Le Mépris Comparaison

voyageur ailé tombé du ciel• Du vol royal, on passe au boitement de l'infirme• Perte du coté merveilleux et somptueux d'où l'adverbe 'piteusement' : les 'grandes ailes blanches' qui symbolisaient sa légèreté deviennent mécaniques, peu nobles, d'où la comparaison avec des avirons (rames)• 'Voyageur ailé' obtient des adjectifs dévalorisants comme 'gauche et veule' : antithèses entre aisance/maladroit• Libre / prisonnier, jouet• Beauté / Laideur==> Jadis roi admiré dans le ciel, il est désormais un objet

Valmont : « qui, moi ! », « m’en occuper comment ? », « Et par quelles raisons, m’allez-vous demander ? », ou encore « adieu, comme autrefois, dites-vous ? ». De plus, la libertine se sert également d’un ton qui évoque le mépris pour rabaisser les exigences de son ancien amant. Ce mépris se retrouve dans un humiliant congé sine die qu’elle donne à Valmont à la fin de la lettre. Parfois même, la marquise va jusqu’à employer un ton de menace à peine voilée « je vous préviens » et « je serais capable »,

majestueux, autant il paraît ridicule lorsqu’il se pose l Du vol royal, on passe au boitement de l'infirme, et du majestueux on passe au piteux ; les ‘’grandes ailes blanches’’ qui symbolisaient sa légèreté deviennent mécaniques, peu nobles, d'où la comparaison avec des avirons (rames) Un poème construit judicieusement : Dans l’albatros de Baudelaire le mouvement des phrases, le jeu des sonorités prenne une valeur exceptionnelle D’abord, Une ample phrase bien balancée, présente l'albatros

- Eros. L’amour, le désir : Comparaison avec une « femme lubrique » : personnification de la charogne sous les traits d’une femme aux allures érotiques, champ lexical de l’érotisme : « jambes en l’air », « brûlante et suant », « nonchalante », « son ventre »… - Thanatos. La mort.

grâce à ses yeux. I/ "Je est un autre" ..1. Différenciation, dédoublement - Sur le romantisme : péremptoire : « on a jamais » (on = critiques). Relations critiques et œuvre qui mettent en évidence l’incompréhension des journalistes : ironie et mépris. Rimbaud ne disserte pas, les phrases sont elliptiques. Mise en évidence du décalage pensée/œuvre (« Les romantiques ? »), la création échappe à son auteur… - « Je est un autre » : postulat péremptoire et surprenant par le paradoxe : « je », subjectivité

ailé tombé du ciel et à un roi déchu dans les trois premières strophes. Ce « voyageur » étant l’Albatros. Ce sera dans le dernier quatrain que l’albatros et le poète seront associés, en symbolisant le poète, par une métaphore hyperbolique et une comparaison, de « prince des nuées » (vers 13) aux « ailes de géant » (vers 16). Exilé parmi les hommes, incompris, soumis aux vexations et aux injustices du monde qui l'entoure, la vie de l’albatros apparaît donc comme une parabole qui définit l’existence

connaissances du monde civilisé soit une source d'erreur. Présence de Jugement différents (progrès –décadent) I. Description Ancien Monde/Nouveau Monde - Comparaison physique entre les deux mondes : le nouveau monde est le petit frère du grand : « plein et membrue » - Comparaison intellectuel : « il ne savait pas ces lettres, ni poids ... » - Comparaison existe grâce à une Métaphore filée : « enfant qui vient de naître, enfant nouveau » II. L'enfant comparé à son frère - Etat d'enfance souligné

par une comparaison, et une série de champs lexicaux : celui de la douleur, celui de la mort, celui du sacrifice) ( Le poète est au dessus des autres hommes, car il est le seul à pouvoir rendre compte du monde par les mots (le poète est un génie). Mais un génie qui souffre !! comparaison avec un oiseau. Supériorité : roche élevée, vol. ( texte poétique Idées du texte B : ( Le poète souffre car il est incompris des autres hommes (comparaison avec un albatros ; champs lexical du mépris) ( Le poète

animaux repentants.» (p. 4) Ici, l’emploi des mots de comparaison «comme» et «semblables à» suivi des termes «chiens» et «animaux» illustre parfaitement la diminution de la valeur humaine au rang animal. De surcroît, on retrouve dans les paroles de «la petite femme» une vraie considération animale pour les deux hommes : « Elle disait à l’un : "Tu vois, mon petit loup, ton frère est vilain, il est mauvais comme un singe" ». (p. 4) Ici, la comparaison avec un singe et l’emploi de vocabulaire péjoratif

ailé tombé du ciel
• Du vol royal, on passe au boitement de l'infirme
• Perte du coté merveilleux et somptueux d'où l'adverbe 'piteusement' : les 'grandes ailes blanches' qui symbolisaient sa légèreté deviennent mécaniques, peu nobles, d'où la comparaison avec des avirons (rames)
• l'opposition d'adjectifs laudatifs et dépréciatifs - "ailé" v9 et "beau" V10, d'une part, "gauche et veule" v9, "comique et laid" v10 d'autre part - fait sentir le tragique de la condition de l'albatros.

==> Jadis roi