Le Malheur Selon Epictete

vieillesse Philèbe, Timée, Critias, Les Lois EPICURE (341-270 av JC). Epicure s'oppose à la fois à l'idéalisme platonicien et à la théorie aristotélicienne de la substance. Il s'inspire surtout de l'atomisme de Démocrite pour fonder son matérialisme. Selon Démocrite la réalité est composée d'atomes, fragments de matière insécables, et de vide. La théorie de la connaissance : fidélité aux sensations Si le bonheur doit être un état de sécurité sereine, cette sécurité s'obtiendra d'abord par la connaissance

Sujet de Philosophie: « Peut-on désirer l’impossible pour être heureux ? » Selon Saint Augustin, "Le bonheur, c'est de continuer à désirer ce qu'on possède ". Ici, ce théologien désigne le bonheur tel une volonté de faire perdurer le plus possible le désir. En effet, désirer est source de sentiments et d’émotions, plus ou moins positives, mais qui nous enrichissent chaque fois. Ce qu’il entend par « ce qu’on possède » fait allusion à ce dont nous disposons, nous détenons et savons. En d’autres

répète, le dieu qui m'a prescrit cette tâche par des oracles, par des songes et par tous les moyens dont un dieu quelconque peut user pour assigner à un homme une mission à remplir". | Il dit que son enquête est née de la déclaration de la Pythie, selon laquelle il serait le plus sage. En effet, il a voulu vérifier cette déclaration. Il va donc interroger les autres, et, plus précisément, ceux que la cité considère comme les plus sages (les spécialistes). Platon, Apologie de Socrate, Enquête de

Liberté et raison......................................................................... 44 Libération et aliénation ............................................................. 45 Texte 10 : Ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous, Épictète (50-130 AP. J. -C.) ............................................. 46 Pour mieux comprendre le texte .............................................. 47 Texte 11 : La liberté est une perfection, Spinoza (1632-1677) ... 48 Pour mieux comprendre

moi veut, c'est dépendre d'une volonté étrangère à la mienne ; être prisonnier, c'est encore dépendre d'une volonté qui m'est extérieure, et c'est surtout être contraint dans mes mouvements. Celui que l'on dit libre, est donc celui qui n'agit que selon sa volonté, et qui se meut sans contraintes. Lorsque nous nous demandons si la liberté est une illusion, nous sommes en fait possédés par la crainte que nous croyant libres, c'est-à-dire indépendants d'une volonté étrangère, agissant et nous mouvant

Banquet, n’est le Beau lui-même ; c’est bien lui pourtant que nous cherchons en elles, mais comment ne serions-nous pas déçus par leurs limites ? Ce que vise notre désir n’existe pas, pas en ce monde du moins ; dans le monde intelligible seulement selon Platon, le monde des Idées. Mais comment être sûr qu’il existe ? et de toute façon, si même il existe, c’est après la mort seulement que notre âme pourrait véritablement le rejoindre. En attendant, désirer c’est nécessairement souffrir puisque l’objet

charité) dans la tradition chrétienne. Comment distinguer espoir et espérance ? L’espérance semble liée à la dimension religieuse de l’esprit : il ne s’agit plus ici d’espérer un évènement quelconque, mais la réalisation des promesses divines, variables selon les religions. L’espérance porte donc sur ce que les religions affirment être des biens suprêmes, idéaux, comme l’avènement d’une justice certes tardive (à la fin des temps), mais absolue. C'est espérer contre toute espérance . Alors que l'espoir peut

nature. Ils le tiennent pour une enclave, où ne s'appliqueraient pas les lois universelles. Autrement dit ils n'ont aucune idée ni de la nature, ni de l'homme. De la nature ils ne comprennent pas qu'elle est l'être même, éternel, infini, existant selon ses propres lois (cf. Ethique I, propositions XVI-XX). De l'homme ils ne comprennent pas qu'il est une chose singulière de la nature, à laquelle s'appliquent les mêmes lois qu'aux autres. Admettre cela exige de rompre avec une représentation subjective

en lutte contre l’immensité de l’inconscient. Cette lutte traduite par une vigilance aiguë tout au long de la journée est la preuve que, bien que nous soyons effectivement gouverné par notre conscience, ceci n’a pas toujours été le cas. En effet, selon Nietzsche dans La volonté de puissance , la conscience constitue un «  organe encore enfant  », cette affirmation semble juste dès lors que nous savons que les autres animaux n’ont qu’en partie conscience

sur les apparences (comment est-ce que j'apparais à autrui ?). Rechercher la vérité, la « désillusion », s’impose donc au nom de la conquête du bien pour soi et pour les autres. Le mal produit par la fausse représentation de ce bien. En ce sens, Epictète recommandait aux hommes un désespoir absolu car l'espoir est une passion qui inquiète les hommes et repose sur conception une illusoire du monde. N'est-il pas absurde, en effet, de s'attendre à ce que l'ordre du monde, la réalité, le destin, réponde