Le Mépris Comparaison

propos que vous avez déjà émis, une fois que vous aurez établi, par exemple, les réseaux lexicaux qui traversent le texte à condition qu’ils fassent sens, sinon, un seul relevé ne suffit pas non plus. Il en est de même pour les métaphores et les comparaisons : le relevé en soi n’a pas d’intérêt, sauf si vous le mettez en regard de rapprochement de termes et d’idées qui font sens pour éclairer le texte. -Ne vous lancez pas dans des interprétations que vous aurez lues quelque part mais que vous ne maîtrisez

Analyse linéaire, Ruy Blas, acte 3 scène 2du vers 1139 au vers 1158• Au vers 1139, Ruy Blas s’adresse directement au roi Charles Quint comme s’il était vivant montrant sa nostalgie du temps passé. On voit cela par l’usage du pronom personnel « tu », par l’interjection « ô » mais aussi par l’imparfait. L’allitération en « r » souligne le changement entre son admiration pour son roi et une sorte de violence. Il cherche un sens à la hauteur de ses aspirations « que fais-tu ? ». • Le vers suivant est

reprend à son compte l’image orientale précédemment élaborée. Comparaison avec la société médiévale, l’Antiquité et l’ère préhistorique. Sentiment des Européens de renouer avec une époque qu’ils ont déjà connus, et que donc, les « indigènes » et le Maroc sont en retard. 1.2- Une image péjorative donnée des « indigènes » Image très négative donnée de l’Arabe. Il est fourbe, traitre, voleur, menteur… et ne peut susciter que du mépris de la part de l’homme blanc. Paresseux. Dans l’imaginaire colonial

l'interlocuteur grâce à trois exemple sur lesquelles elle va s'appuyer . Le pronom indéfini "alius" en anaphore et formant un rythme ternaire va proposé trois situation, liées à 3 causes futiles, "ex frivolis causis", susceptible de correspondre a un mépris de la vie : le subjonctif "contemnatur" montre bien que l'homme en est capable : "alius..." -> cause: Malheur lie a l'amour "alius..." -> peur d'être gronder par son maitre. "alius..." -> peur d'être battu par son maitre. L'homme vas donc etre

Fra-101PAGE 14Analyse et effet de sens _________________________________________________ I. Dans les figures de style suivantes, soulignez et identifiez le comparé, le comparant, le terme de comparaison et le point de comparaison . Veuillez noter qu’un de ces éléments peut parfois être implicite ou absent de la figure. 1. Autour de nous, les étoiles continuaient leur marche silencieuse, dociles comme un grand troupeau […] 2. Une clameur

Siriens et les Saturniens sans mépris (s'il est permis de faire de tells comparaisons) mais avec une pointe d'humour (très petit chien de manchon et capitaine des gardes du roi de prusse) et d'ironie envers le roi de prusse. Volonté de Voltaire de démystifier la Prusse, puissant ennemi des français. Donc volonté de montrer que l'on peut être petit et pourtant atteindre largement la taille d'un ennemi. Le superlatif absolu (très petit) ajoute encore à l'ironie de la comparaison. De même, il y a le désir

puisqu’il est utile à toute la société, qu’il l’améliore, qu’il agit de façon concrète. B) Comparaison avec art libéral : ironie. Cette logique de mise en valeur des artisans est poursuivie par la comparaison avec la pensée des philosophes. D’Alembert se sert de leur propre argumentation pour la contredire et amener le lecteur à se ranger à son avis. « Si j’en crois quelques philosophes que le mépris de la multitude pour les arts n’a point empêchés de les étudier », page 108 : ironie de D’Alembert

2 et 3 « Qui sait » (qui équivaut à une exclamation) il rappelle à quel point les gens bien-pensants condamnent sans savoir : elles sont aussi victimes du mépris des autres, de leurs préjugés. *Au v. 5, il suggère – dans une question rhétorique - que nous sommes tous fautifs de leur situation, au moins par notre indifférence à leur sort : cf. le v. 5 « Qui de nous n'a pas vu de ces femmes brisées ».

satiété : « festoyer », « gorgeant », « plaisir », « bouche ». L’expression adverbiale « plus qu’à toute autre chose » traduit la démesure de ces plaisirs octroyés par le tyran. L’usage du terme « canaille » traduit, dans le style indirect libre, le mépris que ressent le tyran face à celui qu’il corrompt. (discours dans lequel on retrouve la pensée d’une autre entité que l’énonciateur ; ici, celle des tyrans.) - Un autre forme de corruption est pratiquée cette fois-ci à l’égard du peuple : « les

qu'une comparaison avec " [...] et ; à sa fureur tombant soudain, comme une corde trop tendue qui casse [...]" c'est aussi une personnification de la corde à Boule de Suif ou encore dans ce passage : " D'autres les suivirent plus rapides, coulant comme les gouttes d'eau qui filtrent d'une roche [...]" où les gouttes d'eau représentent Boule de Suif sous forme de comparaison également. Le champ lexical de la tristesse suit alors avec " pleurs, sanglots, gouttes d'eau" ainsi que les comparaisons " [.