Le Nègre De Surinam Conclusion

esclave Ali qui trahit son bienfaiteur) II. ECRITURE: (14 points) 1. Commentaire: Eléments de corrigé On attend obligatoirement des propos organisés et appuyés sur une analyse et des citations du texte. On attend également une introduction et une conclusion. 1. Comment le narrateur capte-t-il l'attention du lecteur? 1.1 Un cadre exotique : - L'éloignement spatio-temporel. Les indices qui permettent de se situer dans l'espace (Arabie heureuse) et le temps (époque historique du sultan Yaya) fixent

Résumé de l'œuvre. Définition générale. Etude du thème: I. Les mœurs de la société des Blancs. 1 - L'exploitation. 2 - La violence. 3 - Le racisme. II. Les mœurs de la société noire. 1 - La souffrance. 2 - L'esclavage. 3 - L'injustice. Conclusion. Introduction. La période allant du XIX ème au XX ème siècle correspond amplement à la colonisation en Afrique, puis à la fin du processus de prise de conscience du peuple noir [l'année 1945]. Cette prise de conscience est favorisée d’une part

que le tutoiement est utilisé. b. La figure du vieux sage → Appartient au récit de voyage → Le Tahitien porte-parole de son peuple, Diderot recherche l’efficacité et la vraisemblance en faisant parler un Tahitien à sa place. (comparaison nègre de Surinam) → Dans le Voyage autour du monde de Bougainville, le vieux Tahitien existe déjà . Dans le  texte de Bougainville il réagit avec indifférence à l’arrivée des Français. Bougainville y voit un signe de désapprobation. Il n’en faut pas plus à 

CANDIDE (1758)- cours de Mme Tillard   chapitre 1 | chapitre 3, contre la guerre | chapitre 6, l'auto-da-fé | L'Eldorado : lecture cursive | chapitre 19, le Nègre de Surinam | chapitre 30, conclusion de Candide | Les personnages | Les dialogues | la technique romanesque | Nous utiliserons l'édition Hachette, collection "bibliolycée", parue en 2002. CHAPITRE 1 : L'amour interdit, récit inaugural. 1. L'art du conteur * Vivacité du récit * phases du récit : 5 phases = 5

inverser de notre société permet de lui faire prendre conscience de sa réelle apparence. Voltaire dans Candide, décide de faire passer ses idées à travers les paroles de son personnage. Il dénonce l’esclavage, les injustices et l’inégalité grêce au nègre de Surinam qui relate simplement de son dur parcours d’esclave : « Quand nous travaillons aux sucreries, et que la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main ; quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe : je me suis trouvé dans les deux

Pangloss qui reçoit dans ce domaine les coups les plus nombreux puisqu'il entretient par ses raisonnements l'illusion générale. Il présente comme un raisonnement subtile une constatation assez évidente : il n'y a pas d'effets sans cause et il tire des conclusions ridicules de ce principe initial en flattant le baron lorsqu'il dit que son château est le plus beau et madame la meilleure des baronnes possibles. Poussant plus loin la caricature, Voltaire lance Pangloss dans un discours où il inverse les effets

des hommes Ce qui conduit le lecteur à une conclusion diamétralement opposée :    -> Donc nous ne sommes pas de vrais chrétiens. l.24-25, même principe : -> Les princes d'Europe font beaucoup de conventions inutiles  -> Or ils n'en font pas en faveur des esclaves   -> Donc c'est qu'il n'y a pas lieu d'en faire Ce qui conduit le lecteur à une conclusion diamétralement opposée ->Donc les princes d'Europe sont sans cœur. - Conclusion De l'esclavage des nègres est en réalité

indémontrables. Le recours à l'ironie de préférence à la démonstration consiste à énoncer la thèse adverse avec un tel excès dans l'éloge que le lecteur en perçoit l'absurdité. Ainsi : «il prouvait admirablement qu'il n'y a point d'effet sans cause...» Conclusion Cette première page, en même temps qu'elle pose les jalons du récit, présente l'enjeu de l'oeuvre et fait apparaître la méthode critique de l'auteur : l’ironie. Elle remplit bien sa fonction d'exposition en présentant le thème majeur du conte

humaines (« injustice », miséricorde », « pitié ») derrière lesquelles se cachent les Européens, Montesquieu oppose les valeurs économiques représentées par les produits de luxe (sucre et or) qui prennent le pas sur ces valeurs de façade Conclusion : Ce texte de Montesquieu, par son utilisation de l’ironie, dénonce l’esclavagisme et le peuple qui le tolère et le justifie. Le choix de donner à entendre la voix de l’autre se révèle être une arme plus pertinente que l’argumentation directe

il peut mettre des mots sur les maux. La ressemble de la cadette avec son père selon le complexe d’Œdipe peut expliquer la jalousie de la mère et des mauvais traitements (Œdipe tue son père, se mari avec sa mère).La fée remplace la marraine. Conclusion: En apparence on à affaire à un conte transparent à la lecture plutôt simple et distrayant, mais au-delà du 1er degrés, il nous transmet des vérités grâce à des personnages allégoriques. Une courte histoire visant à transmettre un enseignement,