Le Mépris Comparaison

« Là ou est maintenant ce mépris de fortune » Du Bellay Introduction : Du Bellay est le chef de la Pléiade (école littéraire et culturel du XVI éme siècles) qui trône la défense de la langue française. Dans son recueil, il évoque son séjour à Rome et la nostalgie de son pays. Dans ce sonnet « la ou est maintenant ce mépris de fortune » sonnet n°31, Du Bellay exprime de manière paradoxale son impossibilité d’écrire. Le poète exprime une plainte douloureuse mais qui est un prétexte à la création

l’aise: -regarde la goutiere -regarder le troisieme oeil -Enracinement au sol ; consiste à prendre des appuis pour lancer notre energie et notre voix -on evite les geste derives -electricer sa colone vertebrale -evitons le paravebrale de mepris -le naturel n’existe pas ,en rheteorique on parle de naturel fabriquée,on rend conscient tous ce qui depende de nous Les tours de paroles: * le respect ça se gagne * -On a la possibilité de refuser de jouer * toujours argumenter

comme un rêve de pierre » v.1 « est fait pour inspirer au poète un amour » v.3 : Baudelaire montre ici que les Femmes sont sources d'inspiration pour ses œuvres. Deuxième quatrain : « je » : toujours à la première personne. Une deuxième comparaison avec le Sphinx qui représente à la fois la beauté mais Aussi la force du personnage. « cœur de neige » : v.6 : métaphore. Le cœur symbolise la beauté... La neige symbolise la blancheur, froideur... « je ne pleure, et jamais je ris » ; « muet » :

peuple de façon virulente, très suggestive. Ici, tableau saisissant de la misère des paysans. I. LA CRITIQUE DES RICHES -Tout le texte est basé sur opposition et comparaison riches/pauvres. Indices de cette comparaison= « ; », répétition anaphorique de « on » (mépris de l’auteur) face au pronom pers « ils ». Le jeu de symétrie et de //isme entre pronoms ind (l’un, l’autre) et dém (celui là, ceux ci) et adv de lieux (là, ici). A chaque x, riches évoqués en 2nd pour

mise en exergue, = 2° mot du texte ■ Sa supériorité par rapport aux autres : ● Cf. ci-dessus : elle a la prétention de s'être donné sa propre éducation = elle se suffit à elle-même , elle construit son portrait en opposition aux autres - Comparaison même avec les hommes et pas n'importe lesquels, les hommes politiques ● D'autant plus remarquable qu'il y a une mise en évidence de sa précocité ■ Une réussite hors du commun ● Champ lexical du succès ● Confiance en soi : ● Références à

l’objet ont suscité l’intérêt du lecteur qui a hâte maintenant de le découvrir. Retarder donc l’apparition du personnage crée un effet d’attente. Mouvement du texte : Premier mouvement, ligne 1 – 10, du début à « … à côté de la scie » :  Comparaison dépréciative de Julien avec ses frères, marquée par le sceau

splendeur des Amberson, d'O. Welles My darling Clementine, de John Ford 2. Faux raccords : – – – – – – Le cuirassé Potemkine, d'Eisenstein Hiroshima mon amour, d'Alain Resnais Murielle, de Resnais A bout de souffle, de Godard Le Mépris, de Godard L'Aventura, d'Antonioni Bibliographie – – – – – – – – – – – – – – – Alain Bergala Hervé Bazin Jean Mitry André Labarthe Jean Narboni François Truffaut Jean-Luc Godard Eric Rohmer Gilles Deluze Serge Daney

revendication commune = pluriel· Transition : 1ere phrase = appelle à toutes F + revendication de ses projets· · Mouvement 2 : « considérant que » = participe présent -> contexte d’écriture· Remplacement de l’énumération « l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’H » par « … des droits des F » =mise en valeur F omise de la DDHC par mot neutre « l’homme »· « droits naturels, inaliénables et sacrées de la F » = énumération d’adjectifs -> same as H + gagner le droit d’être les égale à l’H (« sacrées »

Figures de style : – J’étais froid comme le marbre (comparaison) – Avec ses vêtements ondoyants et nacrés, même quand elle marche, on croirait qu’elle danse (comparaison) – Votre âme est un paysage choisi… (métaphore) – L’automne souriait… (personnification) – France, mère des arts, des armes et des lois/Tu m’as nourri longtemps de ta mamelle… (allégorie) – Je voudrais un camenbert et un chèvre (métonymie) – Je vois un port rempli de voiles et de mâts… (synecdoque) – Le Roi Soleil (périphrase)

moqueries des marins. La personnification de l’albatros une fois au sol le rend vulnérable, il n’est plus le roi, il est humilié par les hommes. II Ce texte c’est aussi un poème sentimental qui exprime la souffrance, l’humiliation, la solitude, le mépris Ce poème est écrit en 4 quatrains, composés d’alexandrins, qui transmettent des émotions, comme la solitude de l’albatros. Le registre pathétique utilisé nous montre la souffrance de l’albatros, et provoque la compassion auprès des lecteurs. Dans