Le Positivisme

a deux forme: réparation et punition II-l'existence du droit il suffit pas de dire que le droit existe pour dire qu'il existe les conditions d'existence du droit, deux grandes école existent : théorie du droit naturelle et théorie du positivisme juridiques qu'elle est la finalité que la société assigne au droit Chapitre 1: théorie du droit naturel le droit n'est pas une création humaine. Soit une divinité la crée comme l'homme est apparut, soit il est en lui même, soit il nait

positivistes Dans l’esprit positiviste il faut rejeter la théorie du droit naturel. Pour eux le seul droit qui existe est celui qui est en vigueur ( le droit positif. Il y a trois écoles : - Le positivisme juridique - Le positivisme scientifique - Le positivisme marxiste A) Le positivisme juridique L’Etat est la seule source de droit positif. Il y a deux penseurs : Ihering (Allemand) et Kelsen (Autrichien). Ihering, juriste allemand du XVIIIe siècle, pour lui le droit est un

ses rites, ses textes, ses cérémonies, sa mère protectrice, et ses temples. Le rayonnement de l’Église positiviste sera considérable et durable, puisque l’on trouve aujourd’hui encore beaucoup de ses temples tant aux États-Unis qu’en Inde. Le positivisme est une composante majeure, bien qu’inaperçue la plupart du temps, de la pensée scientifique contemporaine. Et ceci vaut aussi bien pour les sciences dites humaines comme la sociologie, que pour les sciences dites « dures » comme la physique. Alors

intellectuel, l’on peut remettre tout en question jusqu’à nos valeurs fondamentales comme la vérité ? L’Homme peut-il vivre dans une société dépourvu de limites, où le mensonge pourrait régner et conduire au chaos ? Devant ces interrogations, le positivisme rend indubitable une réalité des faits qui émanerait d’observations et d’expériences répétées montrant les relations constantes qui unissent les phénomènes tandis que les sceptiques et les relativistes nous invitent avec une vision contestataire

pluralité des actes juridiques qui existent à l’intérieur d’un pays. Pour faire une théorie de la Constitution, pour l'expliquer, on peut partir d'une idée idéale du droit (Platon). Cependant cette conception a été beaucoup critiquée par le courant du positivisme constitutionnel. Les théories du droit positif se décomposent en trois grands courants : l’école de l’exégèse de Gény, l’école sociologique de Duguit et enfin l’école normativiste. Hans Kelsen, reconnu comme l’un des plus grands juristes du XXème

pour durer : Au nom de quoi est-il souhaitable de modifier les lois ? Il y a donc des valeurs, des principes, qui constituent autant d’idéaux de justice. Pourtant la conception d’un droit idéal a ses contempteurs (=opposants) , dont l’école du positivisme juridique (qui compte parmi ses représentants Hans Kelsen).Kelsen dépend précisément que le droit positif recèle une valeur intrinsèque : sa valeur est d’avoir été instituée par l’autorité compétente et légitime (l’Assemblée, le Parlement…. ).

l’homme ces droits fondamentaux. Au nom du droit naturel, l’homme doit pouvoir contester certains aspects du droit positif qu’il juge non-conforme à ses droits fondamentaux : c’est la thèse défendue par le jusnaturalisme et s’opposant au positivisme juridique. Le positivisme refuse cette notion de droit naturel et affirme que seul le droit positif a une valeur juridique, du moment que le pouvoir en place est légitime. Mais le problème de la thèse positiviste est qu’elle ouvre la porte à de nombreuses dérives

convient donc de refonder l’obéissance aux lois en tenant compte de l'influence que peut avoir la morale. Cette courte introduction permet d'illustrer la contradiction qu'il existe entre les partisans de la thèse naturaliste et les adeptes du positivisme. « Le but de ce travail va être de tenter de dégager une possibilité de compromis entre ces deux thèses. Pour cela, je me pencherais sur l'importance de la justice dans notre choix d'obéir, ou non, aux lois. Mais avant d'aborder cette question

Haussmann (grands axes de circulation, quartiers populaires miséreux détruits, squares, …). 2 classes opposées : les bourgeois vs les ouvriers. Les écrivains se moquent souvent des bourgeois. III) CONTEXTE SOCIO-CUTUREL ET PHILOSOPHIQUE - le positivisme (Auguste Comte) : tout doit s’expliquer par la science (l’origine du monde…) // glorification de la science en littérature par Jules Verne et ses romans de science-fiction. - le marxisme (Karl Marx) : veut voir les ouvriers triompher de la bourgeoisie

2004), Le déclin de l’institution (Seuil, 2002), ou encore Injustices : les expériences des inégalités au travail (avec Valérie Caillet, Régis Cortéséro, David Mélo et Françoise Rault, Seuil, 2006). 2 L'acteur hypo-social pourrait renvoyer au positivisme : il rejette l'intuition qui est pour lui une forme de domination de la pensé, pour privilégier la déduction des normes sociales, et va s'en servir pour exploiter ses capacités et avoir un champs d'actions plus large, plus utilitaire. Il serait