Le Mépris Comparaison

nous présente des hommes et des femmes qui font preuve d’avarice vis-à-vis Boule de Suif en ce qui concerne leur nourriture. Comme le démontre ce passage tiré du texte : « Personne ne la regardait, ne songeait à elle. Elle se sentait noyée dans le mépris de ces gredins honnêtes qui l’avaient sacrifiée d’abord, rejetée ensuite, comme une chose malpropre et inutile.» ( Boule de Suif, 1880, p. 128, l. 1383, 1384, 1385) Il est évident suite à ce court extrait qu’ils n’ont aucune intention de partager

com/U6w4LfPxx_rubklCQJEhvwCKDyU.jpg2 A) Les figures de ressemblances ou d’analogie La comparaison : Elle établit un point de comparaison entre deux éléments, le comparé et le comparant, à l’aide d’un mot de liaison (comme, tel, ainsi que, semblable à, pareil à, etc.) Exemple : Cette fille est comme une sœur pour moi. Comparé : Fille Comparant : une sœur Terme comparatif : comme Point de comparaison implicite : le lien affectif très fort entre les deux personnes. La métaphore : Elle rapproche

permet d'insister sur le fait que c'est pour le héros l'occasion d'entrer dans un monde nouveau, une nouvelle épreuve 2 « cet homme » L'usage du déterminant possessif est à consonance péjorative Le sentiment qui prévaut est sans doute le mépris ce que confirme l'information suivante 3 « il ne songeait qu'aux moyens de lui donner une volée de coups de bâtons sans se faire envoyer en correctionnelle » ØLe verbe « songer » confirme l'emploi du point de vue interne du personnage

objet sexuel soumis à son caprice, qu’il aille donc chercher ailleurs puisqu’il a l’embarras du choix (« faites d’autres arrangements, et gardez vos baisers ; vous avez tant à les placer mieux ! »). 2- l.2 « je ne lui ai pas trouvé le sens commun » mépris l.9 : question rhétorique : indignation « je sacrifierai » conditionnel l. 15/16 : ironie. Madame de Merteuil construit sa lettre comme un véritable dialogue entre elle et son correspondant, ce qui lui permet d’agir plus directement sur lui en

s’y oppose. Les insultes de l’un (« folle ; imbécile ») face à l’ironie, au mépris de l’autre « l. 7 ; l. 23 ; l. 30 et suivantes » + didascalie du rire L. 22 Les gestes violents de Créon Le comportement de Créon dans cette confrontation : Honte,(didascalie) essaie de créer une connivence avec Antigone « un pauvre mot, hein ? » (antithèse des termes « bonheur-pauvre mot » Lorsqu’il « hausse les épaules » = rejet, mépris ; attitude de défense pour ne pas à avoir à entendre la vérité. La réalité qu’Antigone

aussi marqué par le mépris de Don Salluste envers Ruy Blas. En effet, les différents impératifs marque le supériorité de Don Salluste sur Ruy Blas ce qui d’une part rabaisse le personnage de Don César à un simple valet mais surtout montre le mépris de Don Salluste envers son laquais, mais cet autorité est aussi marqué par la répétition à trois occurrences de « je veux » par Don Salluste ce qui le place comme le personnage qui mène le discours, qui dirige la scène. Mais le mépris est aussi marqué par

euphémisme) = efficacité argumentative, art du raccourci, formules « chocs ». Image de la querelle, la violence, l’agressivité. * Le loup = avocat général, beau parleur qui incarne la cruauté. Il prononce la peine, le réquisitoire. Beaucoup de mépris dans ses propos. (vers 57-58 → hyperboles). Façon d’esquiver sa propre confession. Vocabulaire qui montre sa prétention. (vers 56 désignation ironique du narrateur qui l’associe aux clercs.) 3. Une présentation humiliante de l’âne Discours

Relevez, identifiez et expliquez au moins trois figures de style. 1= vers 1 – Comparaison - … comme un couvercle 2= vers 4 – oxymore – un jour noir 3= * Identifiez et commentez un effet de sonorités. (V.1) Les consonnes sonores C,B,P suggères la dureté. Ex : Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle. Strophe 2 * Relevez, identifiez et expliquez deux figures de style. 1= vers 6 – Comparaison … l’espérance, comme une chauve souris 2 = * Identifiez et commentez un

texte est le romantisme, c’est plus précisément un drame romantique. Comment Musset présente son œuvre romantique ? Dans un premier temps nous allons voir, la souffrance d’une mère, où l’on étudiera le souvenir de Marie, sa déception et la comparaison du réel et de l’irréel. Dans un second temps nous allons voir les caractéristiques spécifiques du romantisme, où nous allons étudier le romantisme et comment Musset a mit en valeur les spécificités du romantisme dans ce texte. Dans une première

bien selon lechy Elbernon personnage d’une actrice alcoolique usée par la vie 1- Les spectateurs * Le mépris de lechy pour les spectateurs qui les décrits comme un ensemble indistinct (comme une masse) « les gens », « des centaines de visages » un groupe sans aucune individualisation. * Une deshumanisation du public « Ranges les uns derrière les autres «  une comparaison implicite au bétail ou a un objet que l’on range «  de la chair vivante » qui renvoi a l’idée du bétail avec l’idée