Le Peuple de la liberté

apparaît, il réclama plus de libertés et le rétablissement de la République. Ces doctrines libérales se répandent dans l'ensemble de la société française, même dans l'église catholique, mais surtout dans les milieux économiques, juridiques et littéraires. C'est aussi le siècle de l'épanouissement des doctrines socialistes car dans sa 1ère moitié, la misère du prolétariat ouvrier qui se manifeste par des émeutes pose la question de la légalité sociale et montre que la liberté acquise à la révolution ne

de liberté et de regroupement des peuples. Après sa défaite en 1815, les vainqueurs (Russie, Autriche et Prusse) redessinent l'Europe lors du congrès de Vienne. Ils reviennent aux frontières de 1789, morcellent les pays en voie d'unification (Italie, Allemagne) et annexent les pays qui revendiquaient leur indépendance (Pologne, Belgique, Grèce, etc.). Mais le sentiment national est né chez les peuples, et des vagues révolutionnaires secouent l'Europe en 1830 et en 1848 (printemps des peuples). En

déclaration permet au Roi de prendre un écart par rapport au peuple, et de mettre en œuvre sa dominance et son projet constitutionnel. La nation est ce qui représente les citoyens morts, vivant, et à naître dans un territoire donné. La souveraineté nationale est une souveraineté dont le titulaire est la nation. Le peuple, est l’ensemble des citoyens sur un territoire donné. La souveraineté populaire est une souveraineté dont le titulaire est le peuple. Le libéralisme en droit constitutionnel, est un ensemble

la transcendance des droits dont tire l’homme de sa qualité humaine (La Constitution du Japon parle des droits fondamentaux de la personne humaine à son article 10.), il ne tire pas ses droits de l’Etat. Ces principes comme le droit à la vie, la liberté, à la sécurité, au bonheur (consacré dans l’Acte additionnel et la déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 24 juin 1793), la dignité de la personne humaine s’imposent à l’Etat. Ce postulat est exprimé - - - dans la Déclaration

juillet 1795. c) En 1830 (la France étant sous le Premier Empire et la restauration) « La Marseillaise » fut momentanément interdite. Sous Napoléon 1er on aurait pu penser que Napoléon l’ai supprimé pour ses valeurs anti tyranniques favorisant le peuple et défavorisant un dictateur ou un roi. Cependant ce ne fut pas la raison pour laquelle Napoléon la renia. Il agit ainsi car il ne l’aimait tout simplement pas. A la chute de l’Empire, la Monarchie dite période de « Restauration » va elle supprimer

physiquement de ses parents. Mais, il cesse aussi de l'être sitôt qu'il a des enfants. §2. La liberté de l'homme découle de sa nature (Grand principe rousseauiste) La nature humaine (essence ?/naturalité?) implique la liberté de l'homme. L'homme obéit à une loi naturelle fondamentale : la conservation de soi. Sitôt capable de raisonner pour se conserver, nul autre que lui n'est " mieux placé ". Ainsi la liberté (indépendance) est-elle une conséquence de la " nature " de l'homme. Et cela constitue

les nobles réclament de plus en plus de privilèges, la question de la pertinence d'une monarchie absolue germe tranquillement dans les esprits. De bien des façons, des gens révolutionnaires répandent leurs idées nouvelles, motivant secrètement le peuple à faire valoir ses droits. Parmi ces protagonistes, on trouve Jean-Jacques Rousseau, qui a l'audace de dénoncer l'injustice qui règne sur la France. Il ne se contente pas seulement de la critiquer, mais suggère aussi des solutions pour l'ératiquer

Démocratie : participation des peuples dans la vie démocratique ; peuple souverain suffrage universel pluralisme polithique Gvment du peuple, par le peuple, pour le peuple, Abraham Lincoln La Rép a su développer des libertés fondamentales qui s'appuit sur la Constitution de 1875 : liberté de réunion liberté d'expression liberté d'opinion liberté religieuse La Constitution définit les pouvoirs : éxécutif : celui qui doit éxécuter les lois. Appartient au gvnt, au ministre

pouvoir extérieur à soi, coercitif et donc opposé à la liberté au sens de « droitillimité à tout ce qui ten te l’homme et qu’il peut atteindre », de liberté naturelle, d’indépendance ; l’entrée sous l’autorité de l’État est entrée dans l’état civil et ses lois etsortie de l’état de nature sans lois, si ce n’est celle du plus fort pour certains (Hobbes contre Rousseau). Le problème est de savoir si cette opposition entre État et liberté est pertinente, car l’institution qu’est l’État présuppose

l'article 2 (viennent ensuite la liberté, la sûreté et enfin la propriété). L'article 3 énonce que "Tous les hommes sont égaux par nature et devant la loi". Pour les rédacteurs de la Déclaration de 1793, l'égalité n'est pas seulement civile (en droits), mais aussi naturelle (article 3). On a objecté que l'égalité n'est pas un droit de l'homme, mais seulement un principe d'attribution des droits fondamentaux. Il existe cependant à l'époque une pensée selon laquelle liberté et égalité peuvent devenir rapidement