs. Cela révèle les progrès de la réflexion juridique. Ce qui caractérise ces recueil est la langue utilisé. En effet on utilise la langue du pays d’où vient la coutume. Ex de recueil : « les coutumes de Beauvaisis » de Philippe de Beaumanoir

persiste. En réalité les serfs sont de moins en moins nombreux et les coutumes en prennent actes. En outre là ou le servage à subsisté les incapacités pesant sur les serfs sont considérablement réduites. 288 Le statut de la noblesse est régi par le roi. Les titres de noblesse sont héréditaires et les coutumes règlent les modalités d’application de ce principe. Le droit royal décide des possibilités et des modalités d’accès à la noblesse par les membres du tiers état. La condition même des nobles répond

objectiver le contenu de ce droit. Le juge constitutionnel pourrait être à même par ses connaissances, sa sagesse, sa prudence pourrait être amené à déterminer objectivement à ce qu’aspire la société. Mais perspective qui consiste à confier le pouvoir au juge et donc soumettre l’état à la volonté subjective des juges. Sous la bannière du droit objectif ne peut conduire l’état qu’à la volonté subjective des juges. Danger : soumission à la dictature du juge. Les lois étaient conformes au droit subjectif

juges d’anciens régimes avaient pour fonction de juger des litiges privés et d’enregistrer les lois du roi pour qu’elles soient applicables. Ils se permettaient donc de temps à autres de refuser des lois ou de les modifier au motif que ces lois « transgressaient » les lois fondamentales du royaume. Ces juges étaient des aristocrates qui avaient des principes à conserver. Mais petit à petit, le roi a remit en cause ses principes (égalisation de la population…). Depuis la loi de 1790, les juges ne