Le Pouvoir Politique Légitime Hobbes

date de la fin du moyen age à l’époque ou les structures féodales se sont effondrées entraînant avec elles les pouvoirs hiérarchisés et l’unité juridique qui reposaient sur la chrétienté. S’achevait ainsi l’époque de la cité chrétienne ou l’empereur lui-même soumis au pape exerçait son autorité sur les rois et seigneurs. Naissent alors dans cette ambiance, de nouvelles unités politiques = états nationaux et monarchiques, qui se déclarent désormais souverains et juxtaposées les uns aux autres. Il

Aristote est un « animal politique » est toujours resté sur sa soif de comprendre l’individu dans sa relation avec lui-même et avec tout son entourage. Lorsqu’elle s’est interrogée sur le pouvoir et son exercice, la philosophie à pris une nouvelle nomenclature dans l’approche de la préoccupation du pouvoir et son exercice, et est connue sous le nom de « philosophie politique » avec Aristote. Sous ce nom, elle s’est en général posé deux questions : d’une part, « qui sera le pouvoir souverain de la cité » 

rationalisme se base sur la raison et non sur Dieu et les coutumes. Et selon ces doctrines, il n’y a rien de légitime, sauf ce qui est conforme à la raison. Mais d’abord et avant tout, pour bien comprendre ce courant de pensée, il est essentiel de savoir que dans les temps modernes, le système politique régnant en Europe était le traditionalisme. Un seul roi avait le pouvoir et ce pouvoir, il le détenait de Dieu. La société était gérée en fonction de la religion, des traditions et des coutumes.

la différence des animaux. Pourtant l'Homme est le seul à vivre à l'intérieur de sociétés régies par des lois qui le contraignent parfois à réprimer sa spontanéïté. Il apparaît alors ici un paradoxe de part la contradiction entre la possibilité de pouvoir se libérer de son animalité naturelle et par la mise en place autonomme de nouvelles règles écrites, qui renvoient aux lois positives, et non écrites, qui vont à nouveau restreindre le champs de liberté de l'Homme. De plus, la définition de lois peut

philosophy of positive law, 1832 : les philosophes se rapprochent du droit réel et utilisent les notions des praticiens du droit qui se confrontent tous les jours à des notions, des termes flous. C’est l’époque du passage à l’AR à la modernité politique, il faut accompagner ce qui émerge comme l’individualisme. Austin et Hegel restent très spéculatifs et leurs approches restent très philosophes. Avec Kelsen, l’approche devient positiviste puisqu’il se détourne de toute approche philosophique

jours qui traduit une idée ; le droit est l’attribut d’une personne, d’un pouvoir, d’une capacité. C’est la théorie, la conception du droit subjectif (du sujet) le droit / pouvoir. Ce droit-pouvoir dans notre approche moderne découle d’une norme crée par le législateur. Dans notre façon de penser tout les jours le droit est un pouvoir de donné par le législateur. Dans notre façon de penser tout les jours, le doit est un pouvoir donné par les législateurs. Le volontarisme : idée selon laquelle la volonté

Fiche de Lecture : François Châtelet « Une histoire de la raison » Introduction : Biographie : François Châtelet (1925-1985) est Historien de la philosophie et un penseur de la politique et de l'histoire. Il fut également professeur dans la grande tradition socratique, à l'origine, avec Michel Foucault et Gilles Deleuze, du département de philosophie de l'université de Vincennes et co-fondateur du Collège international de Philosophie. L’œuvre : Il raconte dans "Une histoire de la raison", l'évolution

+ rédige Code civil 15 Décembre 1799 : proclamation gouvernement :  « citoyen la révolution est fixée au principe qui l’on commencé, elle est finie » 1804 : Code civil : par nature = code politique texte paradoxal : car : - un côté code réactionnaire ( contre révolution permanente ) - consolider révolution MAIS : connaissance difficile ex : 1815 = après défaite Napoléon certains

conduite de l'homme en société, les rapports sociaux. »[]. Cela lui donne une importance considérable Le droit est un phénomène social[]. La société établit des règles destinées à régir son fonctionnement et à organiser les relations, économiques ou politiques, des personnes qui la composent • fondement : a) Ce sur quoi repose "en droit" une certaine connaissance. Qui sert de base à un édifice conceptuel. Synonyme de principe. b) Ce qui donne à quelque chose sa

bien particulières, mais qui sont immédiatement dépassées dans les paroles ou les actes fondateurs de ces deux universalismes. Il est aussi curieux de remarquer que, par un renversement intéressant, c'est dans la polis grecque que les réflexions politiques tournent autour du Bien, du Vrai et du Beau, alors que l'enracinement de la croyance dans des petites communautés de type familial se fait autour de la Loi et du Livre. A partir de ces moments fondateurs, on peut distinguer trois moments de l'esprit