Le Mépris Comparaison

« transaction » *dénonciation de la décolonisation : rapports très inégaux entre blancs et noirs , il s'agit pour eux d'un spectacle amusant -tout est calculé : indices tel que le mouchoir -ponctuation : exclamative, interrogative rhétorique => mépris, ne laisse pas la possibilité au père de répondre, ce dernier est « éberlué », « penaud » *renvoi au champ lex de la violence : verbale => emploi de l'impératif l.12 , l.31 langage grossier l.21 , l.23 , l.41/42, l.36 commerce pareil :

Introduction  : Francis Ponge est un auteur du XXe siècle. Il veut renouveler la langue et s’insurge contre l’usage ordinaire que l’on fait des mots. Il refuse d’être considéré comme un poète, terme que l’on associe trop souvent à l’expression lyrique du sentiment. Son recueil le plus connu, Le Parti pris des choses , publié en 1942, regroupe de brefs poèmes en prose écrits entre 1919 et 1938. Comme l’indique le titre, l’auteur va rendre compte d’objets du quotidien

caprice qui vous ferait préférer, peut également vous faire exclure. » 2. L'humiliation de Valmont •Mépris de Valmont « je ne lui ai pas trouvé un sens commun », « la laisser dans l'oubli », « votre proposition a dû me paraître ridicule. », « ce ne serait pas vous, au moins pour le moment », « je crains qu'il ne me faille beaucoup de temps, mais beaucoup », « adieu comme à présent » •Comparaison avec Danceny « m'aimant enfin comme on aime à son âge » répétition du verbe aimer pour insister sur le

Espagnols A. Cultures différentes : relativité des valeurs. -Las Casas pour la relativité des valeurs. Ex : « Nos armes et nos vêtements » -Mépris des Espagnols pour la religion Indienne : « la plus haïssable » Superlatif absolu ; « Ils se peignent grossièrement le corps et adorent des idoles affreuses » adverbes et adjectifs péjoratifs - mépris aussi pour leur alimentation : « leur nourriture est détestable » adj. Péjoratif -Intolérance face à la polygamie : « Ils changent très fréquemment

Mirza, La Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne Mouvements (1. 1 à 13) Opinion d’ODG sur l’évolution de la vision et de la condition des femmes après la Revo(l. 13 à 35) Description de la situation des femmes sous l’ancien régime et comparaison avec l’esclavage.Problématique : Comment ODG montre que la vision et la condition des femmes a drastiquement changé après la Révo ?Commence par une phrase pour surprendre le lecteur « Les femmes ont fait plus de mal que de bien » (l.1), cela surprend

ironie c’est que Monsieur Prudhomme a, malgré son importance, une petite faiblesse son « éternel coryza ». C’est sans doute encore un facteur de son mépris ou de son désintérêt pour la poésie. Or son gendre, « Monsieur Machin » est botaniste. Cette bizarrerie renforce la sottise du personnage satisfait de lui-même. Verlaine énonce clairement son mépris pour le bourgeois. Dans son poème chargé d’ironie il instruit par le rire ainsi de l’exagération de l’habillement du bourgeois en passant par la

l'Amour domine on constate que l'origine de ce dernier est le regard , qui est en quelque sorte le premier contact . Or ici , Aurélien " l'avait mal regardée " (ligne 6) donc le "premier contact amoureux " n'a pas lieu, au contraire on peut y voir du mépris Mais également, de l'ironie avec "les cheveux coupés, ça demande des soins constants" (ligne 5) et des impressions péjoratives telles que "ennui et irritation " (ligne 7 ), "franchement laide " (ligne 1) etc.. Pourtant on peut constater une

premier lieu sur les procédés péjoratifs et un registre épidictique attribués à la charogne à la deuxième strophe «les jambes en l’air(vers5) », « suant les poisons(ver 6) »et « (vers 8) ventre pleins l’exhalaisons », la décrivant avec un certain mépris (vers5) « femme lubrique » , du dégout  (vers 9)  « cette pourriture » , ne lui accordant aucun méritent . La charogne est désigné comme une femme (ver5) « comme une femme lubrique » La description de la nature dans ce poèmes reflètent la beauté de

maintenant à l’aperçu le plus caractéristique (et peut-être aussi le plus déconcertant) de la littérature humaniste et médicale dont il est question ici. Cet aperçu est que la joie exprimée par le rire est toujours associée avec des sentiments de mépris, voire de haine : la haine de Descartes. Chez les humanistes, l’un des plus anciens arguments à cet effet est avancé par Castiglione. Je cite : « À chaque fois que nous rions, nous nous moquons de et nous méprisons toujours quelqu’un, nous cherchons

avec Julien, qui lui au contraire est décrit comme « un petit jeune homme […] faible en apparence » lignes 41 et 42, « une taille svelte et bien prise annonçait plus de légèreté que de vigueur » lignes 48 et 49. Il emploie également un procédé de comparaison afin d’insister sur les différences présentent entre les personnages « si différente de celle de ses aînés » ligne 11. Julien ne pratique pas la même activité que ses frères par manque de force. Sa silhouette l’en empêche « sa taille mince, peu