Le Mépris Comparaison

trois premiers quatrains sont opposés au dernier qui joue le rôle de conclusion de l’allégorie. Nous pouvons alors parler d’un écho entre la dernière et la première strophe. « L’albatros » et « Le pin des Landes » sont fondés sur une double comparaison. Avec un système de personnifications le poète, « roi » déchu (vers 6), « voyageur ailé » est comparable à l’albatros. Chez Gautier la personnification est celle d’un arbre, un pin des Landes qui se retrouve peu à peu avec des attributs humains :

aussi son côté libertin. Pour lui, les femmes sont toutes les mêmes qu’elles soient « Dame[s], demoiselle[s], bourgeoise[s], paysanne[s] » elles sont toutes des choses dont il fait une sorte de collection, nous montrant ainsi le mépris de cet homme pour les femmes, mépris accentué par des phrases telles que « il aurait encore épousé toi, son chien et son chat » ou il compare les femmes à des animaux, ou « il ne trouve rien de trop chaud ni de trop froid pour lui » où l’on observe une réification

Sachant que Boule de suif est la seul à avoir pensée à apporter de la nourriture, en plus du statut qu’elle occupe dans la société, les riches témoignent un sentiment de mépris face à leur compagne ayant plus de bien qu’eux. Boule de suif dévoile tous ses provisions face aux riches et les réactions se font sentir: « Le mépris des dames pour cette fille devenait féroce, comme une envie de la tuer ou de la jeter en bas de la voiture, dans la neige, elle, sa timbale, son panier et ses provisions.»

et dans un second temps comment le texte décrit les ouvriers. Dans la première partie du chapitre la scène nous est présentée à travers le regard des bourgeois. Bourgeois qui regarde avec mépris et arrogance les ouvriers. Mme Hennebeau est dérangé par « ces gens » cette expression montre le mépris de cette dernière comme si « ces gens » était complètement autre, elle se détache d’eux. Le déterminant possessif « ses plaisirs » dans la phrase « prise d’une colère contre ces gens qui gâtaient

«assassin ridicules» → M. passe du respect au mépris des Hommes. La répétition «peu de matière» + le parallélisme de construction « plus de matière s’il n’en faut et trop d’esprit» → Le relativisme de M. La répétition du mot «mal», « si le mal vient de la matière → A l’image de Voltaire,le philosophe ignore l’origine du mal : les hommes La comparaison « Grand comme votre talon» → lucidité du philosophe qui considère

supériorité de l’homme , puis elle reprend la métaphore en renversant les rôles , c’est elle qui devient le maitre . 2) L’humiliation de Valmont – Ironie et mépris – La comparaison avec Danceny – Un refus cinglant. Elle dicte des questions et des réponses sur un ton d’indignation offusquée , Elle emploi le mépris , elle s’exprime sur un ton de menace , mais c’est l’ironie qui domine toute cette lettre , tout cela permet a madame de Metreuil de se démarquer du rôle traditionnel

pareille et à côté de laquelle la nature elle-même semble pâlir. Ce motif est très courant dans la poésie du XVI éme siècle. On le retrouve également chez des poètes comme Ronsard. Le poème est bâtit sur des comparaisons balisées par l’anaphore « tandis que » qui revient au vers 1,3,5,7. La comparaison tourne forcément à l’avantage de la jeune femme qui l’emporte sur le soleil, sur le cristal le plus fin ou sur les fleurs les plus parfumées. « œillet »  vers 6. La jeune femme semble ainsi plus belle et

social. Par la bouche des personnages principaux dans chaque œuvre, Alceste dans Le Misanthrope et Arnolphe dans l’École des Femmes, Molière se moque des moeurs de la Cour et du comportement attendu de la haute société. Chaque personnage a un certain mépris pour les membres de cette classe sociale, que ce soit Alceste qui est déjà noble ou Arnolphe qui essaie d’avoir l’air noble. Alceste déteste le caractère insincère du comportement à la Cour, des politesses mondaines exigées de la noblesse, et de

Ramage Nicolas Mardi 23 novembre 2010 1er 2 ES Commentaire composé : Sonnet 263 du recueil Mépris de la vie et consolation de la mort (1594)  Observations : Jean-Baptiste Chassignet est un homme né en 1571 à Clairac en Angenais et mort en 1635. Il reçoit une formation humaniste et étudie le droit à l’université de Dole. Il mène par la suite une carrière d’avocat fiscale et de conseiller au baillage de Gray. Néanmoins

qu’ils produisent de l’injure, du mépris et de l’offense. 5.-Qu’est-ce qu’une société naissante ? La société naissante est le début d’une société, le début de la relation entre les hommes, le début de la moralité, le début des idées et des comparaisons et le début de la justice imposée par l’homme. 6.-Quel est le lien entre la richesse et la méchanceté ? Le lien entre la richesse et la méchanceté est l’inégalité des biens et l’injustice. 7.-Comment la comparaison entre les êtres humains se développe